RDC: Bonne nouvelle pour les amoureux du Football

Après quatre mois d’arrêt et moultes, la 28ieme édition du championnat national de la ligue Nationale du Football (LINAFOOT) première division, Vodacom Ligue 1, devra reprendre officiellement le vendredi 05 mai 2023 par un match qui opposera les corbeaux du Tout-Puissant Mazembe face à la Jeunesse Sportive de Kinshasa (JSK) au stade Mazembe de la commune de Kamolondo à Lubumbashi, chef-lieu de la Province du Haut-Katanga.

Dans un communiqué signé par le secrétaire général adjoint de la LINAFOOT, Antoine Luzizila Mbala dont une copie est parvenue à notre rédaction, on y retrouve d’autres matchs qui seront au programme pour le samedi 06 mai 2023 dont Maniema Union contre FC Renaissance, AC Kuya contre AC Rangers et Daring Club Motema Pembe (DCMP) contre US Panda.

Il sied de signaler que la publication de ce calendrier de la LINAFOOT donne réponse au préalable soulevé jeudi 20 Avril 2023 par les dirigeants des clubs lors d’une rencontre avec le ministre chargé des sports, Monsieur François Claude Kabulo.

Malgré, cette publication du calendrier, les doutes persistent encore quant au respect de ce calendrier étant donné que la LINAFOOT n’a reçu aucun soutien de la part du gouvernement Congolais, a appris notre rédaction de la part de plusieurs sources concordantes.

Rappelons que c’est depuis décembre 2022 que ce championnat national de la Ligue Nationale du Football (LINAFOOT) Première Division Vodacom Ligue 1 a été arrêté par manque de moyens financiers. Nombreux analystes sportifs estiment que cet arrêt du championnat national a eu un impact très négatif, non seulement sur les résultats des clubs Congolais en compétition Africaine mais également sur les léopards locaux ayant disputé le dernier CHAN en Algérie.

La Rédaction

Lutte contre l’insécurité à Goma: 7 autres présumés bandits, dont une femme, présentés au maire

Les services de sécurité ont présenté à nouveau ce samedi 21 avril 2023 sept nouvelles personnes Soupçonnées d’être impliquées dans l’insécurité grandissante actuellement en ville de Goma.

Il s’agit d’une bande de 7 présumés bandits, dont une femme allaitante, attrapés au niveau du quartier Bujovu, Rond-point Kihisi, munis de plusieurs objets de crimes et des biens cambriolés à la veille dans la même zone.

De ces objets, l’on note des armes blanches, deux bidons de carburant, des parapluies et un téléphone Android de la marque Techno.

Le Maire Adjoint de la ville de Goma, le commissaire supérieur principal Kapend Kamand Faustin, à qui ces présumés bandits ont été présentés, félicite la détermination des services de sécurité à démanteler tous les réseaux des criminels dans la ville de Goma et ses environs, appelant la justice à bien faire son travail pour corriger les bandits.

Ce groupe de 7 s’ajoute à un autre groupe de 13 présumés bandits appréhendés et présentés au maire cette semaine, et reprochés pour les mêmes faits.
Encourageant les services de sécurité, la population attend voir si ces arrestations en cascade vont ramener le calme dans la ville en cette période où l’insécurité a pris des niveaux assez inquiétants, marqués par des tueries, des cambriolages et des fusillades presque tous les jours.

Esther BUINGO

Goma: Appréhendé par la police, un bandit livre des armes qu’il cachait dans le camp des déplacés à Bulengo

Selon le chef de Quartier Lac vert qui livre la nouvelle à KivuNyota, le fait s’est passé dans la journée de ce vendredi 21 avril 2023.

À en croire Dedesi Mitima, c’est au cours d’une opération de poursuite d’un groupe des bandits porteurs d’armes à feu que les agents de police ont réussi à mettre la main sur cet homme, qui les a conduit jusqu’au lieu où il cache des armes, le camps des déplacés à Bulengo.

« C’est un ressortissant de Masisi. Il se trouve qu’il logeait d’abord vers Mugunga avant de se déplacer vers le camp des déplacés à Bulengo et il fait partie d’un vaste réseau des bandits à mains armées opérant en ville de Goma… La police est tombée sur lui grâce à une alerte lancée par un taximan-moto qui a prévenu la police après avoir constaté des mouvements suspects de cet homme et ses collègues… » a-t-il témoigné à KivuNyota.

C’est alors que la police a utilisé ses stratégies, poursuit-il, pour contraindre le monsieur à montrer les armes et celles-ci ont été trouvées dans le camp des déplacés. Ses collègues n’ont pas été attrapés.

Félicitant la bravoure de la Police, Dedesi Mitima appelle à la vigilance de la population à tous les niveaux et surtout à la dénonciation de tout cas suspect.

Face à ce cas, il demande également aux bailleurs des maisons de bien identifier leurs locataires avant de leur céder une maison à louer, étant donné que le groupe dans lequel fait partie la personne arrêtée logerait dans une maisonnette située dans une parcelle inhabitée vers l’avenue Nyarusiru au quartier Lac Vert.

Emmanuel Barhebwa

Le Clergé de Kindu face au Cantonnement du M23 au Maniema: « Les souvenirs malheureux nous poussent à voir le mal de loin et de le repousser »

« Dans l’exercice de son ministère, le prophète est amené à accuser le peuple pécheur, l’appeler à la pénitence, l’exhorter à la justice, à brandir la menace du jugement au pécheur et promettre la justice », c’est à ce titre que les prêtres catholiques du Diocèse de Kindu ont publié ce vendredi 21 avril 2023 leur « message alarmant sur la situation de la province du Maniema », exprimant leur crainte sur le projet de Cantonnement des ex-rebelles M23 dans cette province.

Dans ce message ,dont KivuNyota vous propose l’intégralité à la fin de cet article, les prêtres du Maniema, après avoir présenté un tableau sombre de la situation tant socio-économique que sécuritaire de leur région ; disent craindre le pire face à la décision/projet de Cantonnement des ex-rebelles du M23 au Maniema.

Et de s’interroger:

« Qu’est-ce qui justifie le choix porté sur la ville de Kindu pour le cantonnement
de ces ex-rebelles alors que la Province du Maniema partage les limites avec
les zones insécurisées par le M23?
-Que vise le Gouvernement national en cantonnant ces ex-rebelles à Kindu ?.Au regard des terreurs semées et de l’insécurité souvent créée par les rebelles
du M23 a I’Est du pays depuis des années, quelle garantie donne le
Gouvernement national à la population du Maniema par rapport à sa securite et
à son avenir ?car dit-on, qui a bu boira. Une telle décision/projet, face à
l’insécurité généralisée qui se vit actuellement au Maniema et non encore
maitrisée, présage le pire
« .

Eu égard à tout ceci, les prêtres du Diocèse de Kindu exhorte le Gouvernement Congolais (Gouvernement central) à « prendre le temps qu’il faut avant d’exécuter ce projet de cantonnement des ex-rebelles du M23 au Maniema. Et ce en prenant en compte les réactions-propositions de la population dans sa représentation. Ce qui éviterait des conflits et des conséquences plus désastreuses demain ».

À la population le clergé de Kindu demande de ne pas se décourager, de prendre en main le destin commun de leur province et surtout de s’approprier les recommandations du Forum pour l’Unité, la Cohésion et le développement des et fils du Maniema organisé du 14 au 15 février 2023 à Kindu.

Emmanuel Barhebwa

Ci-dessous, l’intégration de ce message.

MESSAGE ALARMANT DU CLERGE DU DIOCESE DE KINDU SUR LA
SITUATION DE LA PROVINCE DU MANIEMA

Kindu. Ie 21 avril 2023

« Vers ceux à qui je t’enverrai, tu iras et tout ce que je t’ordonnerai, tu le diras »
(Jr 1,7b)

  • Aux autorités politico-administratives
  • Aux honorables députés
    et sénateurs
  • Aux hommes de bonne volonté
  • Chers frères et sœurs
    Comme vous le savez, dans l’exercice de son ministère, Ie prophète est amené à accuser le peuple pécheur, l’appeler à la pénitence, d’exhorter à la justice, à brandir la
    menace du jugement au pécheur et promet au juste le bonheur.

C’est à ce titre que nous, Prêtres catholiques du Diocèse de Kindu, réunis à Kindu, du
15 au 20 avril 2023, mus par l’Évangile du Christ et éclairés par la Doctrine sociale de
L’ Église et unis à notre Evêque, nous nous sommes penchés sur les conditions de vie
actuelle de la population maniemienne, dont nous avons la charge pastorale. Le
constat étant amer, nous sommes profondément inquiets et préoccupés par la détérioration de la situation économique, sécuritaire et humanitaire ainsi que par
l’impasse que présage le prochain cantonnement des ex-rebelles du M23 dans certains
sites de la Province du Maniema, à quelques kilomètres seulement de son Chef-lieu
qu’est la ville de Kindu.

  • A. Constat amers
  • De la situation socio-,économique

L’histoire récente de la Province du Maniema renseigne que celle-ci jouissait d’une
relative stabilité économique, en ce sens qu’elle était un véritable grenier qui
alimentait les Provinces voisines (à l’occurrence le Katanga, la Province Orientale, les
deux Kasai …dans leurs anciennes configurations) en huile de palme, riz,arachides,
mais…

A ces jours, la santé économique de notre Province est critique. Elle empire au jour le jour et se caractérise par la baisse de la production agricole, la flambée des prix des denrées alimentaires et des produits de première nécessité. A la base, il y a la quasi inexistence des routes pouvant relier la ville de Kindu aux 7 Territoires que compte la province du Maniema et aux autres Provinces voisines. Le train qui facilitait par le passé Ie transport des personnes et des biens de
Kindu à Lubumbashi, Kindu à Kalemie et vice-versa, devient très rare.

II en est de même de l’inopérationalité du pont flottant, qu’est le bac, reliant les Rives droites et gauches du Fleuve congo dans la ville de Kindu.

Au demeurant, nous signalons également Ie danger permanent que présente la
voirie urbaine de Kindu, particulièrement, au niveau de la station Sonahydro, qui cède une partie après chaque pluie et au niveau du pont Mangobo, à Alunguli,
sur le point de s’écrouler, au cœur même de la ville de Kindu, sous les regards impuissants et indifférents des autorités compétentes.

Par ailleurs, nous constatons que l’approvisionnement en électricité est devenu très irrégulier et les paisibles citoyens sont sommés de payer de payer Ies factures pour l’énergie non consommée.

  • De l’insécurité dans la province du Maniema

L’insécurité quasi généralisée à travers la ville de Kindu et dans certains coins de la
Province’ notamment dans les Territoires de Kabambare, Kasongo et
Lubutu, influe directement sur la vie des personnes. EIIe porte atteinte à
la dignité humaine et au respect des droits humains.
Notons en plus que, dans la ville de Kindu, bien d’autres
faits troublants nous tourmentent par leur gravité et leur répétition ; des vols à mains armées accompagnes des viols sur les femmes et les filles mineures. A ce niveau, il sied de signaler que ces malfrats opèrent bien souvent en toute quiétude.
Et la population se trouve presqu’ abandonnée à son triste sort par les services compétents censés Ia proteger.

Cette démission est à la base de la justice populaire qui provoque des pertes en vies
humaines. C’est une situation déplorable !

A ce tableau sombre, s’ajoutent Ie dysfonctionnement des institutions politiques provinciales : d’une part de L’assemblée provinciale et d’autre part au Gouvernement
provincial avec un régime intérimaire tendant à se perpétuer. Chose qui déçoit les
espoirs et laisse un impact négatif sur Ia population en cette année électorale.

  • B.Expression de crainte sur le projet de cantonnement des ex-rebelles M23
    au Maniema

C’est à travers differentes voies de communication – radios,
télévisions, réseaux sociaux, journaux …que nous avons appris le projet de cantonnement des ex rebelles du M23 dans certains sites de Ia Province du Maniema, à quelques kilomètres seulement de la ville de Kindu, chef-lieu de la Province du Maniema.
Un tel programme brusque, flou et improvisé a été fustigé par certains Députés. Notables, chefs coutumiers, Chefs coutumiers et organisations de la Societé civile au lendemain de cette nouvelle.

Face à cette situation, nous exprimons également notre crainte de voir présager la
conception d’un projet cachant une réalité obscure.

Quelques questions demeurent :

-Qu’est-ce qui justifie le choix porté sur la ville de Kindu pour le cantonnement
de ces ex-rebelles alors que la Province du Maniema partage les limites avec
les zones insécurisées par le M23?

-Que vise le Gouvernement national en cantonnant ces ex-rebelles à Kindu ?

-Au regard des terreurs semées et de l’insécurité souvent créée par les rebelles
du M23 a I’Est du pays depuis des années, quelle garantie donne le
Gouvernement national à la population du Maniema par rapport à sa securite et
à son avenir ? car dit-on, qui a bu boira. Une telle décision/projet, face à
l’insécurité généralisée qui se vit actuellement au Maniema et non encore
maîtrisée, présage le pire.

Les questions de ces genres étant légion, nous rappelons que les souvenirs malheureux et douloureux de nos compatriotes du Nord-Kivu nous poussent à voir le mal de loin et de le repousser. Faudrait-il que le sang coule encore au Maniema !

  • C. Que devons-nous faire ?
  • Au Gouvernement central

Nous exhortons les autorités nationales à prendre le temps qu’il faut avant d’exécuter ce projet de cantonnement des ex-rebelles du M23.
Et ce en prenant en compte les réactions-propositions de la population dans sa représentation. Ce qui éviterait des conflits et des conséquences plus désastreuses demain.

  • Au Gouvernement provincial

Nous demandons au Gouvernement provincial de sécuriser les personnes et leurs
biens pour favoriser le développement de la Province, qu’il mette les moyens
possibles pour entretenir, le plus tôt, les routes en désenclavant le chef-lieu de la
Province de sept Territoires. Nous Ie conseillons également d’être l’ambassadeur de la population au Gouvernement central. Et ce en transmettant fidèlement son desiderata et non le contraire. car, il est au service de la population.

  • A la population du Maniema

La Province va très mal. Il est impérieux de nous impliquer tous, chacun de son niveau.
Face au tableau sombre que présente aujourd’hui notre Province, la pire des choses est le découragement, le silence coupable et le désintéressement
de ces situations.
Nous devons prendre en main notre destin commun. Approprions-nous
les recommandations du Forum pour I’Unité, la cohésion et le développement des filles et fils du Maniema organisé du 14 au 15 février 2023 à Kindu. Mettons-nous debout, dressons nos fronts encore courbés et prenons le plus bel élan.

En définitive, pour la cause du Maniema, ne nous taisons pas. Que la Vierge Marie,
Reine de la Paix et Mère du Ressuscité nous obtienne la Paix auprès de Son Fils, Jésus le Christ Ressuscité.

Que Dieu bénisse la République Démocratique du Congo!
Que Dieu bénisse la Province du Maniema !

Nous vous bénissons !

Insécurité à Goma: Nouvelle fusillade d’un cambiste à Kyeshero

Le triste événement a été enregistré à 18h30 de ce jeudi 20 avril 2023 sur avenue de l’unité non loin côté du centre récréatif de Kakwende, dans le quartier Kyeshero, ville de Goma; lorsque les hommes armés non autrement identifiés ont tiré sur un changeur de monnaie répondant au nom de ALPHA, devant la porte de sa maison.

Selon les sources sur place, dont le président du conseil local de la jeunesse à Kyeshero, les assaillants sont partis après avoir récupéré une somme importante d’argent et d’autres biens appartenant à la victime.
« La situation devient de plus en plus compliquée à Kyeshero » s’indignent nombreux habitants, apprenant ce nouveau cas, qui vient s’ajouter à plusieurs autres enregistrés dans la zone ces dernières semaines.

D’autres sources non officielles soulignent que la victime ne serait pas décédée sur le champ, et a été dépêché à l’hôpital pour des soins appropriés; implorant à Dieu de l’épargner de la mort.

Les cas de fusillade des paisibles citoyens par des hommes en armes non-autrement identifiés ne cessent de s’accumuler du jour au lendemain à Goma, inquiétant au plus haut point les habitants du milieu qui supplient les autorités de redoubler des efforts pour sécuriser la population.

Richard Kubuya

Masisi : 4 blessés dans des nouvelles manifestations contre la MONUSCO

Dans une mission d’inspection des travaux au pont de Loashi ( groupement Baphuna) effondré par les eaux de pluie le mois de février dernier, la Mission des Nations-Unies pour la Stabilisation en République Démocratique du Congo (MONUSCO) s’est retrouvée lapidée par la population de Masisi centre ce jeudi 20 avril.

D’abord les citoyens ont indexé la Monusco d’être venue pour faciliter l’entrée du M23 dans cette partie du territoire de Masisi, ensuite entretenir des liens très reprochés avec lui.

« Nous ne voulons pas d’eux ici. ils sont aussi ennemis comme le M23. Et d’ailleurs, depuis la prise des Rutshuru, Nyiragongo et Kitshanga, ce sont eux qui frayent Passage pour le M23. Leur mission doit promptement être arrêtée, ils doivent rentrer immédiatement à Goma peu importe la quintessence de l’arrivée. Ils sont semeurs d’insécurité » a indiqué l’un des manifestants au reporter de KivuNyota.

La présence de l’administrateur assistant du territoire, commandant régiment en place, commissaire territorial de la police et les forces de l’ordre a diminué la tension, empêchant le débordement des habitants, qui étaient au point d’incendier les engins de la Monusco.

Quatre blessés poursuivent des soins à l’hôpital général de référence de Masisi et aucune mort, c’est le bilan de cette manifestation.

Parmi les blessés, trois éléments des forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) et le président du parlement des jeunes à Masisi( HANGI AFANI Ruffin) qui empêchaient les manifestants en Colère de ne pas piller, lapider et détruire les casques bleus et leurs biens.

Situation qui inquiète la Société Civile locale qui estime que cette attitude de la population résulte d’une mauvaise communication, car la population gobe des mauvais souvenirs de la Monusco.

En prévention, pense-t-elle, les autorités devraient clarifier en amont la population sur le motif de cette visite de la MONUSCO, au lieu de tout improviser,comme ce fut le cas.

« Ça nous touche. Pourtant c’était une visite bénéfique pour nous. Depuis l’effondrement du pont de Loashi la vie est devenue trop chère, le trafic des marchandises entre Masisi et Nyabiondo est paralysé. Mais la communication a été très faible. Aussi, la crédibilité de la population face à la MONUSCO est douteuse depuis la prise des plusieurs localités du pays par le M23. Elle pense que la structure onusienne complote avec le M23 » s’est exclamé le président de la société civile, SADIKI VOLTAIRE.

La sécurité n’est pas encore de retour dans sa globalité dans plusieurs agglomérations de Masisi, la population s’intéresse à tout mouvement dans la communauté en termes de vigilance. D’où la nécessité d’intensifier la collaboration entretien autorités locales et les habitants pour prévenir des situations calamiteuses de ce genre.

USHINDI David