Hypertension: gare à la consommation excessive de pommes de terre

Contrairement aux idées reçues, tout ce qu’on trouve sur les étals des maraîchers n’est pas bon pour la santé. Une nouvelle étude suggère ainsi qu’une consommation élevée de pommes de terre élève la tension artérielle.

En effet, selon les auteurs de cette étude publiée dans le British medical journal, par rapport à la consommation de pommes de terre une fois par mois, les personnes qui en mangent  – au four, bouillies ou en purée – quatre à six fois par semaine augmentent leur risque d’hypertension de 11%.

Un risque qui augmente de 17% lorsque les frites sont ajoutées à ce menu hebdomadaire. Selon les auteurs, l’apport en selne modifierait pas les résultats mais ils reconnaissent ne pas avoir pu contrôler toutes les variables possibles dans les recettes.

C’est en analysant les données de trois grandes études prospectives américaines, ayant suivi sur plus de 20 ans 187 000 hommes et femmes, qu’ils arrivent à cette conclusion publiée récemment dans le British Medical Journal.

Deux de ces études sont très connues pour avoir déjà fourni des résultats remarquables dans divers domaines: il s’agit des deux premières éditions de la Nurses’ Health Study (NHS), un programme de recherche lancé en 1976 et qui a donné lieu à l’étude prospective centrée sur la santé des femmes la plus grande du monde. Quant à la troisième, connue sous l’acronyme de HPFS pour Health Professionnals Follow-up Study, elle a suivi exclusivement des hommes, âgés de 40 à 75 ans, depuis 1986.

Dans chaque cas, la quantité consommée permettait d’établir une base de comparaison entre les individus, chaque participant devant décrire avec quelle fréquence il consommait un tel plat de patates: de «jamais ou moins d’une fois par mois», jusqu’à «six fois par semaine ou davantage», ce qui a permis aux auteurs de déterminer plusieurs catégories de consommation.

Il s’avère alors que les individus qui consommaient au moins une portion quotidienne du premier groupe de pommes de terre étaient 13% plus nombreux à être devenus hypertendus. Pour ceux qui consommaient des frites au moins quatre fois par semaine c’est encore pire, puisque leur risque relatif monte alors à 1,17.

 Les auteurs expliquent cette augmentation du risque par l’importante charge glycémique liée à la consommation de pommes de terre, l’augmentation de la glycémie pouvant entraîner une dysfonction des parois internes des artères susceptible de mener à une augmentation de la pression artérielle. En revanche, et paradoxalement, la comparaison des données montre que l’augmentation du risque est presque nulle pour les consommateurs de chips, même à raison de quatre portions par semaine ou davantage!

Afriquefemme avec afripulpe

Zimbabwe : mort de l’ex-président Robert Mugabe, ce héros de l’indépendance devenu despote

L’ancien président du Zimbabwe, Robert Mugabe, alias « Comrade Bob », s’est éteint à l’âge de 95 ans. Pointé comme responsable de la déchéance économique de son pays, il avait été chassé du pouvoir par un coup d’État en 2017.

L’ancien président zimbabwéen Robert Mugabe, qui a dirigé d’une main de fer son pays de 1980 à 2017, est décédé à l’âge de 95 ans, a annoncé, vendredi 6  septembre, l’actuel chef de l’État, Emmerson Mnangagwa. « C’est avec la plus grande tristesse que j’annonce le décès du père fondateur du Zimbabwe et de l’ancien président, le commandant Robert Mugabe », a-t-il déclaré dans un tweet.

« Le commandant Mugabe était une icône de la libération, un panafricain qui a dédié sa vie à l’émancipation (…) de son peuple. Sa contribution à l’histoire de notre nation et de notre continent ne sera jamais oublié. Que son âme repose en paix », a-t-il ajouté. L’ancien chef de l’État est mort à Singapour, où il avait
été soigné à plusieurs reprises ces dernières années, a indiqué une source informée.

En novembre dernier, Emmerson Mnangagwa avait fait savoir que Robert Mugabe ne pouvait plus marcher, sans préciser de quoi souffrait son prédécesseur.

Trente années de règne

Robert Mugabe avait pris les rênes de l’ex-Rhodésie, devenue indépendante, en 1980. Lâché par l’armée et son parti, il a été contraint à la démission en 2017. Il a laissé un pays englué dans une profonde crise économique qui ne cesse d’empirer. Accusé d’avoir muselé l’opposition par la violence pendant 37 années de règne, pointé comme responsable de la déchéance économique de son pays, Robert Mugabe incarnait jusqu’à l’excès le rejet des anciens colons et de l’Occident, ces « Whites » (« Blancs ») qui revenaient à chacun de ses discours.

Né en 1924 dans une famille pauvre de ce qui était encore la Rhodésie du Sud, Robert Mugabe a eu une enfance plutôt solitaire, entouré de ses livres. Devenu instituteur, il part étudier en Afrique du Sud. C’est là qu’il s’initie au marxisme avec des membres de l’ANC (Congrès national africain), le parti anti-apartheid de Nelson Mandela.

Dix ans en prison

De retour dans son pays dans les années 1960, il milite aux côté du parti de l’Union national du Zimbabwe (Zanu) contre le régime blanc et raciste de Ian Smith. L’homme qui dirige le pays après en avoir unilatéralement proclamé l’indépendance vis-à-vis du Royaume-Uni refuse de remettre le pouvoir à la population noire.

Un activisme que Robert Mugabe paie chèrement. En 1965, il est jeté en prison. Il y restera 10 ans. Du fond de sa geôle, un événement traumatisant va accroître son hostilité à l’égard des colons : en 1966, il perd son fils de 3 ans mais se voit refuser une sortie exceptionnelle pour se rendre à ses funérailles. Il ne le pardonnera jamais.

Des accents « mandelien »

À sa sortie, en 1973, il se réfugie au Mozambique, pays depuis lequel il continue à consolider son influence sur le Zanu. Il prend la tête de la Zanla, la branche militaire du Zanu, et y continue la guérilla contre le gouvernement. En 1980, après les accords de Lancaster, qui conduiront à l’indépendance de la Rhodésie, « Comrade Bob », qui n’a rien perdu de sa foi marxiste, devient Premier ministre. Il accède au statut de héros national.

Malgré sa haine des Blancs, Robert Mugabe prône une politique de réconciliation qui lui vaut l’amitié des pays occidentaux et de la reine Elizabeth II. Selon Jeune Afrique, il tiendra même un discours aux accents « mandelien » : « S’il vous plaît, restez avec nous dans ce pays pour former une nation fondée sur l’unité nationale ».

Du « grenier à blé » aux sécheresses

À cette époque, Robert Mugabe est à la tête d’un État riche, « le grenier à blé de l’Afrique australe ». L’économie du pays, nouvellement baptisé Zimbabwe, est au beau fixe du fait de ses ressources céréalières. L’éducation vient parfaire le tableau : 90 % de la population sait lire et écrire, un record sur le continent.

L’idylle est si parfaite entre les Britanniques et Robert Mugabe que les Occidentaux fermeront les yeux sur les massacres de 1983, pourtant un signe criant de la dérive autoritaire du « Comrade Bob ». Des documents historiques récemment déclassifiés tendent à prouver l’implication de Robert Mugabe dans le carnage de Gukurahundi, au cours duquel 20 000 civils furent assassinés au mois de janvier dans le sud du pays. Tous faisaient partie de la population Ndebele, accusée par le gouvernement de soutenir une rébellion opposée au régime. Malgré les documents, Robert Mugabe nie toute sa vie avoir participé au massacre.

Expropriation des fermiers blancs

L’Occident reste sourd et aveugle aux exactions commises au Zimbabwe. Dix ans après le massacre, le héros anti-colonial est anobli par la monarchie britannique – titre qui lui sera retiré en 2008 par la reine Elizabeth. Les pays occidentaux ne pourront pas longtemps détourner le regard. Dans les années 1990, frappé par plusieurs sécheresses, le grenier à blé du continent se porte beaucoup moins bien. La grogne sociale gagne du terrain, l’opposition aussi, soutenue par la nouvelle génération. Le régime de Mugabe, menacé, se lance dans une vaste répression. Des journalistes et militants sont emprisonnés.

En 2000, il perd le référendum constitutionnel qui devait lui permettre de se représenter à la présidence du pays. Acculé, il développe une paranoïa à l’égard des Blancs qu’il rend responsables de sa défaite et qu’il pense acquis à la cause de l’opposition du Mouvement pour le changement démocratique (MCD). Robert Mugabe sort alors de ses cartons un vieux projet de redistribution des terres évoqués lors de l’indépendance, mais jamais concrétisé. Il confisque les terres de 4 000 fermiers Blancs, qui possédaient 70 % du terrain arable du pays, pour les donner notamment à des familles rurales pauvres.

Un bilan économique catastrophique

Cette politique a eu des conséquences économiques catastrophiques. La plupart des bénéficiaires de cette politique de redistribution, soutiens du pouvoir, n’avaient pas les connaissances requises pour travailler la terre. Le rendement des exploitations a dégringolé après la réforme agraire, et le pays, qui participait auparavant à l’approvisionnement du Programme alimentaire mondial, est devenu tout à coup dépendant de l’aide alimentaire de l’ONU pour nourrir l’équivalent d’un quart de sa population.

L’inflation est si forte qu’elle n’est même plus chiffrable, certains économistes estimant le taux de chômage à 94 % fin 2007. Dans les supermarchés, les rayons sont vides, trouver des denrées de bases relève alors de l’exploit.

Malgré un bilan économique catastrophique, une politique de répression toujours plus violente envers ses opposants, Robert Mugabe dispose de forts soutiens chez les Zimbabwéens. « Mugabe [était] populaire chez une grande partie de la population, notamment chez les personnes âgées qui ont vécu la période de la guerre qu’a menée Robert Mugabe pour la décolonisation du Zimbabwe, expliquait en 2013 à France 24 Emmanuel Goujon, fondateur de la société de conseils Africa Global Approach. Il ne faut pas oublier qu’il a été un héros africain dans les années 1980, qu’il a mené son pays à l’indépendance et à la fin d’une situation d’apartheid où la minorité blanche dominait la majorité noire. Et ça, c’est resté dans les mémoires des gens ».

Des provocations anti-impérialistes aux discours homophobes

Il est néanmoins lâché par les Occidentaux. En 2002, alors que Robert Mugabe est réélu à la tête du pays, les pays observateurs dénoncent des fraudes. Les sanctions américaines et européennes pleuvent sur le pays. Même scénario en 2008, quand le candidat de l’opposition (MCD), Morgan Tsvangirai, est obligé de se retirer de la course présidentielle pour ne pas plonger le pays dans une guerre civile. Ce dernier était en tête au premier tour.

Mais sanctionné ou pas, Robert Mugabe n’a jamais changé de cap. En janvier 2015, nouveau pied de nez aux Occidentaux : il est nommé président de l’Union africaine. Cette nomination a suscité un certain embarras dans les rangs de l’organisation panafricaine. Des diplomates ont en effet évoqué un « hasard malheureux » et une règle impossible à contourner offrant, à tour de rôle, la présidence de l’UA à chaque grande région africaine.

Depuis des années, il a multiplié provocations et tirades incendiaires contre les « impérialistes ». Il a aussi mené un combat très personnel contre l’homosexualité dans son pays. En septembre 2015, il a déclenché l’hilarité aux Nations unies après avoir déclaré à la tribune que les Zimbabwéens n’étaient pas gays. « Comrade Bob », n’a pas non plus hésité à dépenser des sommes indécentes pour chacune de ses fêtes d’anniversaire.

Acculé à la démission en 2017

En février 2016, le montant des agapes organisées pour ses 92 ans ont atteint les 800 000 dollars. Conscient que chaque festin était scruté à la loupe, le régime vieillissant de Mugabe semblait chaque année faire toujours plus dans la démesure. Comme un perpétuel pied de nez aux puissances occidentales, auxquelles le président zimbabwéen n’a jamais manqué d’envoyer des piques.

« Le Zimbabwe à genoux »

En octobre 2017, Robert Mugabe limoge son vice-président Emmerson Mnangagwa, sous la pression de son influente et ambitieuse épouse Grace, qui s’invite dans la course à sa succession. C’est l’erreur fatale. L’armée le lâche. Son parti, la Zanu-PF, et la rue également. Le plus vieux chef d’État en exercice de la planète, longtemps considéré indéboulonnable, est acculé à la démission le 21 novembre 2017. Il a 93 ans.

Il dénoncera plus tard un « coup d’État » et, plein de ressentiment, appellera à demi-mots, à la veille des élections générales de 2018, à voter pour l’opposition. « Il fut un formidable dirigeant dont le pouvoir a dégénéré au point de mettre le Zimbabwe à genoux », résume Shadrack Gutto, professeur à l’Université sud-africaine Unisa.

France 24 Avec AFP

Qui est Mgr Willy Ngumbi?

Nommé le 23 avril 2019 par le Pape François, il est entré officiellement en fonction le dimanche 19 mai 2019. Mgr Willy Ngumbi Ngengele est âgé de 54 ans. Il est de la congrégation des Missionnaires d’Afrique autrement appelés les Pères Blancs. Il a été évêque de Kindu, dans l’Est de la RDC, depuis 2007. Il est né le 13 février 1965 à Ngagara à Bujumbura.  Il a été ordonné prêtre le 1er août 1993 par Mgr Faustin Ngabu à Goma et nommé évêque de Kindu le 22 juillet 2007 par le Pape Benoit XVI. Aujourd’hui, il succède à Mgr Théophile Kaboy Ruboneka âgé de 78 ans dont le pape a accepté la démission pour limite d’âge canonique étant donné qu’à l’âge de 75 ans, les évêques présentent leur démission au pape.

Mgr Willy Ngumbi est actuellement président de la Commission épiscopale de l’apostolat des laïcs à la Conférence épiscopale Nationale du Congo (CENCO). Dans un courrier du 10 mai 2019, la Nonciature Apostolique en République Démocratique du Congo (RDC) a annoncé qu’il a plu au Pape François de nommer Administrateur Apostolique « sede vacante ad natum Santae Sedis » du diocèse de Kindu, Mgr Willy Ngumbi Ngengele.

Steve Mbikayi tourne le dos à Lukwebo après l’exclusion de celui-ci du FCC

L’exclusion de Modeste Bahati Lukwebo au sein du FCC laisse chavirer plusieurs navires dans ses vagues. Ce mercredi 10 juillet, Steve Mbikayi, membre de ce regroupement et président du parti travailliste (PT) a, via son compte Twitter, tourné le dos à son ancien leader Modeste Bahati Lukwebo, alors autorité morale de l’AFDC-A. Steve Mbikayi s’est ainsi desolidarisé de Lukwebi en clamant fidelité au Raix. « Loyal dans mes engagements, je reste attaché à l’AFDC- A et au FCC . Après sa suspension, l’hon Bahati a dit reprendre son autonomie .La boussole ne m’ ayant pas indiqué où il va , j’ai décidé de rester dans AFDC-A , dans FCC et fidèle au Raïs , en attendant qu’il revienne. »
En rappel, le FCC a annoncé ce mardi 08 juillet, l’exclusion à durée indeterminée de Bahati Lukwebo suite à son refus de se retirer de la course à la présidence du sénat, au profit d’Alexis Tambwe Mwamba, candidat du FCC. Le FCC a demandé à l’AFDC/A de se trouver un autre leader pour représenter le parti au sein du FCC dont Joseph Kabila est le patron.
Bahati Lukwebo a pris acte de la décision et a maintenu sa candidature à la présidence du sénat.

Carly NZANZU KASIVITA prend officiellement fonction de gouverneur de la province du Nord-Kivu.

C’est officiel ! Carly Nzanzu KASIVITA, est désormais le 9e gouverneur de la province du Nord-Kivu avec pour adjointe Marie LUMOO KAHOMBO. Il est entré en fonction ce vendredi 28 juin 2019 au cours de la cérémonie de passation pacifique et civilisée du pouvoir entre lui et le vice-gouverneur et gouverneur a.i Feller Lutaichirwa. La cérémonie a été organisée dans les installations du Musée devant plusieurs cadres de la province du Nord-Kivu dont autorités polito-civiles, judiciaires, militaires et religieuses.

Dans son discours inaugural, Carly le nouveau gouverneur du Nord-Kivu a promis de promouvoir la reconstruction de la province du Nord-Kivu à travers la  cohésion sociale et la cohabitation pacifique de toutes les communautés. Il a aussi promis de s’investir dans la lutte contre l’insécurité et mieux encore la lutte contre l’épidémie de la maladie à virus Ebola, la facilitation de l’entrepreneuriat des jeunes et de la lutte pour un développement durable

Élu le 30 mai dernier,  Carly Nzanzu KASIVITA a été confirmé gouverneur le 12 juin et investi par ordonnance présidentielle le 20 juin dernier.  Il remplace ainsi Julien Paluku qui a fait 12 ans à la tête du Nord-Kivu

Biographie de Nelson MANTAMA

Nelson Mantama, un homme à la casquette colorée d’arc en ciel.

Juriste, entrepreneur, Fondateur et Directeur Régional de IDE (Initiative pour le Développement Endogène.)

Nelson MANTAMA, né un certain 17 mai 1993, date de libération en République démocratique du Congo dans la ville de Goma, à l’Est du pays.

Il commence ses études maternelles et primaires à Bukavu, une ville de la province du Sud-Kivu, et après il les poursuive à Goma, sa ville natale où il obtient haut la main son certificat.

En 2006, il commence ses études secondaires au collège Mwanga où il décroche avec brio son diplôme d’état en latin philo en 2012 qui lui ouvre la grande porte de  l’alma mater  de l’Université Libre des Pays des Grands Lacs (ULPGL) et s’inscrit dans la noble  faculté de Droit. Après son premier cycle en droit, Nelson MANTAMA préfère renforcer son expérience sur le terrain par des formations avancées en droits humains et droit humanitaire international certifiées par le Bureau Conjoint des Nations Unies aux Droits de l’Homme (BCNUDH), en Leadership Administration, Orientation , en Management des projetset en entreprenariat.

 De part, son engagement sur le terrain, Nelson MANTAMA a mis en évidence les qualités indispensables pour mener à bien, en synergie avec ses collaborateurs, toute action humanitaire ; à savoir, la diplomatie, la ténacité, l’esprit d’initiative et une grande autonomie.

Nelson MANTAMA, est un homme intègre et intégrateur en quête permanente du bonheur et de l’excellence dans tout ce qu’il entreprend comme projet. Homme honnête profondément engagé dans les valeurs d’abord chrétienne et ensuite républicaines.

Les uns l’ont vu inspirer ses pairs et servir de base modéliste pour plus d’un. Les autres l’ont croisé lutter de sang-froid et à bras le corps pour plus les causes de droit, de santé et de leadership tant cohésif que transformationnel. Peu voient en lui un homme désespérément ancré à lui-même. Beaucoup découvrent en cet homme une incarnation de la sagesse, une inspiration et toute une école d’engagement.

A son actif, nous pouvons égrener toute une kyrielle de réalisations d’ordre volontariste et philanthropique.

En 2012, il lance un centre culturel pour l’encadrement des jeunes qu’il donne le nom de UCA, Union Culturelle Africaine au sein de laquelle il assure sans cocasserie la fonction de coordonnateur. Avec son profond sens de visionnaire, en 2015 il démissionne de son poste de Coordonnateur à UCA et fonde l’asbl IDE, Initiative pour le Développement Endogèneet y  assume jusqu’à cette heure les fonctions de Fondateur et Directeur Régional.Aujourd’hui IDE enregistre à son actif des innombrables réalisations sur un large éventail de projets de conception et de développement. IDE s’est inscrite comme une organisation non gouvernementale, indépendante, apolitique et non discriminatoire qui, depuis 2015travaille en étroite collaboration avec les organisations tant locales, nationales et internationales, les agences et systèmes des Nations unies comme  le HCR, la MONUSCO, l’UNFPA, le Bureau Conjoint des Nations Unies aux Droits de l’Homme (BCNUDH), etc.

L’IDE est d’ores et déjà placée parmi les organisations de référence travaillant pour le bien-être des communautés, dans le programme ‘Paix et Développement’focalisé principalement sur la participation de la jeunesse et l’intégration effective de la femme et de la jeune fille dans les efforts pour la paix et le développement.

Par ailleurs, Nelson MANTAMA s’est particulièrement attaché, en tant que représentant officiel de l’organisation IDE, à négocier directement avec les autorités locales et les partenaires, afin de garantir la pérennité de ses actions sur le terrain. (Site Web : htpp/ www.ide-rdc.org)

Homme de culture et peace building(constructeur de la paix), depuis janvier 2016Nelson MANTAMA développe comme initiateur, un programme de paix pour le rapprochement et l’unité de la jeunesse du Congo et celle du Rwanda. Le Rwanda l’un des pays voisin de la RDC que l’histoire attribue de qualification entre ces derniers « pays ennemis » avec des tendances de civilisations. Nelson MANTAMA oriente sa vision en créant le mouvement culturel RWANCO pour le rapprochement et l’unité de ces 2 pays  et  qualifie ce mouvement comme « la première étape du plus grand rêve de paix et d’unité RWANDA-CONGO » 

 Aujourd’hui le mouvement culturel RWANCO est actif dans plusieurs forum des paix dans la sous-région des grands lacs, et le calendrier de ses activités dans la lutte pour  l’unité et la paix entre Rwanda-Congo, donne davantage des fruits les plus mûrs et délicieux.

Nelson MANTAMA poursuit inexorablement sa lutte acharnée pour la paix et l’unité de l’Afrique en assumant la fonction depuis 2017 jusqu’au aujourd’hui du Directeur de communication du grand forum Régional des jeunes pour la paix. Un forum œcuménique organisé chaque année par le Diocèse de Goma pour réunir les jeunes des pays des grands lacs et parler de différentes thématiques des jeunes et plus particulièrement sur la question  »paix, unité  et développement ».

Nelson MANTAMA est tout de même le Directeur de  communication et le chargé des affaires extérieures de la Maison des jeunes Goma depuis 2017. La Maison des jeunes du Diocèse de Goma qui est une structure d’accueil pour l’infaillible encadrement et l’épanouissement sans conteste de la jeunesse du Nord-Kivu, à l’est du pays, depuis 1986.

Le leader naturel et transformationnel Nelson MANTAMA, ne cesse de développer une attitude à l’écoute et à la communication qui lui permet d’encadrer parfaitement une équipe et d’endosser au besoin un rôle de soutien psychologique en faveur de la société.

En juin 2018, Nelson  MANTAMA est  invité par Nicky HALLEY de l’Ambassade des Etats d’Amérique en République Démocratique du Congo pour participer à la célébration du 242eme Anniversaire de l’indépendance des Etats unis d’Amérique.Céruse sur le gâteau, Il tien part à ce grand rendez-vous historique avec  un marquant discours  (Afrique en Avant, Rendez-vous au sommet)dont il en est Auteur, lui a valu le pseudo de l’Ambassadeur Congolais en Afrique.

Comme pour honorer encore une fois sa présence, le jeudi 27 juin 2019, l’Ambassadeur des Etats Unis d’Amérique en république démocratique du Congo  S.E Mike Hammer et Mme Margret jorgulfsdottir invitent encore une fois  Nelson MANTAMA de leur faire l’honneur de prendre part à une réception pour célébrer le 243eme anniversairedes Etats Unis d’ Amérique. Invitation qu’il honore avec gratitude.

Nelson MANTAMA se laisse prédire par son entourage comme le nouveau Nelson MANDELA. Comparaison qu’il ne conçoit peut être pas  parce que dit-il, Nelson Mandela est un baobab avec une histoire qui dépasse des spécificités  des communs des mortels. Nelson MANTAMA se qualifie d’un petit fils qui s’inspire du génie et de la sagesse du grand père MANDELA.

 « Je suis Nelson Mantama, je suis africain et fier de l’être. Je ne m’en vante pas !

Je suis Nelson MANTAMA, je ne suis peut-être pas un homme de succès. Je ne m’en glorifie pas !

Je suis Nelson MANTAMA,  je crois juste être quelqu’un de valeur comme la plupart. Je ne m’en vante pas !

Je suis Nelson MANTAMA et non pas Nelson MANDELA. » explique Nelson MANTAMA en ces mots.

En tant qu’acteur humanitaire et entrepreneur, sa motivation profonde est de contribuer, par ses connaissances et son expérience, à l’amélioration d’un monde nouveau à travers  différents programmes.  « A tous les jeunes africains, mon message restera le même : il faut nous unir ! Il faut nous unir pour construire l’Afrique et le monde, il faut nous unir pour construire un avenir meilleur, un monde de la science et de progrès, ce qui mènera tous les hommes vers le bonheur.» Souligne Nelson MANTAMA

Enthousiasmé par le sens de mieux faire ce qu’il fait bien, Nelson MANTAMA poursuit des mouvements entrepreneurial, diplomatique et humanitaire qui sont les 3 termes qui définissent son être et son avoir. Il perfectionne constamment son métier dans l’apprentissage de nouvelles méthodes et tendances.

 Que vive l’homme!