Chantal Chambu Mwavita; De la Cour d’appel de Goma au ministère des droits humains

Dans les premières heures de ce mercredi 29 mai, les congolais ont découvert la composition du nouveau Gouvernement de République démocratique du Congo, qui devra accompagner le second mandat du président Félix Tshisekedi à la tête du pays.
Sur la liste des 54 membres de l’équipe Gouvernementale est apparu le nom de Mme Chantal Chambu Mwavita, nommée ministre des droits humains.

Défenseuse des droits de l’homme et Juriste de formation, la native de Kalehe au Sud-Kivu hérite d’un ministère, selon nombreuses analyses, dans un domaine qu’elle maîtrise mieux suite non seulement à son parcours académique et professionnel mais aussi suite à son côté philanthropique et sa sensibilité aux souffrances des personnes marginalisées.

Qui est Chantal Mwavita?

Originaire de la province du Sud-Kivu, Chantal Chambu Mwavita est née dans le territoire de Kalehe, chefferie de Buhavu groupement de Mbinga Sud plus précisément à l’île d’iko. Fille de Chambu Emmanuel et Nzigire Igega.

Elle est détentrice d’un diplôme spécialisé en droits de l’Homme de l’université catholique de Louvain-La neuve en Belgique et un master en Gestion et Résolution des conflits de l’université Kart Bosh de Sion en suisse.
Licenciée en droit de l’Université de Kinshasa, elle est avocate depuis plus d’une dizaine d’années à la Cour d’appel de Goma au Nord-Kivu.

Son côté philanthropique

La nouvelle ministre des droits humains est aussi connue pour son engagement dans la défense et promotion des droits de l’homme, en particulier des personnes marginalisées et des prisonniers d’opinion à travers son Asbl Univers de Paix pour le Développement (UPD asbl),

Dans le territoire de Kalehe au Sud-Kivu, Chantal Chambu est une femme de référence et modèle pour plusieurs, car impliquée dans plusieurs actions de charité avec à son actif la création des plusieurs centres de formation professionnelle pour l’encadrement des jeunes filles et femmes désoeuvrées.

A cela s’ajoute un service des micro crédits créé pour permettre à certaines femmes de créer des activités génératrices des revenus afin d’assurer leurs autonomisations.

Sur le plan politique, Chantal Chambu Mwavita est présidente du parti politique Mouvement National pour la démocratie et le progrès ( MONADEP) membre de l’union sacré de la Nation. Elle fait partie des artisans de la réélection de Félix Tshisekedi sous le label 2A/TDC (Action des Alliés/ Tous pour le Développement du Congo ).

La République peut ainsi compter sur les compétences de cette femme leader, pour relever les nombreux défis dans le secteur des Droits Humains, en particulier les questions liées à la réparation des victimes des affres de la guerre à l’Est de la RDC, l’amélioration des conditions carcérales, la protection des défenseurs des droits humains, pour ne citer que cela.

Pour rappel, la nouvelle équipe gouvernementale conduite par Madame Judith Suminwa Tuluka compte 54 membres dont 17 femmes.

KivuNyota

Avec Infodirect.net

Portrait : Me Muhindo Mulumbi, le parcours d’un « redoutable » défenseur des droits humains

Me Muhindo Mulumbi est un avocat réputé pour être un redoutable défenseur du droit. Proche des gens et sans affect, Muhindo Mulumbi Jackson est reconnu suite à son engagement singulier non seulement en politique, mais aussi dans la défense des droits des congolais.

Issu d’une famille des pêcheurs et agriculteurs, tiraillé entre son amour pour la philosophie et le désir de réussir, Me Muhindo Mulumbi est l’un des jeunes de la nouvelle génération prometteuse et qui se caractérise par un parcours hybride. Originaire du territoire de Lubero, principalement à la côte ouest du lac-Edouard, Mulumbi a, généralement un parcours purement atypique.

Dès son jeune âge, il a étudié l’école primaire et secondaire dans le territoire de Lubero et principalement à son village natal, en regardant amoureusement ses Gands-parents. C’est à l’âge de 22 ans et demis qu’il a décroché sa licence en droit privé et judiciaire à l’Université Catholique du Graben (UCG), l’une des institutions réputées dans la province du Nord-Kivu.

Durant des études, il a eu des surnoms dûs à son application particulière. Son Professeur Abbé Muhindo Malonga Télesphore le surnommait « doctrinaire », une spécialité qui devait marquer les différentes promotions. Son Professeur Roger Mwanawavene et le Procureur Tuta Kamango vont le baptiser « jurisconsulte », une autre parcularité lors dans son parcours. Le tout presque pour l’intelligence qu’avait le jeune étudiant. En suite, l’avocat Jean-Michel Turlot, préfaçant un de ses ouvrages, va dire de lui: « un prodige né dans les sources du Nil », soit pour l’intellection soit pour la facilité d’apprentissage des langues.

Maître Muhindo Mulumbi Jackson est détenteur du certificat et une médaille lui décernée par le Comité International de la Croix-Rouge (CICR), la Croix-Rouge Belgique et la Francophonie, à l’occasion de la première édition du concours de plaidoirie en droit international humanitaire; qui avait été organisée en 2010 dans la ville province de Kinshasa. Outre sa langue maternelle et deux langues nationales (Swahili et Lingala), M. Mulumbi a des notions en Français, Anglais, espagnol, le portugais (le latin et le Grec). Il a l’habitude de dire que ces deux langues anciennes, propres aux savants, qu’il prend pour stade d’entraînement de son intelligence.

« Ces langues, exigeant une gymnastique intellectuelle, affinent mon intelligence et ma façon de comprendre à fond le droit à la source et tout ce qui m’entoure. Ces langues m’enseignent les institutions et les lois logiques nous léguées par les grands philosophes et celles qui pourraient éclairer tout vide juridique actuel« , dit-il.

Un homme au parcours atypique

Auxiliaire de justice, souvent dans des domaines d’activité éclectiques (pour en citer quelques-uns : droit de la famille, droit des contrats, droit pénal, droit administratif), l’avocat est soumis aux règles déontologiques de sa profession, notamment au secret professionnel, au vu de la relation de confiance qu’il noue avec son client, lequel lui transmet pour cette raison des informations sensibles et confidentielles.

Traditionnellement, l’avocat conseille, assiste et défend les intérêts de son client, en cas de contentieux, par devant les autorités administratives et judiciaires, y compris devant le Ministère public si le client est soupçonné d’avoir commis une infraction pénale. Pour mener à bien les mandats confiés, l’avocat engage d’abord une discussion détaillée avec son client afin de comprendre les questions juridiques qui se posent. Plus important, il doit établir les faits pertinents et contestés par la partie adverse, sur la base desquels le juge sera amené à trancher l’affaire.

Muhindo Mulumbi Jackson est l’un des avocats qui respectent ces principes. En 2013, Il prête serment comme Avocat à la liste inscrite du Barreau de Goma, au tableau duquel appartient depuis 2016. Il est ainsi un avocat exerçant en RDC, dans l’espace OHADA. Celui-ci préfère être côté par ses pairs dans le métier d’avocature. Ses confrères charmés par ses prestations lui courant aussi des sobriquets. Il affectionne sa profession qui exige l’apprentissage au quotidien.

Triomphalement politicien

S’il faut revenir en arrière, M. Mulumbi Jackson a été élu vice-chef de promotion en L1 et chef de promotion en L2 départements de droit confondus. Militant fervant au parti politique « Rassemblement des Congolais pour la Démocratie Kisangani Mouvement de Libération »(RCD-KML), Muhindo Mulumbi Jackson a été conseiller au ministère de l’environnement du Nord-Kivu pendant un peu plus de 2 ans, avant que l’état de siège ne suspende ses fonctions. Au-cours de ses fonctions, il écrit un ouvrage à travers lequel, il démontre que « l’Égypte est plutôt le don des arbres et des forêts ». Ceci qui vient contredire Hérodote qui affirme que « l’Égypte est le don du Nil ».

Actuellement, Me Muhindo Mulumbi travaille au cabinet du Ministre d’Etat en charge de l’intégration régionale Antipas Mbusa Nyamwisi dans la ville de Kinshasa. Trop simple, Mulumbi poursuit son cheval et son parcours en servant la patrie à travers ce Ministère.

Mulumbi, un visionnaire

Me Muhindo Mulumbi Jackson est auteur de plusieurs propositions de loi. Depuis longtemps, il plaide pour le retour de la paix, à travers les ressources naturelles de la République Démocratique du Congo (RDC). Si sont les arbres et les forêts qui assurent l’équilibre des eaux et sans lesquels arbres pas de pluies, Muhindo Mulumbi Jackson estime qu’il peut faire fléchir les pays du bassin du Nil à son plaidoyer pour la paix.

A l’en croire, la guerre détruit les arbres et les forêts et asphyxie les pays que le Nil serpente et même le lac Édouard. Visiblement, ce jeune homme a plusieurs projets à faire accompagner par ceux susceptibles de le comprendre à la base.

Me Muhindo Mulumbi Jackson candidat député national

Alors que les partis politiques membres de l’Union sacrée de la nation affûtent les armes pour les élections générales prévues en décembre prochain, il en est de même pour les partis et regroupements de l’opposition. Au sein du RCD/K-ML, Muhindo Mulumbi Jackson a été porté candidat député national, dans la circonscription électorale de Lubero, au Nord-Kivu.

Oui! Le profil est assez suffisant pour servir le pays. Plusieurs pièges sont dans les lois et dans la constitution, et ils restent la cause de sa candidature! Homme de droit, et amoureux de la lecture, Mulumbi veut poursuivre auprès de la BCC les cautions des coopératives qui ont appauvri les populations. Ces projets s’ajoutent aux plusieurs autres raisons motivantes de la candidature de Mulumbi.

Pour lui, la population doit « Tester le degré du souci qu’il a à lui servir. Un peuple prévoyant choisit intelligemment ses représentants », martele-t-il.

Mulumbi et Nyamwisi, un duo inséparables en esprit et en action?

L’homme de la toge dit avoir des connaissances claires sur la personne d’Antipas Mbusa Nyamwisi.

« Mzee Antipas Mbusa Nyamwisi est un patriote incompris, un nationaliste avéré. Dès son jeune âge, ce Leader mène la résistance « une rébellion » (Rcd/K-ml) contre une autre rébellion (RDC tout court). Cela s’appelle révolution. Parce que Mzee Mbusa Nyamwisi a regroupé les véritables congolais, les journaux et des professeurs (Émile Bongeli par exemple) le qualifient, même aujourd’hui, de branche patriotique des rébellions ! Par son génie, une rébellion (Rcd/K-ml) combatait une autre (RCD tout court) pour aboutir à la formule mathématique :le « moins » plus le « moins » donnent le « positif ». Mzee Mbusa Nyamwisi est pour moi ce génie qui chercha l’effacement de l’AFDL (par la fragilisation de la coalition ougando-rwandaise) métamorphosée en RCD tout court a été un patriote nationaliste, parce que l’on sait que la recherche de la paix passe aussi par la guerre (qui veut la paix prépare la guerre!) », explique-t-il.

Et de poursuivre : « Mzee Mbusa Nyamwisi est aux villes de Butembo-Beni ce que Romulus est et restera à Rome. Autant ce dernier a érigé Rome, sous les collines qui existaient déjà avant lui, autant celui-là (Antipas Mbusa Nyamwisi) a pris les actes conférant à ces anciennes agglomérations le statut officiel les consacrant ville. Bien au-delà, l’économie Nande aujourd’hui combattue de tous bords a du « Mzee Mbusa Nyamwisi » dans ses veines. Il est le pilier de la réunification du pays. Sa simplicité, le défaut du népotisme et autres valeurs humaines me sont difficiles à décrire de ce grand homme Antipas Mbusa Nyamwisi. Il n’aime pas parler de ses hauts faits. Je suis confus d’en parler ici, mais obligé », a-t-il renchéri.

Magloire Tsongo, à Goma

David BISIMWA BUHENDWA et SADOK – Élever l’artisanat de la chaussure en RDC

Au cœur de la ville de Goma, un homme passionné et visionnaire a donné naissance à SADOK, une entreprise qui s’engage à redonner vie à l’artisanat de la chaussure en République démocratique du Congo. David BISIMWA BUHENDWA, le fondateur et directeur général de SADOK, incarne l’esprit entrepreneurial et la détermination nécessaires pour créer un impact positif dans son pays d’origine.

L’origine d’une ambition

Le parcours de David a commencé avec un rêve : voir les Congolais produire leurs propres chaussures, plutôt que de les importer. Inspiré par cette vision, il a suivi une formation approfondie de fabrication de chaussures au Kenya, où il a perfectionné ses compétences pendant huit mois. Fort de son expertise acquise, il est revenu en République démocratique du Congo avec la ferme intention de créer sa propre entreprise de chaussures.

Ainsi est né SADOK, une entreprise qui allie artisanat et qualité exceptionnelle. David et son équipe confectionnent des chaussures à la main, mettant en valeur le savoir-faire traditionnel congolais. Chaque paire de chaussures est fabriquée avec soin et une attention minutieuse aux détails, reflétant le dévouement de SADOK à offrir des produits uniques et haut de gamme.

Les défis et l’optimisme persistant

Malgré les défis auxquels l’entreprise est confrontée, David reste résolument optimiste. La récente visite du Ministre de l’Entrepreneuriat à SADOK a renforcé sa détermination et a ouvert de nouvelles opportunités. Le ministre a reconnu l’importance de soutenir les entrepreneurs locaux et a exprimé son soutien envers SADOK. Il a été impressionné par la qualité des chaussures fabriquées à la main et a promis de les aider à développer leur activité.

Outre la fabrication artisanale, SADOK est également confronté à des défis logistiques. L’entreprise dépend actuellement de l’importation de matières premières, notamment des peaux de vache traitées, provenant du Kenya. Cette dépendance coûteuse et peu pratique limite la capacité de SADOK à répondre à la demande croissante de ses produits.

Des projets ambitieux pour l’avenir

Cependant, David ne se laisse pas décourager. Il a de grands projets pour l’avenir de SADOK. Dans les mois à venir, il prévoit d’ouvrir une usine de production de chaussures à Goma, dans le but d’accroître la capacité de production et d’améliorer l’efficacité de l’entreprise. De plus, il envisage d’établir une usine de transformation de peaux en cuir en République démocratique du Congo, afin de promouvoir l’économie locale et de réduire les coûts d’approvisionnement.

Le soutien gouvernemental et l’avenir prometteur

La récente visite du Ministre de l’Entrepreneuriat, Petite et Moyenne Entreprise, Son Excellence M’ZINGA BIRIHANZE Désiré, à SADOK a été un moment marquant pour David BISIMWA BUHENDWA et son équipe. La présence du ministre a renforcé la crédibilité et la reconnaissance de l’entreprise, offrant de nouvelles perspectives et opportunités de croissance. Son soutien témoigne de l’importance accordée par le gouvernement à l’entrepreneuriat local et à l’épanouissement des petites et moyennes entreprises en République démocratique du Congo.

À travers SADOK, David BISIMWA BUHENDWA incarne l’esprit de l’innovation, de la détermination et de la passion entrepreneuriale. Sa vision de développer une entreprise de fabrication de chaussures de haute qualité, tout en mettant en valeur le talent et le savoir-faire congolais, est un exemple inspirant pour la jeune génération d’entrepreneurs du pays.

SADOK est plus qu’une simple entreprise de chaussures. C’est une manifestation concrète du potentiel entrepreneurial de la République démocratique du Congo. Grâce à des entrepreneurs visionnaires comme David et au soutien du gouvernement, l’industrie congolaise de la chaussure a un avenir prometteur, porteur de croissance économique et de fierté nationale.

Dans une ère où le « made in DRC » prend de l’importance, SADOK se positionne comme un pionnier dans la valorisation du talent et de l’artisanat local. En soutenant les entreprises congolaises, en privilégiant les produits locaux et en croyant en la force de l’entrepreneuriat national, nous pouvons tous contribuer à la construction d’un avenir florissant pour le Congo et à la réalisation des rêves de visionnaires tels que David BISIMWA BUHENDWA et son entreprise, SADOK. L’histoire de David et de SADOK est un exemple inspirant de persévérance et de détermination face aux défis, et ils continuent de repousser les limites de l’artisanat de la chaussure en République démocratique du Congo.

Kalehe : Grace KASHALI, Une Femme d’Action au Service de sa Communauté

Une Femme Engagée pour sa Communauté

Depuis sa jeunesse, Grace KASHALI s’est distinguée par son engagement envers sa communauté à Kalehe. Née à Goma, elle a des racines profondément ancrées dans ce territoire, ce qui lui confère un lien fort et une détermination sans faille à améliorer la vie de ses concitoyens. Elle a toujours été présente pour les moments importants et a agi comme une voix pour les sans-voix, un soutien pour les plus vulnérables, et une championne des droits des femmes.

La Décision de Braver les Stéréotypes

Fortement déterminée à créer un changement positif, Grace KASHALI a décidé de franchir un pas de plus dans son engagement en se présentant comme candidate à la députation nationale dans son territoire. Elle est l’une des rares femmes qui osent affronter le monde politique, bravant ainsi les stéréotypes et les préjugés qui entourent souvent la participation des femmes en politique.

Un Programme Axé sur le Développement et l’Autonomisation

Sa candidature repose sur son expertise et sa connaissance approfondie des problématiques locales. Grace met en avant des piliers de campagne importants tels que l’autonomisation des femmes, l’accès à l’éducation pour tous, le développement économique durable, et la promotion de la paix et de la cohésion sociale dans la région des Grands Lacs.

Le Soutien et l’Admiration de la Population

Son charisme et sa capacité à rassembler les gens autour d’une vision commune ont déjà attiré l’attention de nombreux soutiens locaux et nationaux. Sa détermination à faire entendre la voix de la population de Kalehe lui vaut déjà le respect et l’admiration de nombreux électeurs.

Les Défis et l’Espoir pour l’Avenir

Malgré les défis inhérents au monde politique, Grace KASHALI est prête à relever le défi avec courage et persévérance. Sa candidature apporte un souffle nouveau dans un territoire où la représentation politique féminine est encore en deçà des attentes. Elle incarne l’espoir et la détermination pour les femmes de Kalehe, montrant qu’elles peuvent être des actrices majeures du changement dans leur société.

Une Page Importante de l’Histoire Politique de Kalehe

Quelle que soit l’issue de l’élection, Grace KASHALI restera une source d’inspiration pour de nombreuses femmes et jeunes filles aspirant à jouer un rôle actif dans le développement de leur communauté et à contribuer positivement à la vie politique de leur pays. Avec sa candidature audacieuse et son engagement sans faille, Grace KASHALI a déjà écrit une page importante de l’histoire politique de Kalehe, laissant entrevoir un avenir prometteur pour la région et ses habitants.

Patrick BASSHAM

Daniel KALIMBIRO MUSAFIRI: UN Vent du Renouveau qui souffle sur la Ville de Goma

Daniel KALIMBIRO MUSAFIRI, originaire de Goma, se prépare à se lancer dans l’arène politique en tant que candidat à la Députation nationale. Tel un bourgeon sur le point d’éclore, il porte en lui une énergie et une détermination qui ne demandent qu’à être déployées. Ayant évolué dans sa ville natale depuis son enfance, il a acquis une connaissance profonde des réalités locales et une proximité avec les aspirations de la communauté. Son parcours scolaire et universitaire réussi témoigne de son ambition et de sa volonté de se perfectionner. Telle une graine plantée dans un sol fertile, Daniel KALIMBIRO MUSAFIRI a su cultiver son potentiel, se préparant à devenir un acteur majeur de la scène politique.

Une vision pour un avenir meilleur

Fervent défenseur des intérêts de la Ville de Goma, Daniel KALIMBIRO MUSAFIRI nourrit une vision audacieuse pour un avenir meilleur. Tel un architecte imaginant un édifice grandiose, il aspire à contribuer à bâtir une communauté dynamique, solidaire et prospère.

Sa compréhension des enjeux locaux et nationaux, ainsi que sa passion pour la politique et la gouvernance, font de lui un candidat prometteur, capable de porter les espoirs et les aspirations de la population. Tel un phare dans la nuit, il se positionne comme un guide sûr et éclairé, prêt à mener la Ville de Goma vers de nouveaux horizons.

Un engagement envers la collectivité

L’engagement de Daniel KALIMBIRO MUSAFIRI envers sa communauté est indéniable. Tel un philanthrope dévoué, il s’est impliqué dans de nombreuses initiatives sociales et humanitaires, apportant son soutien aux plus vulnérables. Sa générosité et sa préoccupation pour le bien-être des autres sont les fondements de son action. Tel un gardien vigilant,il veille à ce que personne ne soit laissé pour compte, travaillant sans relâche pour promouvoir l’égalité, la justice et le progrès pour tous. Son dévouement sincère et désintéressé est une source d’inspiration pour ceux qui l’entourent.

Une expertise polyvalente

Daniel KALIMBIRO MUSAFIRI possède une expertise polyvalente qui lui permettra de relever les défis complexes de la vie politique et de la représentation efficace du peuple. Tel un artisan habile maniant plusieurs outils, il maîtrise les rouages du monde parlementaire, politique et de la gouvernance. Sa participation active au sein d’organisations internationales et locales lui a permis d’acquérir une compréhension approfondie des mécanismes législatifs et des enjeux sociopolitiques. Tel un stratège chevronné, il sait comment naviguer dans les dédales du pouvoir et construire des alliances solides pour faire avancer les intérêts de la Nation.

Une préparation méticuleuse pour un engagement politique fort

Daniel KALIMBIRO MUSAFIRI est déjà préparé méticuleusement pour son entrée dans l’arène politique. Tel un athlète se préparant pour une compétition de haut niveau, il s’entoure d’experts, de conseillers et de mentors afin d’affûter ses compétences et de développer une stratégie solide. Il maitrise les enjeux locaux, nationaux et internationaux avec une minutie sans faille et ne cesse de les étudier afin de chercher à comprendre les besoins et les aspirations de la population. Tel un érudit avide de savoir, il se tient informé des évolutions politiques et des débats qui façonnent notre société. Son engagement envers la Ville de Goma et ses habitants est profond et sincère, et il aspire à représenter dignement ses concitoyens.

Un discours porteur d’espoir

Le discours de Daniel KALIMBIRO MUSAFIRI est porteur d’espoir et d’optimisme. Tel un poète inspiré, il peint des tableaux de progrès, d’égalité et de justice sociale. Il prône l’unité, la solidarité et la coopération du peuple, encourageant chacun à se joindre à lui dans la construction d’un avenir meilleur. Tel un chef d’orchestre guidant une symphonie harmonieuse, il cherche à rassembler les forces vives de la communauté pour relever les défis qui se présentent. Son discours est empreint de valeurs telles que l’amour, la cohésion, la compassion et le respect mutuel, rappelant à tous que le changement positif est possible lorsque nous unissons nos forces.

Une voix pour les sans-voix

Daniel KALIMBIRO MUSAFIRI aspire à donner une voix aux sans-voix. Tel un avocat aguerri plaidant la cause des plus vulnérables, il se positionne comme un défenseur des droits et des intérêts de ceux qui sont souvent marginalisés. Il entend représenter les aspirations des jeunes, des femmes, les cadres de base abandonnés à leur triste sort et pourtant monteur de la restauration de l’autorité de l’Etat , des personnes déplacées et des minorités, faisant entendre leurs préoccupations et leurs besoins auprès des instances politiques. Tel un phare dans l’obscurité, il souhaite illuminer les cheminements de ceux qui se sentent oubliés ou exclus, offrant une lueur d’espoir et de justice.

Un engagement pour le changement

L’engagement de Daniel KALIMBIRO MUSAFIRI pour le changement est profondément enraciné en lui. Tel un jardinier patient, il cultive les graines de l’innovation, de la transparence et de la responsabilité politique couronné par le devoir de redevabilité. Il s’engage à lutter contre la corruption, à contribuer à la promotion d’une gestion efficace des ressources publiques et à l’instauration d’une bonne gouvernance et transparente. Tel un architecte visionnaire, il rêve d’une Ville de Goma prospère, où chacun a accès à la Sécurité, à l’éducation de qualité, à la santé, à l’emploi et à un environnement sûr. Son engagement envers le développement durable et la protection de l’environnement est une preuve supplémentaire de sa vision holistique pour un avenir florissant.

Daniel KALIMBIRO MUSAFIRI, tel un jeune lion prêt à bondir, s’apprête à faire entendre sa voix sur la scène sociopolitique. Sa détermination, sa vision inspirante et son engagement envers la collectivité font de lui un candidat prometteur. La Ville de Goma a besoin de leaders audacieux et visionnaires comme lui pour ouvrir de nouvelles voies, relever les défis et construire un avenir radieux. L’heure de la transformation approche, et Daniel KALIMBIRO MUSAFIRI se tient prêt à incarner le changement tant attendu.

Patrick BASSHAM

Serge Farini : Une âme dévouée au service de sa province et de ses concitoyens

Au cœur des montagnes majestueuses de Nyabyondo, dans le territoire de Masisi, est né un homme au destin exceptionnel : Serge Farini Bindu. Le 25 mai 1985, il voit le jour, devenant ainsi le fruit de l’amour entre un instituteur, Farini LUENDO Bernard, et une femme au cœur empli de bienveillance, Tshamb Majit Jeanne. Ces valeurs d’amour, de dévouement et de solidarité ont été les fondements de son parcours hors du commun, nourrissant son désir de contribuer au bien-être de sa province et de ses concitoyens.

Un parcours académique remarquable

Serge Farini a poursuivi des études à la Faculté de droit de l’Université de Goma (UNIGOM), où il a acquis une solide formation juridique. Sa volonté de comprendre les enjeux juridiques et sa passion pour la justice l’ont motivé à approfondir ses connaissances dans ce domaine.

Une soif insatiable de connaissances et une passion enflammée pour le journalisme

Serge Farini a fait de Goma sa deuxième maison, y poursuivant la majeure partie de ses études. De l’école primaire à l’EP Nyiragongo jusqu’à l’obtention de son diplôme d’État à l’institut Faraja, il a fait preuve d’une soif insatiable de connaissances. Mais c’est sa passion enflammée pour le journalisme politique qui a illuminé son chemin. Tel une étoile guidant ses pas, il ne manquait jamais une seule édition du journal télévisé de 20 heures animé par Bruno Masure sur France2, puis par Patrick Poivre D’arvor sur TF1 de 1994 à 2008. Ces moments étaient pour lui des instants de connexion avec le monde, alimentant son amour pour la presse et son désir de faire entendre la voix des gens.

Un chroniqueur politique émérite et un visage familier des écrans

Les années qui ont suivi ont vu Serge Farini s’épanouir pleinement dans le monde du journalisme. Pendant huit ans, de 2012 à 2020, il a partagé son expertise en tant que chroniqueur politique au sein de Mishapivoicetv. Ses émissions, telles que « Zoom sur l’actualité », « Grand Débat », « Tour de table » et « Les archives du monde », sont devenues des incontournables pour les téléspectateurs. Mais ce n’était pas seulement son savoir-faire qui les captivait, c’était aussi sa capacité à humaniser les enjeux politiques et à donner une voix aux citoyens ordinaires. Son charisme et sa présence chaleureuse ont fait de lui un visage familier, un ami qui accompagnait les familles congolaises dans leurs salons, les informant et les inspirant.

Un engagement sans faille au service de la province du Nord Kivu

Au-delà des écrans, Serge Farini s’est également impliqué activement dans les affaires de sa province bien-aimée. De 2013 à 2014, il a occupé le poste de sous-directeur de la radio, puis de 2014 à 2016, il a été nommé directeur de la radio et de la télévision. Pendant ces années, il a consacré toute son énergie à informer et à sensibiliser la population sur les enjeux politiques et sociaux qui touchent le Nord Kivu. En tant que coordonnateur adjoint, puis coordonnateur de Mishapi voicetv de 2016 à 2020, il a été le pilier central de la chaîne, un guide pour ses collègues et une inspiration pour ceux qui aspiraient à faire une différence.

La quête de l’excellence et la reconnaissance internationale

En mars 2020, Serge Farini a été nommé coordonnateur de la cellule de communication au Cabinet du Gouverneur par Carly Nzanzu Kasivita, son mentor politique. Cette nomination a été confirmée sous l’état de siège par le Lieutenant-Général Constant Ndima. Mais son engagement ne s’est pas limité aux frontières de sa province. Il a cherché à se perfectionner, à repousser les limites de ses compétences. Ainsi, il s’est envolé vers Rabat, au Maroc, où il a suivi une formation en marketing territorial. C’est là-bas qu’il a représenté avec fierté le Nord Kivu lors du Symposium Africa Place Marketing (APM), se hissant à la deuxième place, juste derrière Dakar, la capitale sénégalaise, et devant 14 autres villes et régions francophones d’Afrique. Cette reconnaissance internationale a été le témoignage de son dévouement et de son talent exceptionnel.

C’est lors d’une cérémonie prestigieuse qui s’est déroulée dans la ville de Casablanca, au Maroc, que Serge Farini a été honoré et a reçu un prix en reconnaissance de ses réalisations exceptionnelles. Ce prix, obtenu dans le cadre du Symposium Africa Place Marketing (APM), a été une confirmation de son dévouement, de son talent et de son impact dans le domaine du marketing territorial. Sa réussite à ce symposium a placé le Nord Kivu sous les feux de la rampe internationale et a renforcé sa détermination à promouvoir le développement de sa province.

Un homme au service de la communauté et fondateur de la Fondation NEEMA IKO

Mais au-delà de ses réalisations professionnelles, c’est l’aspect humaniste de Serge Farini qui touche le plus profondément. Il est bien plus qu’un homme de médias, il est un homme de cœur. Son engagement envers sa province et ses concitoyens est inébranlable. Il incarne l’espoir et la détermination d’une jeunesse qui aspire à un avenir meilleur, d’une communauté qui rêve de progrès et de justice sociale. Serge Farini est également le fondateur de la Fondation NEEMA IKO (NIKO), une organisation à but non lucratif qui œuvre pour le développement social et économique de sa province. Grâce à cette fondation, il met en place des projets visant à améliorer l’accès à l’éducation, à promouvoir la santé et à soutenir les communautés marginalisées.

Serge Farini, avec sa passion, son expertise et sa vision humaniste, incarne l’espoir d’un avenir meilleur pour sa province et pour tout le Nord Kivu. Il est un exemple inspirant de dévouement, de persévérance, d’engagement au service des autres et de philanthropie. Avec lui, Goma a trouvé un leader prêt à guider la communauté vers un avenir de prospérité, d’égalité et de paix. Son parcours académique remarquable à l’Université de Goma, sa fondation philanthropique NEEMA IKO (NIKO) et sa reconnaissance internationale lors du Symposium Africa Place Marketing soulignent son dévouement inlassable envers sa province et ses concitoyens, ainsi que son impact positif dans la société congolaise. Serge Farini continue d’aspirer à un avenir meilleur pour le Nord Kivu et à jouer un rôle clé dans la construction d’une société plus juste, plus équitable et plus prospère.

Un espoir pour un avenir meilleur

Serge Farini, avec sa passion, son expertise et sa vision humaniste, incarne l’espoir d’un avenir meilleur pour sa province et pour tout le Nord Kivu. Il est un exemple inspirant de dévouement, de persévérance et d’engagement au service des autres. Avec lui, Goma a trouvé un leader prêt à guider la communauté vers un avenir de prospérité, d’égalité et de paix. Son travail philanthropique continu inspire les autres à s’impliquer et à contribuer à la construction d’une société plus juste et plus équitable. Serge Farini représente l’espoir d’une jeunesse qui aspire à un avenir meilleur, d’une communauté qui rêve de progrès et de justice sociale. Sa candidature aux élections législatives provinciales de Goma témoigne de son engagement à être le porte-voix de sa communauté, en défendant leurs droits et en luttant pour un avenir radieux. Avec lui, l’avenir du Nord Kivu s’annonce prometteur.

Patrick BASSHAM