La campagne de vaccination contre la poliomyélite a été lancée ce jeudi 13 Juin 2024 dans la province du Nord-Kivu.La cérémonie officielle du lancement de cette campagne a été présidée par madame Prisca Luanda Kamala conseillère principale du Gouverneur-militaire chargée de la santé.
Celle-ci a, dans son discours, invité les responsables des familles et la jeunesse à s’approprier cette campagne dans le cadre de protéger les enfants contre les conséquences fâcheuses liées à la non-vaccination contre cette maladie. La vaccination des enfants contre la poliomyélite aide à limiter les risques ajoute-t-elle,
« Nous invitons tous les parents,tous les responsables ainsi que la jeunesse à s’investir pour la réussite de la vaccination. Cette phase de la campagne de vaccination contre la poliomyélite intégrée à la supplémentation et au déparasitage ira du 13 au 15 juin courant dans les 34 zones de santé du Nord-Kivu. Nous appelons les parents à amener les enfants qui n’ont pas achevé leur calendrier vaccinal de routine au centre de santé le plus proche pour bénéficier du vaccin de routine » a-t-elle déclaré.
De son côté, Gaston Lubambo, chef de division provinciale de la santé dans la province du Nord-Kivu sensibilise toutes couches sociales à redoubler des stratégies pour renforcer l’immunité des enfants et freiner la circulation de cette maladie mortelle et invalidante pour tous les enfants de la province.
« Cette campagne de vaccination contre la poliomyélite concerne le déparasitage à l’albendazole ainsi que la supplémentation à la vitamine A. Les prestataires vont pouvoir passer d’un ménage à l’autre pour atteindre l’ensemble des enfants depuis la naissance jusqu’à 5 ans, qui sont concernés par le vaccin contre la poliomyélite. Les enfants de six mois jusqu’à 59 mois vont recevoir la vitamine A et ceux d’une année à 5 ans recevront le déparasitage à l’albendazole » a-t-il précisé, demandant à la communauté d’être réceptive vis-à-vis des messages de sensibilisation relayés par les relais communautaires.
Il ajoute que les enfants déplacés de guerre cantonnés dans les sites érigés autour de Goma ne sont pas exclus; « Ils seront vaccinés comme tous les autres.Nous allons devoir travailler avec les chefs des sites pour que les enfants déplacés reçoivent le vaccin.Il y a des équipes qui vont pouvoir être déployées pour identifier tous ces enfants ciblés par cette vaccination ».
Retenez que cette campagne de vaccination contre la poliomyélite a débuté aussi dans le Territoire de Rutshuru ici au Nord-Kivu.
C’est au cours de sa descente dans cette partie du Quartier Lac Vert en ville de Goma ce mardi 28 mai 2024; que l’autorité provinciale, accompagnée de Madame Prisca Luanda Kamala sa conseillère principale chargée de la santé, a visité le centre de santé Hope In Africa, spécialisée dans la prise en charge médicale des déplacés et surtout dans le traitement et la prévention des cas de choléra.
Dans son allocution sur ce site des déplacés, Le Général-Major Chirimwami Nkuba Peter a indiqué que toutes les mesures sont mises en œuvre pour lutter contre le Choléra dans les sites de déplacés.
À l’en croire, le centre de santé Hope in Africa mérite beaucoup d’encouragement de la part du Gouvernement, étant donné qu’il répond aux besoins sanitaires des personnes en situation de détresse aiguë et renforce leurs compétences psychosociales de base.
« Les partenaires ont accepté de bonne Foi de mettre cette structure permanente de telle sorte que s’il y a un patient qui arrive la nuit, qu’il puisse être pris en charge jusqu’au matin. Nous sommes venus les accompagner et les encourager de cette disponibilité mais aussi assurer aux déplacés que le soin permanent est là. Nous disons aux déplacés que désormais les soins sont disponibles et nous allons voir si cette structure sera dupliquée dans d’autres camps des déplacés pour que chacun puisse avoir cette garantie d’obtenir le traitement au moment opportun. Comme nous sommes en train de mettre en œuvre cette initiative de Hope in Africa, il y a des structures qui seront implantées dans tous les camps et il y a des espaces qui seront prévus pour les cas de choléra » a-t-il souligné.
Présentant ses remerciements à l’autorité provinciale et ses partenaires pour cette initiative « qui répond au besoin de l’ensemble des déplacés », Ngayabarezi Moïse président des déplacés dans le site de Bulengo, a exprimé son inquiétude lié au risque élevé de propagation rapide du choléra dans ce milieu et l’absence des ambulances pour l’évacuation rapide des cas graves.
À cette préoccupation, le Gouverneur militaire du Nord-Kivu a précisé que les ambulances sont disponible et seront utilisées à chaque fois que la demande est faite. Il exhorte ainsi les uns et les autres à la souplesse dans les alertes pour faciliter le travail. Lorsqu’il y a un cas qui demande l’urgence,il est impérieux d’appeler la conseillère principale chargée de la santé pour trouver une solution rapide, a-t-il conclu.
Il s’agit du Général-major Alengbya NYTETESYA NZAMBE, nouveau commandant de la 34ème région militaire et commandant opération en province du Nord-Kivu, qui a pris officiellement ses fonctions ce lundi 04 mars 2024 au cours d’une cérémonie à Goma, de remise et reprise avec son prédécesseur le Général-Major Shora Mabondani qui assurait l’intérim à cette fonction.
À sa première prise de parole, après avoir été installé à cette fonction, le nouveau commandant-région a tenu à remercier le Chef de l’État pour la confiance avant d’appeler la population de la région à la collaboration avec les forces de défense et de sécurité pour le rétablissement de la paix dans la zone.
« Je profite d’abord de l’occasion pour remercier le commandant suprême et chef de l’État, Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, pour la confiance qu’il a placée en ma modeste personne en ce moment très particulier que traverse notre pays, particulièrement dans la province du Nord-Kivu… Je demande à la population civile, qui place aussi son espoir sur nous, de surtout nous accompagner dans cette lourde mission parce que sans le soutien de la population, nous ne pouvons absolument rien. Quand je regarde comment se battent nos jeunes de VDP, je me dis que c’est l’engagement qui devait animer tout citoyen congolais en ce moment très particulier de notre pays » a déclaré le Général major ALENGBYA.
En provenance de la province du Kongo Centrale (12ème région militaire) où il occupait la même fonction, le nouveau commandant-région au Nord-Kivu devra conjuguer les efforts avec l’ensemble de ses collègues généraux présents dans la région pour ramener la paix dans cette partie du pays et faire retourner les milliers de déplacés internes dans leurs villages et localités respectifs.
Il s’agit de la conjonctivite virale communément appelée « Apolo », identifiée dans la région depuis quelques semaines, a alerté dans un communiqué datant de ce lundi 26 février la Division provinciale de la Santé au Nord-Kivu (DPS), au travers de son programme National de santé oculaire et de la vision (PNSOV).
À en croire ce communiqué cette maladie qui peut se compliquer jusqu’à conduire à la perte de la vue en cas de mauvais traitement, se manifeste par des symptômes tels que des douleurs oculaires, des sensations de grains de sable, des rougeurs ou une tuméfaction des paupières.
En cas d’apparitions de ces symptômes, recommande la DPS, il est fortement conseillé de consulter rapidement un Centre de Santé, de préférence un service spécialisé en soins oculaires.
Parmi les précautions pour prévenir cette maladie, le même communiqué cite notamment » le lavage fréquent des mains, l’utilisation de gel hydro-alcoolique, l’évitement des contacts physiques comme les poignées de main, et la prévention du partage de linges comme les essuie-mains ».
La DPS interdit tout de même, en cas de présence de symptômes, toute automédication aux collyres à base de corticoïdes (Dexamelthasone, Prednisolone, etc.) sans prescription médicale, ainsi que l’utilisation de produits traditionnels à base de plantes.
Quelques cas de cette maladie ont déjà été identifiés dans certains pays voisins de la RDC, renseignent nos sources qui appellent à une vigilance tous azimuts.
C’est en marge de la célébration de la journée mondiale de lutte contre le SIDA que le Gouvernement provincial du Nord-Kivu, le PNMLS, PNLS et d’autres partenaires, ont lancé la campagne de dépistage du VIH et de sensibilisation sur la lutte contre la propagation du SIDA dans les sites des déplacés.
C’est la conseillère du Gouverneur-militaire chargé de la santé, Madame Prisca Luanda, qui a présidé cette cérémonie en présence des responsables provinciaux du Programme National Multisectoriel de la Lutte contre le SIDA (PNMLS), de représentants de ONU-SIDA et plusieurs autres partenaires impliqués dans la lutte contre la propagation du VIH.
Selon la représentante de l’autorité provinciale, le choix de ce site des déplacés pour abriter cette cérémonie s’inscrit dans le cadre d’intégrer le VIH dans l’intervention humanitaire au vu du contexte de guerre dans lequel se trouve actuellement la province du Nord-Kivu ayant occasionné des déplacements des millions des compatriotes.
« Notre province court le risque de faire face à un taux élevé de personnes vivant avec le VIH. À ce titre, mon vœu est de voir la JMS 2023 être novatrice, nous menant vers une bonne collecte des données sur les PVVIH aux fins de l’élaboration des plans opérationnels d’intégration du VIH en situation de crise humanitaire et de documentation afin de mener des plaidoyers auprès des divers partenaires… » a-t-elle déclarée.
L’activité a également été l’occasion de faire les défis liés à la prise en charge des personnes vivant avec le VIH en province du Nord-Kivu.
C’est dans ce cadre que la parole a été donnée à la représentante provinciale des PVVIH, qui est revenue notamment sur les problèmes de non-fonctionnement du laboratoire de contrôle de PVVIH à Goma, le retrait de plusieurs partenaires, la difficulté de certains d’entre eux à accéder facilement aux soins, l’insuffisance d’intrants, le problème de stigmatisation des PVVIH.
« Beaucoup de PVVIH vivent en clandestinité puisque dans la Communauté il y a encore des gens qui les stigmatisent et les discriminent. Nous aimerions que la Loi soit sévèrement appliquée à ce sujet pour aider les PVVIH à sortir de la clandestinité. Et cela peut limiter la contamination… » a-t-elle insisté.
L’engouement pour le dépistage volontaire
L’activité a été sanctionnée par l’ouverture officielle du centre de dépistage du VIH dans le site de Bulengo, et d’autres maladies sexuellement transmissibles.
Un grand engouement a été observé à l’ouverture de ce centre qui permet désormais à chaque déplacé de connaître son état serologique. Asifiwe(nom d’emprunt) , la trentaine révolue, se dit heureuse d’avoir fait le dépistage dont le résultat vient de marquer négatif pour le VIH mais positif pour la Syphilis.
« Je viens de découvrir que je suis atteinte de la Syphilis et on vient de me faire des médicaments, des préservatifs et des conseils à suivre pour ne pas m’exposer davantage aux IST. C’est pour moi une joie de découvrir mon état serologique. Ici dans les camps on se rencontre avec plusieurs hommes et on ne sait pas qui peut être infectée ou pas. Aussi nombreuses femmes, avant d’arriver ici, avaient été violées en cours de chemin. Voilà pourquoi c’est important de faire le dépistage pour prendre des précautions autour de sa santé » témoigne Asifiwe.
Les thèmes retenus pour cette 35ème journée mondiale de lutte contre le SIDA sont « Confier le leadership aux communautés » et « Ensemble pour le renforcement du leadership de la communauté pour vaincre le VIH SIDA d’ici 2030 ».
Depuis longtemps, l’Afrique n’avait guère tenu compte des aspects aussi importants de sa souveraineté que la santé sur le continent. Depuis 3 ans maintenant, le continent africain, à travers son centre de contrôle des maladies CDC, organe de l’Union Africaine, a créé le centre International de santé publique en Afrique CPHIA, qui réunit chaque année depuis 2021, des milliers de membres venant de tous les horizons du berceau de l’humanité. En 2023, le cap de la conférence du CPHIA est sur la Zambie, dans sa capitale Lusaka. Que se passe-t-il réellement ? Sur quoi le continent résoud-t-il d’axer sa politique sanitaire ? Quelles sont les différentes matières qui sont débattues ? Sur quoi aspire le continent en matière de santé ?… C’est à toutes ces questions que répond cet article qui fait le tour d’horizon de l’essentiel sur cette prestigieuse conférence.
Pour espérer réduire le taux d’infections et rasseoir un système de santé solide sur le continent, l’Afrique continue d’investir d’importants capitaux à former des Docteurs en médecine et professionnels de santé… Lire aussi: Santé-environnement: Quels liens entre les épidémies et la nature ?/ Pourtant, la reconstitution du système de santé sur le continent, passe par l’adoption « d’un mode de vie sain ».
Cela passe notamment par un assainissement rigoureux de notre environnement, le contrôle de notre alimentation et la pratique quotidienne du sport… C’est aussi dans ce même sens qu’abonde la Ministre zambienne de la santé, Sylvia Masebo. Elle l’a encore répété lors d’une marche de soutien à la 3ᵉ Conférence Internationale sur la Santé Publique en Afrique (CPHIA 2023), qu’abrite son pays du 27 au 30 novembre 2023, à Lusaka justement.
La prise en main du système de santé du continent…
Plus jamais comme avant. l’Afrique doit écrire son histoire. Elle doit prendre en main son destin. Et les signaux sont déjà là : le continent veut « se repositionner dans l’architecture mondiale de la santé ».
Voilà même qui justifie, que les représentants de différents États réunis au centre International Mulungushi, se donnent la peine d’axer leurs reflexions autour d’abord des « leçons apprises en matière de santé et de science » et ensuite orienter l’action sur « la voie à suivre » pour construire « des systèmes de santé plus résilients ».
C’est donc une preuve que la santé se profile toujours au-devant de tout, pour tout pays qui veut même construire son système économique. Car, « aucun pays ne peut réellement prospérer ou se développer sur le plan socio-économique si les citoyens de ce pays n’ont pas accès à des offres et services de santé de bonne qualité », reconnaît Saara, Kuugongelwa-Amadhila, premier ministre Namibien.
Mais comment y arriver ?
Les approches sont multiples. Et l’Afrique, à travers le CPHIA, la conférence internationale annuelle sur la santé publique en Afrique (CPHIA) bien-sûr, une plate-forme unique dirigée par l’Afrique; pense à travers son directeur, que cinq pilliers sont à développer dans ce sens.
Jean Kaseya, directeur général du Centre africain pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC Africa), comme c’est à lui que nous faisons allusion, mentionne que ces piliers incluent les communautés, la connectivité, le renforcement des capacités, la collaboration et l’action climatique.
Pourquoi miser sur ces points pour repositionner le continent ?
En réponse à cette question, le patron du CDC est formel: « les communautés sont l’épine dorsale de tout ce que nous faisons. Les parents, les travailleurs de la santé, les chefs religieux et communautaires…nous ne pourrons pas réaliser les progrès nécessaires sans écouter leurs préoccupations, sans les associer à la prise de décisions et sans les impliquer à chaque étape de la mise en œuvre », convainc t-il pour justifier les raisons pour lesquelles les communautés doivent être mises en avant pour implémenter les différentes politiques sanitaires en Afrique.
Évoquant en outre la connectivité, le directeur vente plutôt les acquis de la nouvelle technologie, pour assoir une Afrique saine. Sans s’en passer, Kaseya estime tout de même, que les connaissances nécessaires à mettre à la disposition des uns et des autres, est aussi crucial pour rendre réelle, la politique sanitaire du continent, axée justement sur les cinq grands pilliers mentionnés en amont. Mais pour y arriver, une stricte collaboration entre États d’Afrique et divers partenaires est aussi de mise.
Mais attention ! On ne peut pas oser aujourd’hui évoquer une question sanitaire sans se référer sur les enjeux environnementaux.
« Nous avons appris énormément de choses dans nos efforts pour prévenir et contenir les épidémies. Nous devons ensemble appliquer cette même énergie pour faire face aux changements de notre planète » , insiste Kaseya. Oui, car il existe une interdépendance significative entre l’environnement et la santé.
Le directeur du CDC tente alors à ce sujet, de montrer, combien l’Afrique qui subit déjà le plein fouet des effets du changement climatique; a intérêt de se pencher sur cette « question cruciale ». Eh bien, pour « créer systèmes de santé capables de résister aux chocs inévitables… ».
« Tracer une nouvelle voie, et repositionner le continent dans l’architecture mondiale de la santé », comme sensibiliser le porte-voix du CDC, ouvre encore une porte vers la mise en examen des acquis et opportunités qu’à le continent à imposer sa souveraineté sanitaire. Mais comment y arriver sans tirer des leçons des expériences du passé ?
Après avoir en plusieurs reprises subi le revers d’une vague d’épidémies et pandémies, l’Afrique a intérêt de s’en servir pour s’affirmer. C’est pourquoi parmi les matières sur quoi tourne la conférence, l’on note la préparation aux pandémies, un point sur les mécanismes de financement résilient des programmes de santé, la promotion de l’innovation africaine dans des domaines divers incluant la production locale de vaccins, le diagnostics et les thérapies…
Ce n’est surtout pas tout! Il est également question lors de la conférence, de scruter les approches sociétales holistiques, les innovations numériques dans le domaine de la santé, l’impact du changement climatique sur la santé et les questions liées aux maladies non transmissibles, ou encore la santé des femmes et en fin, la santé mentale.
La communication s’invite…
Vectrice des politiques sous ses angles divers, la communication est aussi de mise au sein du CDC pour vulgariser la politique sanitaire du continent. C’est en foi de cela qu’c’est né « le programme de bourses de journalisme de la CPHIA… » Ce, dans le but « de créer un réseau de journalistes spécialisés dans la santé qui comprennent l’importance de la communication en matière de santé publique ». Cette approche, laisse convaincre le chargé de la communication liée au CPHIA.
permettra « d’améliorer la couverture des questions de santé dans les médias africains ». Quarante Journalistes ont ainsi été accrédités pour couvrir la conférence, à l’issue justement d’un examen méticuleux de leurs dossiers de candidature, et sur fonds d’une présentation de productions diverses sur les thèmes ayant trait à la santé.
Ces Journalistes seront tout de même, formés à « la compréhension des problèmes de santé publique et des urgences sanitaires du moment ».
Une participation immense
Grand parmi les rendez-vous d’une Afrique qui gagne, la conférence du CPHIA s’offre à Lusaka, capitale zambienne, plus de 5.000 délégués venus de tous les horizons continentaux. Outre ces 5000 présents dans la capitale de ce pays d’Afrique australe, plus de 25.000 autres personnes suivent l’événement en mode virtuel.
Troisième expérience du continent, cette conférence, il faut le préciser, arrive après le premier rendez-vous virtuel de 2021, puis celui de Kigali capitale Rwandaise en 2022.
Précisions obligent, la conférence de l’an 2023 se tient sur fonds du thème je cite: « Briser les barrières : repositionner l’Afrique dans l’architecture mondiale de la santé », fin de citation.
John TSONGO, Journaliste environnementaliste, écrivain, passionné des questions de sciences, spécialisé en la recherche des solutions aux problèmes du millénaire et cofondateur de la Radio Panafricaine.