RDC: Découvrons Célestin Mugarukira, ce jeune Ingénieur Agronome devenu Conducteur d’engins lourds

Passionné de l’agriculture et de son développement dans l’Est de la RDC où il est né et grandi, Célestin Mugarukira, jeune Ingénieur Agronome congolais a été certifié fin Mai 2025 « Opérateur d’Excavateur (Pelle hydraulique) par WESTERN HEAVY MACHINERY MANAGMENT AND TRAINING CENTER, une extension du centre de formation Sud-Africain à Kampala (Ouganda)

Ceci le classe désormais parmi les rares jeunes congolais à détenir une telle compétence en 2025, et rend davantage intéressant son parcours marqué, d’un côté par un désir profond d’apprendre au quotidien, et de l’autre côté par des obstacles franchis du jour au lendemain.

Qui est Célestin Mugarukira?

Fils aîné de Monsieur Ernest Mugarukira et de Madame Sylvie Nyandwi, Célestin est né à Rushaki dans le groupement de Busanza dans le territoire de Rutshuru en Province du Nord-Kivu dans l’Est de la République Démocratique du Congo.

Parcours scolaire

Formé à l’école primaire 2 Rugarama où il obtient son certificat de fin d’études primaires en 2011, Célestin découvre, tout jeune, sa passion pour l’agriculture et s’inscrit à l’Institut Technique Agricole et Sociale de Busanza (ITAS/Busanza).
Il y obtient en 2017 son diplôme d’État en techniques agricoles, option vétérinaire, après un brillant parcours scolaire. Celui-ci est marqué par la curiosité d’apprendre et les essais de la mise en place des nouvelles techniques et variétés des cultures dans son entité pour accroître la production locale.

Après les humanités, le jeune diplômé est très préoccupé par la faible rentabilité des activités agricoles dans son entité. Il trouve cela anormal et surtout contradictoire à ce qu’il a appris à l’école au sujet de la contribution de l’agriculture dans le développement de nombreux pays à travers le monde.

Choqué par ce constat et déterminé à relever les défis du secteur agricole dans son entité, Célestin décide de poursuivre ses études universitaires en Sciences Agronomiques. Il veut compléter la formation reçue au secondaire et mûrir ses réflexions sur la relance de nombreuses cultures pratiquées dans le territoire de Rutshuru.

Parcours universitaire marqué par la recherche et la pratique

En 2017, en accord avec ses parents, Célestin s’installe en ville de Goma pour ses études universitaires.

Inscrit dans la faculté des « Sciences Agronomiques et Environnement » au sein de l’Université de Goma (UNIGOM), l’étudiant Mugarukira brille par son assiduité aux cours et surtout par sa curiosité légendaire de vouloir marier la théorie apprise à la faculté, à la pratique sur le terrain.

En 2022 le jeune étudiant expérimente la culture des tomates dans la parcelle où il habite au quartier Kyeshero dans la partie Sud-Ouest de la ville de Goma et l’expérience connaît une réussite incroyable. Au bout de quelques mois, celui-ci récolte plusieurs bassins de tomates. Une partie de la récolte est consommée en famille et l’autre est soit vendue, soit donnée aux proches.

Cette expérience inspire Célestin et ses camarades qui lui emboîtent les pas, à répandre la même culture dans plusieurs autres parcelles de la ville de Goma, en accord avec leurs propriétaires.

C’est le succès de ces pratiques et leur appréciation par de nombreux consommateurs, qui vont pousser Célestin Mugarukira et ses conseillers à réfléchir sur la création d’une structure locale spécialisée dans la promotion de l’agriculture urbaine et périurbaine.

SHIKA JEMBE SARL

En 2023, voit le jour l’entreprise «Shika Jembe SARL »( concept tiré de la langue swahili) qui veut dire « Prends la Houe » prenant le sens d’encourager la « Bravoure des agriculteurs ».

Célestin Mugarukira, alors étudiant finaliste, y est nommé Directeur Technique.

Au départ l’entreprise se fixe pour objectif de développer l’agriculture urbaine et périurbaine (à l’intérieur et autour de la ville) afin de diminuer la dépendance de la ville vis-à-vis des milieux ruraux et l’importation de certains produits agricoles en provenance des pays voisins.

En dépit de plusieurs difficultés, les premiers pas de Shika Jembe connaissent des bons résultats à travers la matérialisation du premier projet sur la production maraîchère de la tomate de première génération, la carotte, l’aubergine, la pastèque et l’amarante sur son site de permaculture au quartier LAC VERT à l’ouest de la ville de Goma.

Son deuxième projet sur le poivron connaît malheureusement des difficultés suite aux défis climatique et financier d’une part et de l’autre côté de l’indisponibilité de l’équipe technique, la plus part coincés par les études.

Après la soutenance de son mémoire fin Mars 2023, portant sur « Effet de l’engrais minéral NPK 17-17-17, l’engrais organique ( fiente de poules) et de leur combinaison sur le rendement de la variété de tomate BAWITO F1 à Goma », Célestin Mugarukira est un peu dégagé.

Le nouvel Ingénieur et ses collègues accélèrent les démarches pour formaliser leur organisation et finissent par obtenir fin 2023, tous les documents administratifs.

Peu de temps après, Shika Jembe SARL gagne la confiance des organisations tant locales que nationales du domaine agricole, jusqu’à décrocher en août 2024 la participation à un sommet international (le forum international des jeunes Agripreneurs) à Arusha en Tanzanie.

À ce jour, malgré les défis de la guerre et de l’instabilité politique dans la région du Nord-Kivu où elle mène ses activités, l’entreprise « Shika Jembe» demeure parmi les rares structures actives dans le secteur agricole cultivant, saison après saison, des nombreuses cultures vivrières et maraîchères.
Déterminée à étendre ses services dans ce secteur, cette structure s’annonce déjà dans la transformation de certains produits agricoles en faveur des communautés locales.

Conduite d’engins lourds

Début 2025, la situation sécuritaire se détériore davantage en province du Nord-Kivu dans l’Est de la RDC.

C’est en ce moment précis que l’ingénieur Célestin Mugarukira prend la direction de l’Ouganda. Son désir de se former et sa curiosité l’amènent cette fois-ci dans l’apprentissage du fonctionnement et de la conduite d’engins lourds(tracteurs, machines à pelles,…).

L’Ingénieur Célestin Mugarukira justifie ce choix, d’un côté par le souci de révolutionner le secteur agricole en RDC, et de l’autre côté par le souci de palier à la carence d’opérateurs congolais dans ce secteur. «Chaque fois que je voyais ces engins dans notre pays, j’étais toujours choqué de constater que les conducteurs étaient des étrangers » indique-t-il.
« C’est cela qui m’avait révolté et motivé à me faire former dans ce secteur ».

Convaincu que le Congo ne peut se construire que par ses propres fils, Célestin estime qu’à travers sa nouvelle casquette il peut motiver d’autres congolais à lui emboîter les pas et à s’investir dans le développement de l’agriculture et la révolution technologique de la Nation.

Le plus grand rêve de Célestin Mugarukira, assure-t-il, c’est de voir la RDC devenir une puissance agricole au niveau du continent africain voire dans le monde. « Pour y arriver, le pays devra absolument passer par la modernisation de l’agriculture. Et Ce sera pour nous une fierté de faire parti des pionniers de cette révolution agricole…» espère l’Ingénieur Célestin Mugarukira.

Concluant, celui-ci exhorte d’autres jeunes congolais à « rester accrochés à leurs rêves » et « à ne jamais baisser les bras ».

Emmanuel Barhebwa

« Reika Okito : Une Voix Lyrique qui enchante les ambitions du chant en RDC

Ingénieure en Construction et Génie Civil de renom, Reika Okito transcende les frontières entre le monde professionnel et artistique. Cette artiste musicienne lyrique, passionnée d’opéra, est une voix exceptionnelle dans le paysage musical du en République Démocratique, où la musique classique est encore peu connue. Dans cette interview exclusive accordée à Kivu Nyota pendant son séjour à Goma, Reika partage son parcours, ses influences, ses défis et ses projets futurs.

Une Passion Née dans les Chants Sacrés :

Reika Okito a découvert sa passion pour la musique lyrique dès son enfance, participant à une chorale à l’église dès l’âge de 9 ans. Ce fut le point de départ d’une aventure musicale qui dure depuis maintenant une décennie.

Ses principales influences musicales sont diverses, allant de grandes voix féminines comme Cecilia Martoni et Helene Fisher à des artistes masculins tels qu’Andrea Bocelli et le groupe Il Divo. Les compositeurs classiques tels que Vivaldi, Mozart, Haendel et Beethoven ont également laissé une empreinte indélébile sur son style musical.

Un Parcours de Formation Autodidacte :

Reika s’est formée seule au chant, mais elle attribue une part significative de son développement artistique à des mentors tels que son oncle Jacques Nyamanga, Faustin Muluwayi, Ricky Lito, Joel Moleka et Bienvenu Rachid. Leurs conseils et leur direction ont façonné son art et l’ont guidée vers l’excellence.

Défier les Stéréotypes : Évoluer dans le secteur artistique en tant que femme comporte des défis, mais pour Reika, c’est une opportunité de faire connaître la musique lyrique au Congo. Elle voit sa musique comme éducative, un moyen de transcender les barrières culturelles et de partager un art qui touche les âmes.

Récompenses et Reconnaissance :

Parmi les moments les plus gratifiants de sa carrière, Reika cite la compétition Vox Award à Kinshasa, où elle a remporté le Prix Spécial du Jury. Son talent a également été salué par le Forum Opéra des Pays des Grands Lacs, lui attribuant un prix pour sa contribution exceptionnelle à l’art lyrique.

Le Secret derrière la Scène :

Quand elle est sur scène, Reika oublie tout et se connecte profondément avec son public. Son secret réside dans la sincérité de sa performance, dans sa capacité à rester naturelle et à transmettre l’émotion pure de la musique lyrique.

Des Projets Ambitieux pour l’Avenir :

Reika rêve de créer une école de formation spécialisée en musique lyrique, offrant une opportunité aux jeunes talents de découvrir et d’aimer cet art souvent méconnu dans la région. Ses projets incluent également des collaborations futures et la continuation de son engagement à éduquer à travers la musique.

Reika Okito incarne la passion, l’audace et le talent, repoussant les limites de ce que l’on peut accomplir dans le domaine artistique. Son histoire inspire à la fois sur le plan professionnel et musical, faisant d’elle une figure incontournable dans le paysage culturel du Congo.

Patrick BASSHAM

QUI EST SERGE FARINI BINDU SHANDWE VOTRE CANDIDAT NUNERO 316 A LA DÉPUTATION PROVINCIALE À GOMA.

Au cœur des montagnes majestueuses de Nyabyondo, dans le territoire de Masisi, est né un homme au destin exceptionnel : Serge Farini Bindu. Le 25 mai 1985, il voit le jour, devenant ainsi le fruit de l’amour entre un instituteur, Farini LUENDO Bernard, et une femme au cœur empli de bienveillance, Tshamb Majit Jeanne. Ces valeurs d’amour, de dévouement et de solidarité ont été les fondements de son parcours hors du commun, nourrissant son désir de contribuer au bien-être de sa province et de ses concitoyens.

Un parcours académique remarquable

Serge Farini a poursuivi des études à la Faculté de droit de l’Université de Goma (UNIGOM), où il a acquis une solide formation juridique. Sa volonté de comprendre les enjeux juridiques et sa passion pour la justice l’ont motivé à approfondir ses connaissances dans ce domaine.

Une soif insatiable de connaissances et une passion enflammée pour le journalisme

Serge Farini a fait de Goma sa deuxième maison, y poursuivant la majeure partie de ses études. De l’école primaire à l’EP Nyiragongo jusqu’à l’obtention de son diplôme d’État à l’institut Faraja, il a fait preuve d’une soif insatiable de connaissances. Mais c’est sa passion enflammée pour le journalisme politique qui a illuminé son chemin. Tel une étoile guidant ses pas, il ne manquait jamais une seule édition du journal télévisé de 20 heures animé par Bruno Masure sur France2, puis par Patrick Poivre D’arvor sur TF1 de 1994 à 2008. Ces moments étaient pour lui des instants de connexion avec le monde, alimentant son amour pour la presse et son désir de faire entendre la voix des gens.

Un chroniqueur politique émérite et un visage familier des écrans

Les années qui ont suivi ont vu Serge Farini s’épanouir pleinement dans le monde du journalisme. Pendant huit ans, de 2012 à 2020, il a partagé son expertise en tant que chroniqueur politique au sein de Mishapivoicetv. Ses émissions, telles que « Zoom sur l’actualité », « Grand Débat », « Tour de table » et « Les archives du monde », sont devenues des incontournables pour les téléspectateurs. Mais ce n’était pas seulement son savoir-faire qui les captivait, c’était aussi sa capacité à humaniser les enjeux politiques et à donner une voix aux citoyens ordinaires. Son charisme et sa présence chaleureuse ont fait de lui un visage familier, un ami qui accompagnait les familles congolaises dans leurs salons, les informant et les inspirant.

Un engagement sans faille au service de la province du Nord Kivu

Au-delà des écrans, Serge Farini s’est également impliqué activement dans les affaires de sa province bien-aimée. De 2013 à 2014, il a occupé le poste de sous-directeur de la radio, puis de 2014 à 2016, il a été nommé directeur de la radio et de la télévision. Pendant ces années, il a consacré toute son énergie à informer et à sensibiliser la population sur les enjeux politiques et sociaux qui touchent le Nord Kivu. En tant que coordonnateur adjoint, puis coordonnateur de Mishapi voicetv de 2016 à 2020, il a été le pilier central de la chaîne, un guide pour ses collègues et une inspiration pour ceux qui aspiraient à faire une différence.

La quête de l’excellence et la reconnaissance internationale

En mars 2020, Serge Farini a été nommé coordonnateur de la cellule de communication au Cabinet du Gouverneur par Carly Nzanzu Kasivita, son mentor politique. Cette nomination a été confirmée sous l’état de siège par le Lieutenant-Général Constant Ndima. Mais son engagement ne s’est pas limité aux frontières de sa province. Il a cherché à se perfectionner, à repousser les limites de ses compétences. Ainsi, il s’est envolé vers Rabat, au Maroc, où il a suivi une formation en marketing territorial. C’est là-bas qu’il a représenté avec fierté le Nord Kivu lors du Symposium Africa Place Marketing (APM), se hissant à la deuxième place, juste derrière Dakar, la capitale sénégalaise, et devant 14 autres villes et régions francophones d’Afrique. Cette reconnaissance internationale a été le témoignage de son dévouement et de son talent exceptionnel.

C’est lors d’une cérémonie prestigieuse qui s’est déroulée dans la ville de Casablanca, au Maroc, que Serge Farini a été honoré et a reçu un prix en reconnaissance de ses réalisations exceptionnelles. Ce prix, obtenu dans le cadre du Symposium Africa Place Marketing (APM), a été une confirmation de son dévouement, de son talent et de son impact dans le domaine du marketing territorial. Sa réussite à ce symposium a placé le Nord Kivu sous les feux de la rampe internationale et a renforcé sa détermination à promouvoir le développement de sa province.

Un homme au service de la communauté et fondateur de la Fondation NEEMA IKO

Mais au-delà de ses réalisations professionnelles, c’est l’aspect humaniste de Serge Farini qui touche le plus profondément. Il est bien plus qu’un homme de médias, il est un homme de cœur. Son engagement envers sa province et ses concitoyens est inébranlable. Il incarne l’espoir et la détermination d’une jeunesse qui aspire à un avenir meilleur, d’une communauté qui rêve de progrès et de justice sociale. Serge Farini est également le fondateur de la Fondation NEEMA IKO (NIKO), une organisation à but non lucratif qui œuvre pour le développement social et économique de sa province. Grâce à cette fondation, il met en place des projets visant à améliorer l’accès à l’éducation, à promouvoir la santé et à soutenir les communautés marginalisées.

Serge Farini, avec sa passion, son expertise et sa vision humaniste, incarne l’espoir d’un avenir meilleur pour sa province et pour tout le Nord Kivu. Il est un exemple inspirant de dévouement, de persévérance, d’engagement au service des autres et de philanthropie. Avec lui, Goma a trouvé un leader prêt à guider la communauté vers un avenir de prospérité, d’égalité et de paix. Son parcours académique remarquable à l’Université de Goma, sa fondation philanthropique NEEMA IKO (NIKO) et sa reconnaissance internationale lors du Symposium Africa Place Marketing soulignent son dévouement inlassable envers sa province et ses concitoyens, ainsi que son impact positif dans la société congolaise. Serge Farini continue d’aspirer à un avenir meilleur pour le Nord Kivu et à jouer un rôle clé dans la construction d’une société plus juste, plus équitable et plus prospère.

Un espoir pour un avenir meilleur

Serge Farini, avec sa passion, son expertise et sa vision humaniste, incarne l’espoir d’un avenir meilleur pour sa province et pour tout le Nord Kivu. Il est un exemple inspirant de dévouement, de persévérance et d’engagement au service des autres. Avec lui, Goma a trouvé un leader prêt à guider la communauté vers un avenir de prospérité, d’égalité et de paix. Son travail philanthropique continu inspire les autres à s’impliquer et à contribuer à la construction d’une société plus juste et plus équitable. Serge Farini représente l’espoir d’une jeunesse qui aspire à un avenir meilleur, d’une communauté qui rêve de progrès et de justice sociale. Sa candidature aux élections législatives provinciales de Goma témoigne de son engagement à être le porte-voix de sa communauté, en défendant leurs droits et en luttant pour un avenir radieux. Avec lui, l’avenir du Nord Kivu s’annonce prometteur.
I.Je compte m’impliquer dans la proposition des édits pas moins de 5 dans les secteurs qui relèvent de la compétence exclusives à la province:
1. Le plan d’aménagement de la province;
2. la coopération inter-provinciale ;
3. la fonction publique provinciale et locale (compléter et modifier);
4. l’application des normes régissant l’état civil ;
5. les finances publiques provinciales ;
6. la dette publique provinciale ;
7. les emprunts intérieurs pour les besoins des provinces ;
8. la délivrance et la conservation des titres immobiliers dans le respect de la
législation nationale ;
9. l’organisation du petit commerce frontalier ;
10.l’organisation et le fonctionnement des services publics, établissements et
entreprises publics provinciaux dans le respect de la législation nationale ;
11. les travaux et marchés publics d’intérêt provincial et local ;
12. l’acquisition des biens pour les besoins de la province ;
13. l’enseignement maternel, primaire, secondaire, professionnel et spécial ainsi
que l’alphabétisation des citoyens, conformément aux normes établies par le
pouvoir central ;
14. l’établissement des peines d’amende ou de prison pour assurer le respect des
édits en conformité avec la législation nationale ;
15. les communications intérieures des provinces ;
16. les impôts, les taxes et les droits provinciaux et locaux, notamment l’impôt
foncier, l’impôt sur les revenus locatifs et l’impôt sur les véhicules automoteurs
;
17. la fixation des salaires minima provinciaux, conformément à la législation
nationale ;
18.l’affectation du personnel médical, conformément au statut des agents de
carrière des services publics de l’Etat, l’élaboration des programmes d’assainissement et de campagne de lutte contre les maladies endémo- épidémiques conformément au plan national : l’organisation des services d’hygiène et de prophylaxie provinciale, l’application et le contrôle de la législation médicale et pharmaceutique nationale ainsi que l’organisation des services de la médecine curative, des services philanthropiques et missionnaires, des laboratoires médicaux et des services pharmaceutiques, l’organisation et la promotion des soins de santé primaires ;
19. l’élaboration des programmes miniers, minéralogiques, industriels, énergétiques d’intérêt provincial et leur exécution conformément aux normes générales du planning national ;

20.l’élaboration des programmes agricoles et forestiers et leur exécution conformément aux normes du planning national, l’affectation du personnel agricole, des cadres conformément aux dispositions du statut des agents de carrière des services publics de l’Etat, l’application de la législation nationale concernant l’agriculture, la forêt, la chasse et la pêche ainsi que l’environnement, la conservation de la nature et la capture des animaux sauvages, l’organisation et le contrôle des campagnes agricoles, la fixation des prix des produits agricoles ;
21. l’affectation en province du personnel vétérinaire, conformément au statut des agents de carrière des services publics de l’Etat; l’élaboration des programmes de campagne de santé animale et l’application des mesures de police sanitaire vétérinaire, notamment en ce qui concerne les postes frontaliers et de quarantaine ;
22.l’organisation des campagnes de vaccination contre les maladies enzootiques, l’organisation des laboratoires,….

Il. M’impliquer dans le contrôle de l’action du Gouvernement provincial envue de répondre aux aspirations de la population.
3. Faire rayonner la province cet particulièrement la ville par la vente positive de son image dans les fora au niveau national et international (Ça je le fais déjà d’ailleurs) mais mon statut de député provincial me permettra de le faire encore mieux.

III. Dans les compétences concurrentes et exclusives entre le pouvoir central et la province, je compte faire des PLAIDOYERS en matière de la sécurité et rétablissement de l’ordre public. Ce plaidoyer se fera soit directement ou indirectement par les élus des élus(sénateurs) que nous auront envoyé à la chambre haute du parlement. Il en sera de même pour la question de la retenue à la source conformément à la loi sur la libre administration des provinces envue de donner à la province les moyens de sa politique

David BISIMWA BUHENDWA et SADOK – Élever l’artisanat de la chaussure en RDC

Au cœur de la ville de Goma, un homme passionné et visionnaire a donné naissance à SADOK, une entreprise qui s’engage à redonner vie à l’artisanat de la chaussure en République démocratique du Congo. David BISIMWA BUHENDWA, le fondateur et directeur général de SADOK, incarne l’esprit entrepreneurial et la détermination nécessaires pour créer un impact positif dans son pays d’origine.

L’origine d’une ambition

Le parcours de David a commencé avec un rêve : voir les Congolais produire leurs propres chaussures, plutôt que de les importer. Inspiré par cette vision, il a suivi une formation approfondie de fabrication de chaussures au Kenya, où il a perfectionné ses compétences pendant huit mois. Fort de son expertise acquise, il est revenu en République démocratique du Congo avec la ferme intention de créer sa propre entreprise de chaussures.

Ainsi est né SADOK, une entreprise qui allie artisanat et qualité exceptionnelle. David et son équipe confectionnent des chaussures à la main, mettant en valeur le savoir-faire traditionnel congolais. Chaque paire de chaussures est fabriquée avec soin et une attention minutieuse aux détails, reflétant le dévouement de SADOK à offrir des produits uniques et haut de gamme.

Les défis et l’optimisme persistant

Malgré les défis auxquels l’entreprise est confrontée, David reste résolument optimiste. La récente visite du Ministre de l’Entrepreneuriat à SADOK a renforcé sa détermination et a ouvert de nouvelles opportunités. Le ministre a reconnu l’importance de soutenir les entrepreneurs locaux et a exprimé son soutien envers SADOK. Il a été impressionné par la qualité des chaussures fabriquées à la main et a promis de les aider à développer leur activité.

Outre la fabrication artisanale, SADOK est également confronté à des défis logistiques. L’entreprise dépend actuellement de l’importation de matières premières, notamment des peaux de vache traitées, provenant du Kenya. Cette dépendance coûteuse et peu pratique limite la capacité de SADOK à répondre à la demande croissante de ses produits.

Des projets ambitieux pour l’avenir

Cependant, David ne se laisse pas décourager. Il a de grands projets pour l’avenir de SADOK. Dans les mois à venir, il prévoit d’ouvrir une usine de production de chaussures à Goma, dans le but d’accroître la capacité de production et d’améliorer l’efficacité de l’entreprise. De plus, il envisage d’établir une usine de transformation de peaux en cuir en République démocratique du Congo, afin de promouvoir l’économie locale et de réduire les coûts d’approvisionnement.

Le soutien gouvernemental et l’avenir prometteur

La récente visite du Ministre de l’Entrepreneuriat, Petite et Moyenne Entreprise, Son Excellence M’ZINGA BIRIHANZE Désiré, à SADOK a été un moment marquant pour David BISIMWA BUHENDWA et son équipe. La présence du ministre a renforcé la crédibilité et la reconnaissance de l’entreprise, offrant de nouvelles perspectives et opportunités de croissance. Son soutien témoigne de l’importance accordée par le gouvernement à l’entrepreneuriat local et à l’épanouissement des petites et moyennes entreprises en République démocratique du Congo.

À travers SADOK, David BISIMWA BUHENDWA incarne l’esprit de l’innovation, de la détermination et de la passion entrepreneuriale. Sa vision de développer une entreprise de fabrication de chaussures de haute qualité, tout en mettant en valeur le talent et le savoir-faire congolais, est un exemple inspirant pour la jeune génération d’entrepreneurs du pays.

SADOK est plus qu’une simple entreprise de chaussures. C’est une manifestation concrète du potentiel entrepreneurial de la République démocratique du Congo. Grâce à des entrepreneurs visionnaires comme David et au soutien du gouvernement, l’industrie congolaise de la chaussure a un avenir prometteur, porteur de croissance économique et de fierté nationale.

Dans une ère où le « made in DRC » prend de l’importance, SADOK se positionne comme un pionnier dans la valorisation du talent et de l’artisanat local. En soutenant les entreprises congolaises, en privilégiant les produits locaux et en croyant en la force de l’entrepreneuriat national, nous pouvons tous contribuer à la construction d’un avenir florissant pour le Congo et à la réalisation des rêves de visionnaires tels que David BISIMWA BUHENDWA et son entreprise, SADOK. L’histoire de David et de SADOK est un exemple inspirant de persévérance et de détermination face aux défis, et ils continuent de repousser les limites de l’artisanat de la chaussure en République démocratique du Congo.

M’ZINGA BIRIHANZE Désiré : Un Leader Engagé, au Service de la RDC

M’ZINGA BIRIHANZE Désiré est un homme politique congolais, un leader éminent engagé dans la transformation de la République démocratique du Congo (RDC). Il est aujourd’hui le Ministre National de l’Entrepreneurial, Petites et Moyennes entreprises. Originaire de Busanza, (Rutshuru), dans le Nord-Kivu, il est né à Goma. Son parcours impressionnant dans l’éducation, la gestion, la politique et son amour profond pour sa ville natale font de lui un acteur clé pour résoudre les problèmes spécifiques auxquels la ville de Goma est confrontée.

I.Formation Éducationnelle

M’ZINGA BIRIHANZE Désiré a fait preuve d’une détermination sans faille dès sa jeunesse à Goma. Il a fréquenté l’école primaire de Karisimbi, où ses talents et son dévouement ont été rapidement reconnus. Par la suite, il a poursuivi ses études secondaires au Collège Mwanga, en section commerciale. Cette formation solide lui a permis d’acquérir une compréhension approfondie du monde des affaires et de l’économie.

M’ZINGA BIRIHANZE Désiré ne s’est pas arrêté là. Animé par un désir d’excellence et une soif de connaissances, il a poursuivi son parcours académique à l’Institut Supérieur de Commerce (ISC) puis à l’Université Libre de Kinshasa (ULK). Là-bas, il a étudié l’économie, obtenant ainsi une licence en économie. Déterminé à se former davantage dans le domaine politique, il a entrepris des études en sciences politiques et administratives, développant ainsi une compréhension holistique des enjeux socio-économiques et politiques de la RDC.

II.M’ZINGA BIRIHANZE Désiré : Un exemple de foi et d’engagement au service de la communauté

Dans la vie de M’ZINGA BIRIHANZE Désiré, deux éléments ont joué un rôle central : sa foi inébranlable et sa passion pour le sport. Ce parcours exceptionnel témoigne de sa détermination à concilier ses valeurs spirituelles avec son engagement sportif, laissant une empreinte significative dans chaque aspect de sa vie.

Depuis sa naissance, la foi catholique a été ancrée profondément dans le cœur de M’ZINGA BIRIHANZE Désiré. En tant qu’acolyte à la paroisse Notre Dame d’Afrique, qui est aujourd’hui devenue la Cathédrale Saint Joseph, il a nourri sa spiritualité et a développé une connexion profonde avec Dieu. Sa foi a été une source d’inspiration et de force tout au long de son parcours.

Outre sa vie religieuse, M’ZINGA BIRIHANZE Désiré a également brillé sur les terrains de football. Doté d’un talent naturel, il a émergé comme un footballeur talentueux pendant ses années d’école secondaire et d’université. Ses performances remarquables lui ont valu une place au sein du prestigieux cercle sportif Virunga, où il a laissé sa marque indélébile. Il a également représenté fièrement l’Union sportive BANKIN, témoignant de sa passion et de son dévouement pour le sport.

Mais la vie de M’ZINGA BIRIHANZE Désiré ne se résume pas uniquement à sa foi et au football. À son arrivée à Kinshasa, il a rapidement pris part à des initiatives associatives. Il est devenu président du Club des Amis de Goma, une association qui encourageait la solidarité et l’entraide entre les habitants. Par la suite, il a occupé le poste de président des Étudiants Hutu (SHAKA), où il a œuvré pour l’unité et l’épanouissement des étudiants dans un esprit de fraternité.

III. Parcours Professionnel

Fort de ses compétences et de son expertise, M’ZINGA BIRIHANZE Désiré a rapidement gravi les échelons dans le domaine de la gestion. Il a occupé le poste de directeur dans une école de formation professionnelle, où il a apporté son expérience et sa vision pour offrir aux jeunes les compétences nécessaires pour réussir dans le monde du travail. Son leadership éclairé a permis d’améliorer la qualité de l’éducation et de favoriser l’employabilité des jeunes.

Par la suite, M’ZINGA BIRIHANZE Désiré a poursuivi sa carrière en tant que directeur des approvisionnements et du personnel, mettant en œuvre des stratégies efficaces pour optimiser les ressources et soutenir la croissance organisationnelle. Son expertise en gestion des entreprises a été reconnue et lui a valu une réputation solide dans le domaine professionnel.

L’engagement politique de M’ZINGA BIRIHANZE Désiré : Un parcours au service de la démocratie et du progrès social

L’engagement politique joue un rôle essentiel dans la vie de certaines personnes, les conduisant à consacrer leur temps et leurs efforts à la promotion de la démocratie et de l’État de droit. M’ZINGA BIRIHANZE Désiré, depuis son arrivée à Kinshasa pour ses études en 1987, a été un acteur majeur de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), le parti politique le plus important en République démocratique du Congo (RDC). Son parcours politique témoigne de sa détermination à mobiliser et à sensibiliser les jeunes générations pour la cause politique, tout en contribuant activement à la restructuration et à l’adaptation du parti aux évolutions politiques du pays.

La Jeunesse de l’UDPS : Un engagement précoce

Peu de temps après son arrivée à Kinshasa, M’ZINGA BIRIHANZE Désiré a rejoint clandestinement l’UDPS en 1987, en adhérant à la Jeunesse de l’UDPS (JUDPS). Il devient ainsi membre de la première génération de jeunesse de ce parti politique majeur. Malgré les risques associés à son engagement, il n’a pas hésité à se battre pour la cause démocratique.

Le 17 janvier 1988, lors de la première sortie publique d’Etienne Tshisekedi, figure emblématique de l’UDPS, au Pont Kasavubu, M’ZINGA BIRIHANZE Désiré est blessé et risque l’amputation de sa jambe gauche. Son courage et sa détermination ont marqué cette sortie historique, faisant parler d’elle et d’Etienne Tshisekedi. Malheureusement, cette année académique a été interrompue pour BIRIHANZE, mais son dévouement à la cause politique n’a jamais faibli.

Au fil des années, M’ZINGA BIRIHANZE Désiré a occupé plusieurs postes au sein de l’UDPS, jouant un rôle essentiel dans la restructuration du parti face aux nouvelles réalités politiques de la RDC. Il a participé aux concertations populaires organisées par Mobutu en 1989, puis aux conclave de BONDEKO 1 en 1990 et BUNDEKO 2 en 1992. Lors de ce dernier, il a été élu secrétaire rapporteur de l’assemblée fédérale de Lukunga dans le district de Kinshasa. En septembre de la même année, il a été nommé secrétaire national chargé du travail et de la solidarité nationale, témoignant de la confiance placée en lui par ses pairs.

De 2008 à 2016, M’ZINGA BIRIHANZE Désiré a occupé le poste de conseiller d’Etienne Tshisekedi, où il était chargé des questions électorales, mettant ainsi à profit son expérience et son expertise pour soutenir la démocratie en RDC. En 2016, il est promu secrétaire national adjoint en charge de la solidarité nationale, puis en 2018, il devient secrétaire national en charge de l’organisation politique et de l’implantation du parti, une fonction qu’il occupe toujours à ce jour. En 2021, il a été nommé ministre de l’agriculture, puis, depuis avril 2023, il occupe le poste de ministre de l’entrepreneuriat et des Petites et Moyennes Entreprises, démontrant ainsi son engagement constant en faveur du développement socio-économique de son pays.

Le parcours politique de M’ZINGA BIRIHANZE Désiré est un exemple de dévouement et d’engagement en faveur de la démocratie et du progrès social. Depuis ses débuts au sein de la JUDPS jusqu’à ses responsabilités ministérielles actuelles, il a joué un rôle clé dans la mobilisation des jeunes, la restructuration du parti et la promotion de l’État de droit en RDC. Son histoire illustre le pouvoir de l’engagement politique à façonner un avenir meilleur pour son pays et pour les générations futures.

Vision pour la RDC et Résolution des Problèmes de Goma

La vision de M’ZINGA BIRIHANZE Désiré pour la RDC est profondément enracinée dans les idéaux des fondateurs de l’UDPS, des 13 parlementaires et des autres cofondateurs du parti. Il aspire à voir l’établissement d’un État de droit solide et d’une démocratie florissante, où les droits et les aspirations de chaque citoyen sont respectés.

Cependant, M’ZINGA BIRIHANZE Désiré est également conscient des problèmes spécifiques auxquels sa ville natale, Goma, est confrontée. Il reconnaît que le tribalisme récurrent est un obstacle majeur au développement harmonieux de la région. Il croit fermement que le manque d’opportunités économiques et d’emplois adéquats joue un rôle clé dans la perpétuation de cette division.

Pour remédier à ces problèmes, M’ZINGA BIRIHANZE Désiré s’engage à soutenir la jeunesse et les femmes, en leur offrant les moyens de produire et de transformer. Il croit fermement que l’appui à ces secteurs clés de la société est essentiel pour stimuler la création d’emplois et favoriser l’émergence d’une classe moyenne dynamique. En renforçant l’économie locale, il espère ainsi promouvoir l’unité et la prospérité à Goma.

M’ZINGA BIRIHANZE Désiré incarne les valeurs d’un leader engagé, déterminé et attentif aux besoins de sa communauté et de son pays. Son parcours éducatif, professionnel et politique témoigne de son dévouement à améliorer les conditions de vie des Congolais.

Sa vision audacieuse, son leadership éclairé et sa volonté de relever les défis font de lui un acteur clé pour le développement de la RDC. En tant que ministre national des MPME, M’ZINGA BIRIHANZE Désiré est un catalyseur de la croissance économique et un défenseur des opportunités entrepreneuriales pour les Congolais.

Goma, sa ville natale, a trouvé en lui un fils engagé qui comprend les problèmes auxquels la région est confrontée. Sa détermination à lutter contre le tribalisme, à promouvoir l’emploi et à soutenir les jeunes et les femmes en font un champion pour le développement socio-économique de Goma.

Alors que la RDC avance vers un avenir prometteur, M’ZINGA BIRIHANZE Désiré est prêt à relever les défis et à continuer de servir son pays avec honneur, dévouement et persévérance. Son leadership inspirant et son engagement sincère sont un véritable atout pour la RDC et une source d’inspiration pour les générations futures.

Patrick BASSHAM

Kalehe : Grace KASHALI, Une Femme d’Action au Service de sa Communauté

Une Femme Engagée pour sa Communauté

Depuis sa jeunesse, Grace KASHALI s’est distinguée par son engagement envers sa communauté à Kalehe. Née à Goma, elle a des racines profondément ancrées dans ce territoire, ce qui lui confère un lien fort et une détermination sans faille à améliorer la vie de ses concitoyens. Elle a toujours été présente pour les moments importants et a agi comme une voix pour les sans-voix, un soutien pour les plus vulnérables, et une championne des droits des femmes.

La Décision de Braver les Stéréotypes

Fortement déterminée à créer un changement positif, Grace KASHALI a décidé de franchir un pas de plus dans son engagement en se présentant comme candidate à la députation nationale dans son territoire. Elle est l’une des rares femmes qui osent affronter le monde politique, bravant ainsi les stéréotypes et les préjugés qui entourent souvent la participation des femmes en politique.

Un Programme Axé sur le Développement et l’Autonomisation

Sa candidature repose sur son expertise et sa connaissance approfondie des problématiques locales. Grace met en avant des piliers de campagne importants tels que l’autonomisation des femmes, l’accès à l’éducation pour tous, le développement économique durable, et la promotion de la paix et de la cohésion sociale dans la région des Grands Lacs.

Le Soutien et l’Admiration de la Population

Son charisme et sa capacité à rassembler les gens autour d’une vision commune ont déjà attiré l’attention de nombreux soutiens locaux et nationaux. Sa détermination à faire entendre la voix de la population de Kalehe lui vaut déjà le respect et l’admiration de nombreux électeurs.

Les Défis et l’Espoir pour l’Avenir

Malgré les défis inhérents au monde politique, Grace KASHALI est prête à relever le défi avec courage et persévérance. Sa candidature apporte un souffle nouveau dans un territoire où la représentation politique féminine est encore en deçà des attentes. Elle incarne l’espoir et la détermination pour les femmes de Kalehe, montrant qu’elles peuvent être des actrices majeures du changement dans leur société.

Une Page Importante de l’Histoire Politique de Kalehe

Quelle que soit l’issue de l’élection, Grace KASHALI restera une source d’inspiration pour de nombreuses femmes et jeunes filles aspirant à jouer un rôle actif dans le développement de leur communauté et à contribuer positivement à la vie politique de leur pays. Avec sa candidature audacieuse et son engagement sans faille, Grace KASHALI a déjà écrit une page importante de l’histoire politique de Kalehe, laissant entrevoir un avenir prometteur pour la région et ses habitants.

Patrick BASSHAM