CULTURE : L’ARTISTE MUSICIEN ANNICK MICHAEL AU FESTIVAL AMANI. IL DEVOILE SA FACE AU MONDE…

MUHINDO MUTONDOLI Michael dit ANNICK, un artiste musicien plein du courage et ambition.  Evoluant en ville de Goma à l’Est de la RDC. Il vient d’être sélectionné à la 6ème édition AMANI FESTIVAL après avoir passé et se démarqué aux éliminatoires.

ANNICK MICHAEL, a vu le jour un certain dimanche 7 juillet 1996 dans la ville de Butembo. Après un bout moment de temps, tellement passionné par la musique, à ses 9ans, il intègre la chorale LA SOURCE DE VIE. En 2016, il est choisi par son école pour une représentation dans un concours tellement qu’il croyait en ses capacités. Et nul n’échappe son destin, il en été vainqueur de par sa démarcation durant le long de la bataille.

A ses 12ans de carrière, n’étant pas satisfait de chanter qu’à l’église en se référant de ceux dont faisaient les autres de sa génération dans le monde profane, l’exemple de son grand ami musicien évoluant en Afrique du sud, DAVID KALUPA, qui selon lui vivait déjà ses rêves artistiques. Un peu plus après la découverte de son talent caché, ANNICK  MICHAEL propose à ses parents de quitter Butembo pour la ville de Goma poussant des raisons moins pures d’étude mais surtout pour celles de performer sa musique.

Dès qu’il arrive dans la ville touristique, l’artiste hâte de s’approcher au FOYER CULTUREL DE GOMA puisqu’il y en a des grands formateurs en chant, en piano, en percussion, en danse et en art parlé.

En 2017, ANNICK MICHAEL s’inscrit comme apprenant au FCG dans le but majeur de performer sa musique et s’ouvrir à tous les horizons possibles du monde. Son premier jour de formation au FOYER CULTUREL DE GOMA, il se retrouve dans les mains du formateur en chant JC WENGA que lui qualifie de grand en ce domaine, puisqu’il l’a profondément aidé d’améliorer sa musique. S’en est suivi par d’autres René BYAMUNGU, Chicco MWENGE et Pinochet KASAY tous formateurs en chant au FCG.

Il obtient son diplôme d’Etat en section commerciale administrative 2017-2018. Un certain 28 avril 2018, Il fait sa première montée sur le podium de SANAA WEEKEND devant un gigantesque public grâce au FCG. Il interprète deux morceaux célèbres de l’artiste française CELINE DION, entre autre « je nous veux », « ma faille ». Puis après, il se rend compte qu’il a emballé tout le public, « pourquoi pas moi!» s’exclame dit-il. C’est à ce point même qu’il trouve l’idée et le courage de postuler aux éliminatoires AMANI FESTIVAL 6ème édition à Goma.

ANNICK MICHAEL fait tout jusqu’à se faire démarquer à la finale d’où interprète la chanson «je lui dirai » de son idol CELINE DION. Delà meme qu’il sera qualifié et selectionné au Festival Amani 6ème édition.

Dans une interview accordée par l’artiste ANNICK MICHAEL,

KN : Qu’est ce qui t’a motivé d’embrasser les éliminatoires AMANI FESTIVAL 2019 ?

ANNICK sourit : c’est rien d’autre que la détermination et la confiance en soi. « Pourquoi pas moi » dit-il

KN : Pourquoi tu admires souvent interpréter CELINE DION ?

ANNICK curieux : j’interprète cette voix féminine française pour seulement marquer la différence avec d’autres de mon domaine. Aussi, je la considère comme idole puisqu’il est pour moi une grande inspiration.

KN : tu fais la musique oui, mais avec quelle vision ?

ANNICK : la musique c’est une passion que je ressent dans moi dès le bas âge. Je fais la musique pour valoriser mon continent Africain et mon pays RDC en particulier à travers le monde.

KN : Un message à tous ceux-là qui te lisent.

ANNICK :je puis dire à tout passionné de la zik, de prendre  décision de se lancer et conscience de leur tâche.

                                                                             PAR LEBON KASAMIRA

EKIDEN AMANI 4EME ÉDITION, COURSE ASSOCIEE A LA PAIX ET AU DEVELOPPEMENT.

ambiance marathon ekiden, photo Festival Amani

Ce dimanche 10 février 2019, vient de se tenir encore un Marathon Ekiden dans la ville de Goma, qui réunissait les coureurs de partout dans la région et ceux du monde entier, dans l’objectif de promouvoir la cohésion, l’esprit d’équipe, la convivialité et la performance sportive dans la ville de Goma.

Il est 7h, devant la tribune ONC, une masse d’hommes en tenus de sport course, agitée par l’envie de vouloir embrasser un circuit passant par le quartier les volcans et de forme trapèze. Une soixante d’équipes au rendez-vous dont 6 personnes par chacune d’elles, entre autre GISENYI ATHLETICS venue du RWANDA,  pleine d’autres d’ailleurs et  de la RDC.

Nous a confié certains participants à la course au lieu même de l’activité après avoir passé leur tour, « Moi c’est NATHALIA MICHEVIC,  de l’équipe LES CROQUETTES. Je suis Française et on est à Goma, il n’y a pas même un mois justement pour participer à la course de paix EKIDEN AMANI. Ce qui nous a plus motivé à participer mes amis et moi, à ce Marathon relais, c’est rien d’autre que la diversité, la paix et le vivre ensemble que prône ce dernier » ; « YVES BAHATI, c’est mon nom. Je suis de l’équipe GENERATION EPANOUIE de la ville de Goma /RDC, d’après tout le marathon c’est bien lui mon sport préféré et ce que je puis suggérer aux organisateurs EKIDEN AMANI, c’est de ne pas la course par équipe mais plutôt par personne si ça vaut le coût de le faire. Malgré que ça n’a pas marché pour moi et à mon équipe cette édition, j’espère cas même remporter dans les prochaines occasions qui viennent voire Deux-milles vingt. C’est du faire Play » ; « PALUKU GERVAIN ASPIRINE, comme toujours de l’équipe DEOS CAFE, j’ai même aussi participé à l’édition précédente EKIDEN AMANI et avons été troisième parmi les gagnants. Auparavant, je ne pratiquais point de l’entrainement mais cette course de paix m’a motivé de le faire une occupation routinière en espèrent remporter encore une fois ».

  On dit souvent ‘’qui sème le vent récolte la tempête’’, comme toujours 3 gagnants des équipes masculines et 3 autres féminines sont proclamés officiellement par la responsable de AMANI FESTIVAL, ARLETTE MUSUNGAY, je cite « Nous sommes vraiment heureuse de nous retrouver aujourd’hui ici sur cette scène, vous présenter les lauréats EKIDEN AMANI 4ème édition. Tout d’abord, je présente mes sincères remerciements à nos partenaires sponsors qui nous ont toujours accompagnés, ORANGE, RAWBANK et les autres que je n’ai pas cités. Comme le thème AMA NI FESTIVAL 2019, a été l’implication de la femme dans la sécurité et la consolidation de la paix dans la région de grands lacs, directement j’appelle d’dorénavant ici devant de la scène les 3 premières gagnantes filles » ; Première, ESPERENCE BANDU âgée de 18ans, elle nous vient de la cité de KIROSHE ‘’ je me sent vraiment heureuse et je remercie mon Dieu puisque sans lui, je ne serai peut-être rien’’ nous a déclaré la fille; s’en est suivi par la deuxième, GERTRIDE NDOOLE, aussi de KIROSHE, âgée de 14ans « malgré les faiblesses et malaises mais cas même je suis très contente d’avoir été parmi les meilleures » dit-il ; et puis enfin pour la discipline féminine, troisième, ASIFIWE NZABAYA, âgée de 16ans, provient de même à KIROSHE « je suis satisfait puisque ça correspond à mes efforts, j’espère en 2020 être première gagnante. Je remercie les organisateurs AMA NI FESTIVAL pour la transparence, faire participer tout le monde à son humble gré malgré son milieu de vie. Mon rêve fou, représenter la RDC aux jeux olympiques».

Du côté de garçons, a été premier FELIX UWIMANA, âgé de 18ans en provenance du RWANDA, GISENYI ATHLETICS c’est son équipe, « je me sens super bien, relax d’avoir été meilleur des gagnants. Je remercie mon seigneur de m’avoir aidé à faire mieux, comme toute personne, j’ai été confronté par des défis mais j’ai su tenir le cout par la grâce de Dieu. Je suis aussi ravi de faire connaissance à ce grand repère du festival, le marathon à l’occurrence », nous a confié l’athlète ; deuxième en provenance de KIROSHE FONDATION, âgé de 20ans, KAMBALE  PALUKU  « que le festival continue toujours avec ce même rythme. Je rêve être parmi les meilleurs athlètes du monde, à l’exemple de MUHAMED FARA et que notre gouvernement s’intègre en s’impliquant aussi dans la promotion des coureurs de notre pays RDC » suggère-t-il ; troisième aussi de KIROSHE, FISTON SADIKI, âgé un jeune de 21ans « je remercie l’éternel, puisqu’on ne croyait pas être là à ce jour, nous qui croyait à la guerre. Je dois fournir plus d’efforts pour représenter la RDC aux olympiques 2020 au Tokyo ».

Les récompenses ont été remises, 3 bourses de 400,230 et 120$ par le festival aux 3premières équipes masculines et 3 autres féminines pour s’acheter des équipements sportifs, un chèque de 500$ offert par RAWBANK aux premiers meilleurs gagnants de la course. 

                                                                             Par LEBON KASAMIRA

ET SI MARTIN fAYULU ETAIT DESIGNE PREMIER MINISTRE DE LA RDC?

Martin Fayulu, candidat malheureux à la présidentielle de décembre 2018, continue de contester les résultats publiés par la CENI et validés par la cour constitutionnelle. Pendant que la légitimité de Félix Tshisekedi continue ses conquêtes au Congo et en Afrique, Fayulu reste déterminé à réclamer la « vérité des urnes ». Nombreux des politiciens, s’inspirant peut-être du discours de Joseph Kabila la veille de l’investiture de Félix Tshisekedi qui prônait la coalition, réajustent la main tendue par Felix Tshisekedi à Martin Fayulu lors de son discours d’investiture.

Alors qu’il vient de terminer sa première tournée en Afrique en tant que président élu et investi de la RDC, petit à petit,  Félix Tshisekedi semble prendre de l’envol dans sa présidence et se conférer une légitimité tant nationale qu’internationale. Lors du 34e sommet de l’Union africaine auquel il prend part depuis le week-end, Félix Tshisekedi vient d’être élu deuxième vice-président de l’Union africaine après Cyril Ramaphosa, premier vice-président et l’égyptien Abdel Fatah Al Sissi, président de l’Union africaine en remplacement de Paul Kagame.   Dans son discour, le président congolais a rendu hommage à ses homologues, loué l’alternance politique « mettant en garde » ceux qui soutiennent les groupes armés  dans son pays tout en  annonçant être disponible de coopérer avec les « partenaires qui veulent faire affaire au Congo. Il a aussi rendu hommage à Moussa Faki, président de la commission de l’Union africaine lui promettant son soutien. Quelques jours avant, le patron de la commission de l’Union Africaine s’était déjà   exprimé pour rassurer la RDC de son accompagnement afin de « consolider ses acquis ». Ces propos de Moussa Faki, lors de la rencontre des ministres des affaires étrangers africains, avaient mis préalablement du baume  sur le cœur du nouveau président congolais dont la légitimité ne cesse d’être contestée par Martin Fayulu son rival des élections du 30 décembre qui revendique la victoire des élections avec 60% de vote.

A quelques jours de l’ouverture du 38e sommet de l’Union Africaine, Fayulu a saisi la cour africaine des droits de l’homme, pour  que, selon le secrétaire général adjoint du Mouvement de Libération du Congo, Fidèle Babala, cité par le soir.be, leurs droits soient reconnus et que Fayulu soit réinvesti dans sa position initiale qui est celle de la présidence de la République, une requête qui, au regard de ce qui précède pourrait avoir peu de chance d’aboutir. Profitant de la session de l’Union africaine à Addis-Abeba, Fayulu a écrit aux chefs d’Etats africains pour leur proposer l’éventualité de réorganiser les élections dans un délai de six mois. Il a demandé à ce qu’il y ait la création d’un comité spécial de l’Union africaine pour la vérification de « la vérité des urnes » en RDC. Dans cette correspondance adressée à l’Union africaine, Fayulu dénonce la CENI d’être complice d’une machination qui cherche à « pérenniser le système de Kabila » tout en regrettant que la mission de l’Union africaine prévu à Kinshasa n’ait pas pu être organisée. Fayulu, va-t-il lâcher prise ?

  Il va sans dire que cette situation risque de plonger la RDC dans une crise qui pourrait être similaire à celle qui prévaut actuellement au Venezuela. Martin Fayulu d’ailleurs y avait fait allusion lors de son meeting dernier à la place Sainte Thérèse lorsqu’il a invité la communauté internationale à « ne pas le laisser tomber ». Fayulu a invité ses partisans à une « résistance pacifique » et a promis faire une tournée dans toutes les provinces pour continuer à revendiquer sa victoire. Une promesse qu’il compte bien tenir puisqu’il a annoncé que le vendredi 15 février prochain il fera un meeting dans la ville de Goma au Nord-Kivu.

Ce n’est pas tout. En réponse à Félix Tshisekedi qui a affirmé mardi à Luanda que Martin Fayulu n’avait pas apporté les preuves de sa victoire, Martin Fayulu a demandé à la CENI de donner les preuves de la victoire de celui-ci. Lors de son discours du 24 janvier 2019, le leader de l’UDPS avait fait un hommage particulier à Fayulu et lui avait tendu la main comme pour dire qu’il était prêt à travailler avec lui. Même si ce dernier qualifie cette main de « sale », il affirme toutefois ne pas être ennemi au nouveau président investi. D’ailleurs les accolades qu’ils se sont donnés à leur église Philadelphie le dimanche dernier ont donné une autre tournure au puzzle. Que voulait-il dire en réalité par « tendre la main » à Fayulu ? Jusqu’où est-il prêt à aller pour stopper l’hémorragie de ses contestations ? D’aucuns pensent que lui qui se veut un pacifiste devrait à tout prix éviter un nouveau chaos politique dans le pays en chantier qu’il vient d’hériter après une si longue lutte. Les actions qu’il a posées à seulement deux semaines de son investiture laissent explorer un nouvel espoir pour le Congo spolié. Mais Fayulu qui ne se tient pas pour battu, avec ses multiples contestations, n’est-il pas nul autre que du sable dans les bottes de son nouveau gouvernement ? Jusqu’où lui aussi il est prêt à aller, lui qui, après le rejet de sa requête par la cour constitutionnelle a décidé de saisir la cour africaine des droits de l’homme et aujourd’hui lancer un appel de soutien à tous les chefs d’Etat réunis à Addis-Abeba ? Et s’il n’avait pas toujours gain de cause ? Fayulu ne veut-il pas aussi prendre part au gâteau ? Et s’il était  nommé premier ministre ?

 Alain Daniel Shekomba,  est l’un de ceux qui s’en tiennent à cette théorie pour, semble-t-il, prévenir de futures « exactions ». Pour ce candidat malheureux à la présidentiel de décembre 2018 qui s’était retiré avant le scrutin du 30 décembre, sa proposition entre dans une « démarche républicaine consistant pour une paix durable, l’unité et la cohésion nationale ». Shekomba, oublie-t-il que le pouvoir de nommer un premier ministre ne revient pas vraiment au président élu qui n’a pas la majorité au parlement ? Et même si un accord devrait être trouvé entre les deux partis pour « bercer » Fayulu et le museler une bonne fois pour toutes, le partisan de Lamuka serait-il prêt à mettre fin à sa course au pouvoir « perdu » ?

La nomination d’un premier ministre et chef du gouvernement reste tant attendu en RDC. En vertu de l’article 78 de la constitution du 18 février 2006 tel que modifiée par la loi numéro 11/002 du 20 janvier 2011, le président de la République doit nommer un premier ministre au sein de la majorité parlementaire. L’article ajoute que « si une telle majorité n’existe pas, le président confie une mission d’information à une personnalité en vue d’identifier une coalition ». Depuis la proclamation des résultats provisoires par la CENI, des doutes sons émis sur l’éventualité d’une majorité parlementaire au sein de l’assemblée nationale. Aucun parti ou regroupement politique  ne peut prétendre aujourd’hui détenir la majorité au parlement, pense aussi, Me Eric Birindwa Nyamazi, avocat au barreau de Goma et chef de Travaux à la faculté de Droit de l’Université de Goma, dans une analyse partagée sur les réseaux sociaux. « Le Front commun pour le Congo compte à ce jour plus ou moins 350 députés nationaux mais cependant, il ne constitue pas un regroupement politique enregistré en bonne et due forme au Ministère de l’intérieur, c’est juste une plate forme électorale et la majorité qu’elle détient est virtuelle »  Me Eric Birindwa trouve aussi la nécessité actuelle pour le président de la république de « designer un informateur qui aura pour mission de dégager la majorité parlementaire réelle d’où sortira le premier ministre et ce, conformément à l’article 78 de la constitution ».

Il est prévu que le président de la république se penche sur cette question à son retour d’Addis Abeba. Pour Alain Daniel Shekomba, nommer Fayulu comme premier ministre permet de mettre de l’eau dans le vin. « ‘Nous sommes dans une situation de crise. Les résultats des élections divisent. Je pense que pour pouvoir mettre en place une certaine cohésion et la paix dans le pays’ le président doit nommer ‘ Martin Fayulu comme premier ministre’ » a-t-il déclaré sur TopCongo FM cité par mediacongo.net. Alain Daniel Shekomba voudrait qu’une exception soit faite étant donné « qu’on sait tous comment ces élections ont été organisées, comment le pouvoir a été donné. Si tout était organisé dans le respect de la loi, Martin Fayulu ne serait pas en train de contester les résultats». « Cette proposition n’est pas constitutionnelle. La loi congolaise a déjà défini comment se désigne un Premier ministre » rappelle Jean-Baudouin Mayo, secrétaire général de l’UNC sur mediacongo.net. Il trouve que rien ne peut justifier une telle nomination « du moment où nous avons des institutions légitimes ».

Qu’en est-il de Lamuka ?

La coalition de Martin Fayulu n’est en rien d’accord avec une telle proposition qui pourrait écarter le combat légitime qu’il mène pour faire accepter la « vérité des urnes ». « Martin Fayulu ne peut accepter cette proposition, car c’est lui qui est le président élu et légitime » réplique le professeur Devos Kitoko, secrétaire général de l’Ecidé, sur mediacongo. Les partisans avancent qu’ils ne seraient pas prêts à accepter une telle proposition.

Qu’en pense l’opinion congolaise ? Y a-t-il lieu de retourner en arrière pour soit disant réclamer la « vérité des urnes » ? Que veut le peuple congolais à l’heure actuelle ? Faut-il se pencher sur un gouvernement d’union nationale qui pourrait faire participer tout le monde et écarter ainsi une potentielle crise ? Et si vraiment cette proposition d’Alain Daniel Shekomba devrait vraiment mise en examen ?

Patrick BASSHAM