Goma : les jeunes entrepreneurs réunis dans un café d’échanges par la FNJEC et son partenaire NPCYP autour de la Paix

Ces échanges, ténues dans la grande salle de l’hôtel Serena de Goma samedi 27aout 2021, ont porté essentiellement sur le partage d’expériences entre jeunes entrepreneurs autour de l’apport de leurs différentes entreprises non seulement dans la lutte contre le chômage mais également dans la consolidation de la paix dans leur région, longtemps ravagée par l’insécurité et la guerre.

Organisée par la Fédération  National des Jeunes Entrepreneurs du Congo (FNJEC) en partenariat avec l’organisation NPCYP (National Partenership of Children and Youth In PeaceBuilding), ces assises ont réunis, d’après leurs organisateurs, non seulement les jeunes de Goma mais aussi plusieurs organisations du Sud-Kivu, du Maniema et d’autres provinces de la RDC.

Pour Monsieur Pacifique PATAULI, coordonnateur provincial de la FNJEC, l’objectif de ce café et de plusieurs autres de ces genres que son organisation organise régulièrement en faveur des jeunes entrepreneurs, est de booster de l’avant le secteur de l’entrepreneuriat et ensuite amener  les jeunes entrepreneurs à joindre leurs efforts à ceux des autorités pour la consolidation de la paix dans leurs milieux.

«  Nous voulons, à travers cette activité, donner de l’espace aux jeunes qui ont émergé et qui ont fait un pas dans l’entrepreneuriat pour partager leurs expériences aux autres jeunes,… pour donner un message d’espoir, donner une force, mais aussi  booster les jeunes à devenir plus créateurs d’entreprises que demandeurs d’emplois… Egalement, nous voulons faire de l’entrepreneuriat une arme de paix et de développement en province du Nord-Kivu en particulier et en RDC en générale. Au de-là des efforts qui sont faits par les autorités pour ramener la paix à l’Est de la RDC, nous croyons qu’avec cette arme appelée « Entrepreneuriat » nous pouvons aussi ajouter un plus dans la stabilité et le développement de notre province » a indiqué à Kivu Nyota Pacifique PATAULI.

Présente à cette activité Madame Justine NAMWANGU, directrice de programme au sein de NPCYP ( qui est d’après elle, un réseau d’organisation des jeunes qui travaillent dans la consolidation de la Paix en RDC) ; souligne que son organisation n’a pas hésité d’accompagner cette activité du fait qu’elle reconnait l’impact important de l’Entrepreneuriat dans les processus de pacification du pays.

« Nous avions trouvé selon les expériences que la majorité des jeunes adhèrent dans des groupes ou bandes armés ou dans des mouvements violents  parce qu’ils n’ont pas d’emplois. Et comme vous le savez, en RDC il y a de l’emploi mais ce n’est pas vraiment suffisant pour tout le monde. Et donc, il faut amener les jeunes à s’auto prendre en charge en créant eux-mêmes leurs emplois à travers l’entrepreneuriat. C’est ce qui a motivé NPCYP à accompagner la FNJEC,… » a-t-elle déclaré.

Et d’ajouter, parlant de ses impressions : « Nous sommes très contents de voir qu’il y a pas mal des jeunes qui ont déjà commencé des processus d’entrepreneuriat avec leurs propres idées et qu’il y a plus de l’innovation dans leur manière de faire. A part cela il y a aussi leur soucis de travailler en collaboration, en réseau,…C’est vraiment très important, et ça nous donne le souci de les accompagner davantage et de faire des plaidoyers pour qu’il y ait plus d’appui financier et d’accompagnements pour ces jeunes. »

Au sortir de l’activité, plusieurs participants ont loué l’initiative des organisateurs vu la richesse des échanges qu’ils ont eus pendant ce café.

Pour Fidèle BASHIGE, créateur d’une agence de Communication basée à Goma dénommée FIDBA Graphics, l’un d’eux, les assises de ces genres permettent d’épanouir les relations et de se sentir à l’aise dans le monde d’affaire.  Tout ce que nous pouvons dire à FNJEC et ses partenaires, indique-t-il, « c’est de ne pas baisser les bras dans l’accompagnement des entrepreneurs. C’est dans des cafés pareils que nous, jeunes entrepreneurs, trouvons des solutions et des réponses face aux différents problèmes que nous découvrons dans nous différentes entreprises… »  

Au mois de décembre prochain, ont annoncé à Kivu Nyota les responsables de la FNJEC, sera encore organisé un grand salon d’entrepreneurs au cours duquel sera donné un espace d’expositions des produits d’entreprises locales dans le but non seulement de leur promotion mais également de parler de la paix à travers l’Entrepreneuriat.

Emmanuel BARHEBWA

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Flavien MUHIMA

Nord-Kivu : Agro Vision Group (AVG),une association d’étudiants,en guerre contre la faim en RDC

Présente dans les domaines de l’agriculture et l’élevage depuis 3 ans, en 2017 ; cette association d’une vingtaine de jeunes étudiants, majoritairement en agronomie dans  différentes universités de Goma, se fixe le challenge d’améliorer ces domaines d’intervention pour couvrir plus de ménages. Agro Vision Group veut devenir la référence dans la production, la transformation et la vente des produits agroalimentaires à partir de l’Est de la RDC.

L’association a tout d’abord commencé par les cultures maraichères pour palier au problème de carence en produits agroalimentaires ; c’est surtout pallier à la problématique du recourt à l’importation pour avoir ces denrées.

Outre la culture de la tomate, des choux et d’autres légumes, ces jeunes ont ensuite élargi leurs activités à la patate douce, la pomme de terre et autres tubercules qui remplissent des tonnes de productions chaque année.

La troisième option pour suppléer à la qualité de l’alimentation des populations de la région,  l’organisation AVG a procédé par l’élevage des lapins et l’apiculture pour la production du miel.

Selon Eric KAYANDI, ce challenge de trois ans est surplombé d’énormes difficultés d’ordre infrastructurel et financier pour améliorer la qualité et la quantité des denrées que AVG entretient dans les périphéries de Goma à l’Est de la RDC, à l’instar des agglomérations de MUJA et MUGUNGA, respectivement en Groupement MUJA dans le territoire de Nyiragongo et dans la commune de KARISIMBI.

« Il nous est tout à fait difficile d’avoir accès aux champs dans la région de Goma qui est une zone urbaine. En palliative, nous procédons par une location des espaces insuffisants dans les zones péri-urbaines avec un poids sur le cout de transport. L’insuffisance de l’outil de travail fait un autre défaut ; nous recourrons à un autre prêt pour y remédier… nous sommes en face de l’insuffisance des moyens pour nous procurer des vastes étendues qui vont nous permettre de multiplier nos cultures » lâche le coordonnateur de AVG à Kivu Nyota.

L’AVG crie à un délaissement des autorités académiques et étatiques qui, en principes devraient les accompagner dans l’initiative.

Les cultures sont à ce jour supportées par une vingtaine des jeunes encore à l’Université, qui ne peuvent compter que sur leurs propres poches et sur le soutien de certains parents qui voient en eux une opportunité de développer le pays dès le jeune âge, poursuit le responsable de AVG, qui se félicite de voir chaque jour ses collègues acquérir de l’expérience dans le domaine de l’agriculture, l’apiculture et l’élevage des lapins.

Eric KAYANDI sollicite enfin un accompagnement des autorités à tous les niveaux : académiques et étatique, pour maintenir cette initiative au bon cap.

Emmanuel BARHEBWA

6ème édition la rencontre MAKUTANO 2020, les entrepreneurs veulent l’amélioration du climat des affaires

Simultanément avec le MAKUTANO de Kinshasa, capitale de la RDC ce jeudi 10 décembre 2020, cette rencontre de businessmen de la région de Goma a eu lieu ce jeudi 10 décembre 2020 sous le label de l’organisation Kivu entrepreneurs et ses partenaires.

Sous le thème : «  investir dans l’entrepreneuriat innovant pour former les champions de demain », une centaine d’entrepreneurs ont pris part à la séance d’échange en conférence-débat guidé par quatre panélistes parmi lesquels, Joël TEMBO  et le Professeur Docteur Dady SALEH IDI Emmanuel pour ne citer que ceux-là.

Cette édition a mis un accent particulier sur les avancées et les défis à relever dans le domaine du business doing.

Au cours de ces échanges, Joël TEMBO a, à l’égard d’une cinquantaine d’entrepreneurs de la région soutenu que le secteur connait de nos jours des avancées significatives. Ses propos dans ses propos, il a salué les efforts dans l’allégement qui prend corps à l’égard des entrepreneurs en ce qui concerne la création du Guichet Unique de la Création d’Entreprises (GUCE) qui a déjà son antenne à Goma.

« De nos jours, il est maintenant facile pour les entrepreneurs de se procurer des documents nécessaires pour la création de leurs entreprises à l’instar du Registre de Commerce et Crédit mobilier (RCCM) et autres, sans faire de vol pour Kinshasa, de l’autre côté, la permanence de l’électricité avec les nouvelles sociétés qui en fournissent est un autre facteur important dans le développement industriel vers lequel nous allons… »  a expliqué Joël TEMBO aux businessmen.

Plusieurs, préoccupations des participant ont concerné le climat des affaires dans le contexte de la région qui ne favorise pas le développement des entreprises, le manque de règlementation de certains secteurs, pourtant importants et la crise sécuritaire et socio-sanitaire qui sont un poids dans le secteur.

Quant à la question de la responsabilité que joue l’autorité de l’état dans l’amélioration du climat des affaires, le Docteur Dady SALEH a appelé les entrepreneurs de Goma à plus de vigilance et de proactivité.  En lieu et place de se plaindre, ils devraient plutôt créé de l’écosystème pessaire pour gagner.

« La mauvaise gouvernance et le manque de statistiques susceptible de guider les entrepreneurs dans leur business devraient cette fois les inspirer dans la déterminations de leurs dirigeants politiques. » a-t-il soulevé cet enseignant qui se dit heureux que l’entrepreneuriat quitte désormais le secteur de la théorie pour devenir une notion relevant de la pratique à laquelle au moins 45 à 60 heures sont consacrée à l’Université.

A la question du climat des affaire qui du reste asphyxie jusqu’à nos jours les entrepreneurs, les réponses du Commissaire en chargé de l’Entrepreneuriat au sein du Gouvernement Provincial du Nord-Kivu a donné des réponses rassurante des prévisions de réformes législatives. il a tout de même a encouragé les entrepreneurs à embrasser de plus en plus la culture de formalisation de leurs business par des documents légaux pour permettre le pays de s’améliorer à travers les taxes et redevances qu’ils payent.

Patient BEMBELEZA KIZA a reconnu dans ses réponses globales aux questions des entrepreneurs que jusque-là le secteur a une série de réformes qu’il doit mettre en œuvre

« Bien que ces réformes sont de plus urgentes, il importe que les entrepreneurs ou investisseurs s’informent dans leurs business, au-delà des exigences du Guichet Unique de création de l’Entreprise GUCE, il existe d’autres exigences de taxe des entités territoriales décentralisées et/ou déconcentrées. Parlant des réformes législatives, la taxe annuelle de la commune par exemple, a fait couler beaucoup d’encre et de salive au sujet de sa perception sur le terrain au point que l’Assemblée Provinciale a envoyé son 1er Vice-Président

Nous avons tous décrié le climat des affaires au pays qui est encore asphyxiant, c’est pour cette raison que la philosophie de l’autorité étatique est stricte à l’égard de la tracasserie, le détournement et la corruption qui caractérisent les agents de l’Etat. C’est par exemple aux frontières où la multiplicité des taxes, des services et tracasseries dans les carrés douaniers.

Nous sommes d’ailleurs en passe de réviser notre fiscalité qui est top asphyxiante puisque trop d’impôts tue l’impôt.» a expliqué le Commissaire Général Patient BEMBELEZA KIZA qui a reconnu que certains secteurs, à l’instar de celui du miel méritent encore une organisation.

Des recommandations telles que la création d’une antenne provinciale de l’Agence Nationale pour la Promotion des Investissements ANAPI qui pourrait offrir aux entrepreneurs locaux de bénéficier des avantages offert dans le sillage ont été soulevées.

Cette journée de MAKUTRANO 6 a offert aux entrepreneurs un après-midi d’exposition de leurs produits et services dans un networking ouvert au grand public.

Flavien MUHIMA

PADMPME: Clôture de la formation des formateurs en initiative personnelle

Le PADMPME vient de couronner 17 formateurs et formatrices en Initiative personnelle.
La cérémonie de remise de brevet est intervenue vendredi 05 novembre 2020 au bureau du PADMPME à Goma après 10 jours de formation facilitée par deux expertes allemandes.
Selon les responsables du Projet d’Appui au Développement de Micro, Petites et Moyennes Entreprises (PADMPME) ces impétrants ont dorénavant toutes les compétences pour former à leur tour 1200 femmes micro-entrepreneures retenues dans le cadre dudit projet, formation qu’ils devront entamer au mois de janvier 2021.
Voilà donc le parachèvement de l’un des résultats de ce projet qui est enfin atteint renseigne Raphael KAKUNDJI spécialiste en planification, suivi et évaluation au sein de l’UCP/PADMPE qui a son siège à Kinshasa.
L’objectif est de doter la ville d’un vivier de formateurs en initiatives personnelle, une théorie qui a déjà donné ses résultats satisfaisants dans d’autres pays d’Afrique sub-saharienne
Pendant près de deux semaines de formation intensive, ces seniors formateurs et formatrices ont été outillés sur trois modules notamment sur :

  • l’auto-démarrage, l’auto-détermination ensuite,
  • L’orientation vers le futur enfin,
  • Comment persévérer face aux obstacles
    Ce e projet, financé par la banque mondiale a, avant le confinement à la suite de la pandémie à Corona virus (COVID19), procédé à l’enregistrement de 8500 femmes entrepreneures à travers la ville de Goma, parmi lesquelles 1950 sont éligibles au projet.
    Après que le groupe des formateurs et formatrices vient d’acquérir les compétences nécessaires à leur rôle, La suite du processus prend désormais la vitesse de croisière pour parachever ce projet exécuté dans les villes de Goma, en Province du Nord-Kivu et celle de LUBUMBASHI, Chef-lieu de la Province du Haut-Katanga.
    « Pendant trois mois, 1200 femmes entrepreneures seront outillées par ces formateurs et formatrices, maintenant compétents, pour qu’elles aient à leur tour des atouts afin de mener à bien leurs activités professionnelles. Déjà des procédures administratives sont en marche pour que cette formation ait lieu au déjà au mois de janvier le recrutement d’un partenaire local qui va gérer toutes les procédures logistiques »
    Esther KALANGA, Cheffe d’antenne du PADMPE au Nord-Kivu peut donc claquer son petit doigt que cette formation a connu une participation assidue de 50% des femmes qui vont à leur tour faciliter la capacitation des femmes en faveurs desquelles la formation en initiatives personnelles sera organisée en début d’année 2021
    Si seulement 1200 femmes de bravoure ont été retenues pour bénéficier des séances de formation sur cette nouvelle théorie qui prend racine dans la région congolaise, le PADMPME rassure néanmoins que toutes les 1950 femmes éligibles aux projets qui seront soutenues pour les appuis en nature de leurs projets à la condition qu’elles présentent des projets bancables.
    De l’autre côté, le PADMPNE dit ne plus lésiner dans la compétition des plans d’affaires COPA ; il demande pour ce faire aux entrepreneurs de Goma de soumissionner pour gagner ou alors demander des formations qui sont disponibles

PADMPME: la formation des formateurs en initiative personnelle s’ouvre à Goma

Lancement ce lundi 23 novembre 2020 à Goma de la formation des formateurs/trices en Initiative personnelle exécutée par le Projet d’Appui aux Petites et Moyennes Entreprises (PADMPME) en faveur des femmes entrepreneures éligibles de la ville de Goma.

Pendant dix jours, les participants à la formation vont bénéficier de différents modules basés sur les trois variables de la FIP (Formation en Initiative Personnelle) entre autres l’auto-détermination, L’orientation vers le futur et comment persévérer devant les obstacles, que connaissent les femmes entrepreneures à Goma.

Selon Raphael KAKUDJI, spécialiste en planification, suivi et évaluation au PADMPME, ces formateurs poursuivent la formation au profit des femmes entrepreneures bénéficiaires directes du projet dans la ville de Goma.  Il s’agit des 1950  désormais éligibles qui ont répondu aux critères sur les 8500 femmes enregistrées lors de la campagne de sensibilisation des femmes entrepreneures dans la ville de Goma.

« Nous voulons doter la ville de Goma d’un vivier des formateurs en initiative personnelle, c’est une nouvelle théorie en RDC, une théorie qui a été vérifiée dans d’autres pays de l’Afrique subsaharienne et qui a donné ces fruits »  a expliqué Raphael KAKUDJI.

Débutée ce lundi 23 novembre 2020 dans la grande salle de l’hôtel la Joie Plazza, cette formation des formateurs de la FIP se clôturera le 3 décembre prochain. Après cette phase, ce sera au cours du mois de janvier 2020 la formation proprement dite des femmes entrepreneures éligibles au projet.

Patrick BASSHAM