Antoinette gizenga est decede

Antoine Gizenga est mort ce dimanche 24 février au Centre Médical de Kinshasa (CMK) après une brève hospitalisation. Il est mort à l’age de 93 ans. L’annonce a été faite d’abord par les cadres importants du PALU. Né en 1925, à Mushiko il a été  Premier ministre de 2006 à 2008. Antoine Gizenga Fundji est originaire de la province du Bandundu. Il était marié à Anne Mbuba et père de quatre enfants. Considéré comme l’un des pères de l’indépendance congolaise, il devient chef du parti Solidaire Africain, PSA, en 1959. Il est ensuite élu député national lors des législatives de 1960. Il devient par ce fait vice-premier ministre dans le gouvernement Lumumba. Il dirige alors à Kisangani le gouvernement de la République populaire du Congo, une rébellion d’après le coup de force de Mobutu de septembre 1960.

 

Biographie ( source : wikipedia)

Proche de Patrice Lumumba, chef du Parti solidaire africain (PSA), Antoine Gizenga a été vice-Premier ministre en 1960 et 1961 et Premier ministre de la République libre du Congo en 1961. Son gouvernement à Stanleyville (Kisangani actuelle) a été reconnu par 21 pays d’Afrique, d’Asie et d’Europe de l’Est en février 1961. [réf. nécessaire]

Il a été emprisonné à Bula-Mbemba de janvier 1962 à juillet 1964, il sera libéré après que les membres du MNC-L avec à leur tête Antoine Kiwewa exigent sa libération. Déjà, le 25 septembre 1962, le Sénat avait défié Kasa-Vubu en votant une résolution qui exigeait la libération immédiate d’Antoine Gizenga. Le même jour, une manifestation conjointe MNC/L et PSA est organisée pour la libération de Gizenga. Le pouvoir réagit fermement : sept députés lumumbistes sont mis aux arrêts le 29 septembre. La mise en congé du Parlement est applaudie par toute la presse. C’est la même réaction au niveau des syndicats importants : UTC, FGTK, CSLC et la redoutable Union générale des étudiants congolais (UGEC), mais qui exigent aussi l’extension de la mesure au gouvernement taxé d’incompétent et de corrompu.

À l’opposé, les partis politiques de l’opposition lumumbiste, majoritaires au Parlement, vont déterrer la hache de guerre. Ils se réunissent du 29 septembre au 3 octobre. Ils vont créer à Léopoldville le Conseil national de libération (CNL) le 3 octobre. Le CNL vise à s’opposer aux mesures prises le 29 septembre et renverser le gouvernement Adoula. Le CNL, qui sera à la base de la terrible rébellion muleliste, va conquérir durant l’année 1964 les trois-quarts du pays. Et se divisera en deux blocs : le MNL/Gbenye avec Soumialot, Laurent-Désiré Kabila ; et le MNL/Bocheley avec Gizenga, Pauline Lumumba, Pierre Mulele, Lubaya[3].

À peine Gizenga sortait-il de sa prison de Bula-Mbemba, qu’il créait le Palu le 24 août 1964, ce en dépit du refus obstiné d’autres dirigeants lumumbistes, en l’occurrence, ceux du MNC dont Antoine Kiwewa et Alexandre Mahamba. Pour ces derniers, seul le congrès de chaque parti se devrait de saborder le MNC et le PSA, en vue d’une refonte d’un grand parti des masses, tel avait été le souhait de Patrice Lumumba[4].

Il a vécu en exil de 1965 à 1992. Il fonde, durant son exil, les Forces démocratiques pour la libération du Congo (FODELICO)[5].

En 2006, il se présente à l’élection présidentielle congolaise de juillet, comme candidat du PALU. Ayant obtenu 13,06 % des votes au premier tour, il est troisième de l’élection et devrait être l’arbitre du second tour entre Joseph Kabila et Jean-Pierre Bemba. Il est arrivé en tête dans sa province natale, le Bandundu.

Le 30 septembre, il signe au Grand hôtel de Kinshasa un accord de coalition qui vise à faire élire le président Joseph Kabila au second tour des élections présidentielles prévues pour le 29 octobre. L’accord prévoit aussi l’attribution du poste de Premier ministre à un membre du Parti Lumumbiste Unifié d’Antoine Gizenga.A la victoire de Joseph Kabila aux présidentielles, il est nommé comme informateur chargé de trouver au sein de l’Assemblée nationale une coalition majoritaire puis le 30 décembre 2006, il est nommé Premier ministre par le président Joseph Kabila. Il prend la tête du nouveau gouvernement du pays le 5 février 2007, comprenant 59 membres[6]. Ce gouvernement sera réaménagé, et le nombre de ministres vu à la baisse le 25 novembre 2007, produisant le second gouvernement Gizenga.

Le 25 septembre 2008, Antoine Gizenga annonce sa démission du poste de Premier ministre[7]. Il est remplacé le 10 octobre 2008 par Adolphe Muzito jusqu’alors ministre du Budget qui est d’ailleurs son dauphin politiquement parlant au sein du PALU.


Est-il important de célébrer la journée mondiale de la langue maternelle ?

Compagne: Enseignement langue martenelle/UNESCO

Ce jeudi 21 Février, le monde célèbre la journée mondiale de langue maternelle telle proclamée en 1999 par l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO),

Après investigation et sondage, on a constaté que la grande partie de la jeunesse est caractérisée par l’acculturation. Beaucoup de jeunes n’usent pas ou ne connaissent pas carrément leurs langues maternelles. Des langues traduites suivies dans des séries télévisées, de musique ‘’Streets’’ peut-être à la hauteur de ce défi.

Mais cela ne veut pas autant dire que les parents ou les adultes sont écartés ou qu’ils n’ont pas aussi une part de responsabilité ou du moins là-dedans, puisque normalement ce sont eux qui devraient inciter la jeunesse à sa promotion, tout en l’apprenant petit à petit pour qu’il ne finisse par perdre la culture ou l’ignorée, et voir comme si celle des autres est extrêmement importante que la sienne.     

« Le multilinguisme est une force et une chance pour l’humanité. Il incarne notre diversité culturelle, encourage le brassage des points de vue, le renouvellement des idées, l’élargissement de nos imaginaires », a déclaré la directrice générale de l’UNESCO, IRINA BOKOVA, dans le message qu’elle a adressé à cet occasion. Mais ce propos n’est pas synonyme à croire toujours qu’ailleurs est excellent que chez soi.

En marge de la vingtième occasion de langue maternelle, avons aussi réalisé une discussion d’arguments, recueillie auprès  de certains habitants de la ville de Goma, pour afin trouver un ouf de soulagement si pas un remède de faire sortir la jeunesse de cet engouffrement,  obscurité obscur qui est celui de ne pas être fier de sa  langue maternelle.

SERGENS GLOIRE BASHONGA, un jeune activiste, réalisateur de film et Enfant Congolais du Futur, pense selon lui, que tout est biais dès le départ ; Il s’explique ici « On a grandit avec la mentalité de croire toujours que tout ce qu’on nous reproche et nous apprend à l’école c’est ça le vrai. Quand les professeurs, instituteurs et enseignants interdisent aux élèves de ne pas parler les langues comme ‘’SWAHILI, NANDE, HAVU, SHI’’ ou autre langue maternelle à l’enceinte de l’institution scolaire. C’est ce qui handicape même la valorisation de nos langues maternelles. Pour trouver solution, il faut d’avance que la base prenne conscience de la promotion de ces langues maternelles » ; JEANNINE, une mère de famille, habitant Goma, curieuse de nous partager ce qu’elle a vu dans un téléphone de son fils, « Il y a pas une semaine que mon fils m’a fait montrer un extrait vidéo du film fiction de JESUS-CHRIST traduit en ‘’SHI’’ tiré sur whatsapp, ma langue maternelle. Cela m’a donné l’impression de croire que si l’on traduisait souvent les séries télévisées célèbres en  nos langues locales, la jeunesse peut encore être repêchée et connaitre la langue maternelle ».                                                                    PAR LEBON KASAMIRA

Insécurité à Ndosho : cinq morts lors d’une attaque, des élèves entrent dans la rue pour dénoncer ces atrocités

des eleves dans la rue à Ndosho. Photo la prunellerdc.info

La population du quartier Ndosho est entrée dans la rue ce jeudi matin pour protester contre l’insécurité qui a caractérisé leur quartier ce mercredi 20 février 2019 aux environs de 19 heures. Cette perturbation sécuritaire caractérisée par des tirs à balles réelles a couté la vie à cinq personnes, trois autres ont été blessées et une dizaine enlevée. Cette attaque a intervenu alors que, quelques heures avant –la veille- huit autres personnes venaient de perdre la vie dans une situation similaire dans le quartier Mugunga.

Des élèves dénonçant le kidnapping de leur préfet lors de cette attaque sont descendus dans la rue ce jeudi matin dans l’avenue Rwassama et Iléon Songo. Ils marchaient barricadant la route jusque, disaient-ils à la mairie de Goma, pour demander aux autorités locales à s’impliquer davantage afin de retrouver les personnes enlevées et punir les auteurs de ces crimes. Cette situation qui a fragilisé les activités à Ndosho pendant plusieurs heures.

 Selon des sources contactées par Kivunyota, ce mercredi soir, aux environs de 19 heures, des hommes armés non autrement identifié ont fait irruption dans une des avenues du quartier en tirant des balles réelles dans chacune des maisons qu’ils visitaient tour à tour avant de prendre la poudre d’escampette et laisser des victimes dont cinq personnes tuées, trois blessées et d’autres disparus.

Patrick BASSHAM Vh

Abbé Théophile Sebukozo : Les JDJ ne sont pas synonymes d’un festival.

Les journées diocésaines des jeunes auront bien lieu cette année 2019 encore une fois à la paroisse Notre Dame du Mont-Carmel. Elles se dérouleront sous le thème «Voici la servante du Seigneur; quil me soit fait selon ta Parole! (Le 1, 38). Cette onzième édition s’annonce avec une ampleur très sensuelle et particulière. Pour l’abbé  Théophile Sebukozo, ces JDJ s’accentueront sur les enseignements et moins les activités culturelles. Il est notre invité pour cette première édition de KivuNyota Magazine.  Interview avec l’abbé Théophile, aumônier diocésain des jeunes

KivuNyota : Monsieur l’abbé Théophile, bonjour.

Abbé Theophile : Bonjour

KivuNyota : Depuis un certain temps vous  avez entrepris les préparatifs des journées diocésaines des jeunes, où en êtes-vous ?

Abbé Théophile : Il est vrai que le mois d’octobre, nous avons commencé les préparatifs des JDJ d’abord par les visites pastorales dans les paroisses du diocèse de Goma. Accompagné des membres de la coordination, nous visitons les jeunes et nous sensibilisons en rapport avec les nouvelles dispositions de Mgr l’Evêque, ensuite nous passons pour discuter sur les faisabilités et donc l’organisation et enfin, le contact avec les différents partenaires à savoir les parents, les ONG qui soutiennent cette grande activité, les autorités politiques et administratives.

KN : L’édition en cours aura lieu à Goma, une nouvelle fois à la paroisse du Mont-Carmel en quoi sera-t-elle différente des précédentes ?

Abbé Théophile : Avec mon confrère, Père Jean-Pierre MUTAKA, (Sdb) nous voulons faire une petite différence. En fait, les JDJ ne sont pas le synonyme d’un festival. Cette année, nous voulons mettre un accent sur les enseignements et moins les activités culturelles. Rappelez-vous, les JDJ sont une organisation, une initiative de l’Eglise qui appelle ses fils pour leur donner des enseignements, pour qu’ils vivent une expérience de rencontre culturelle et fraternelle avec le Christ. Et l’Eglise prend là, son rôle de Mère et Maitresse

KN : Nous avons appris que cette année, les JDJ se tiendront dans chaque doyenné, et donc, ceux du doyenné de Goma resteront à Goma et ne pourront pas accueillir ceux venant d’autres doyennés, pourquoi ce revirement ?

Abbé Théophile : Nous avons salué l’idée de l’évêque d’organiser ces JDJ par doyenné. Depuis longtemps, tous les jeunes se réunissaient à un endroit qui était proposé par Mgr l’Evêque. Les jeunes arrivaient, se réjouissaient de cette rencontre ; cela était une grande mobilisation. Et c’est l’après JDJ qui compte plus. Ils rentraient dans leurs paroisses, se souvenaient de près les réalités de leurs milieux respectifs. Ils n’avaient plus à traiter des termes généraux mais particuliers. Nous voulons qu’ils trouvent, accompagnés par les prêtres et les partenaires cités, des solutions aux problèmes quotidiens qu’ils rencontrent.

KN : Pensez-vous que cela sera propice ?

Abbé Théophile : Oui. Au départ, les jeunes ont boudé maintenant ils ont compris l’ambiance qui a déjà commencé. La coordination diocésaine, malgré la situation sécuritaire précaire passe dans les paroisses pour le suivi.

KN : Ce sera votre première édition que vous organisez en tant qu’aumônier des jeunes, comment avez-vous été accueilli par les jeunes ?

Abbé Théophile : C’est vrai c’est ma première édition. Je comprends, c’est une organisation très lourde. Il faut les moyens financiers, il faut le soutien de partout, il faut l’accompagnement. Les jeunes au départ m’ont observé, m’ont écouté. Ils ont fait des comparaisons (sentiment normal) et aujourd’hui nous marchons ensemble, nous avons dépassé le stade de l’accueil, nous sommes au stade du travail. C’est un travail pastoral, très bon mais très exigeant. Il faut beaucoup de patience.

KN : Quel est le message que vous adressez à la jeunesse de Goma ?

Abbé Théophile : Trois messages aux jeunes de Goma :

Trois messages

  • Rompez avec la culture de la médiocrité. Visez l’excellence dans vos entreprises. Dites non aux antivaleurs.
  • Jeunes, soyez les évangélisateurs d’autres jeunes. Ayez le courage de vous dire la vérité. La Pastorale des Jeunes est avant tout votre pastorale. Entraidez-vous, visez l’excellence mais aussi la sainteté. Des modèles, vous en avez : Isidore Bakanja (témoin de la foi jusqu’au bout) Anuarite Clémentine (Martyr de la Virginité : elle dit aux jeunes filles et jeunes garçons : le corps est sacré. Floribert Cui, notre frère de Goma a eu le courage de dire non à la corruption. La sainteté, c’est possible.

La biographie du Père Albert Tampwo, curé de la paroisse Notre Dame du Mont-Carmel

Le portrait qui a paru dans KivuNyota Magazine le mois de janvier 2019 est celui du Révérend Père Albert Tampwo, prêtre catholique de l’Ordre des Carmes Déchaux né à Bandundu le 18 octobre 1976. Curé de la paroisse Notre Dame du Mont-Carmel où il joue aussi le rôle d’aumônier paroissial des jeunes, il est réputé pour sa bienveillance, sa sagesse et son caractère altruiste. Le révérend Père Albert est toujours à l’écoute des chrétiens et des jeunes, toujours prêt  à leur confier conseil et réconfort. Après avoir fini d’édifier un somptueux bâtiment à l’européen qui abrite l’école des Carmes, le Complexe Scolaire Notre Dame du Mont-Carmel, situé juste en face de l’enclos de la paroisse, il a entrepris un nouveau projet de reconstruction de l’église, Notre Dame du Mont-Carmel.

Fils de TAMPWO Adolphe et de Mbobe Lucie, tous deux décédés, Albert Tampwo est issu d’une famille de huit enfants dont 7 garçons et une fille.  Albert est le cinquième de la famille. Après six ans d’études primaires à l’école primaire Lukombe à Misay ,il se rend à Bandundu-Ville pour ses études secondaires au Collège Saint-Paul en section littéraire, option latin-Philosophie. Après l’obtention de son diplôme d’étude humanitaire, il se rend à Kinshasa où il va frapper à la porte des Pères Carmes Déchaux pour aspirer à la vie religieuse. Après une année en tant qu’aspirant, il est admis au propédeutique des Pères Carmes à Kananga de 1999 à 2000. De 2000 à 2001, il est admis en philosophie à Lubumbashi. Après une année de philosophie à Lubumbashi, les supérieurs de la congrégation vont décident que les philosophes rejoignent la communauté  Saint-Jean de la Croix de Bukavu parce que, à cause de la guerre, il était difficile que les candidats de l’ouest arrivent à l’Est du Pays. Le Frère Albert et ses confrères étaient obligés de passer par la Zambie via la Tanzanie pour arriver à Bukavu. Un voyage qui leur a connu beaucoup de souffrances et qui garde en même temps plus de souvenirs. Arrivé à Bukavu, le frère Albert  finit ses études philosophiques et est admis pour le Noviciat à Lubumbashi en 2005. Une année après, il a été admis pour poursuivre ses études théologiques à Kinshasa de 2006 à 2010.

Après ses 4 ans passés à Kinshasa, il a été envoyé à Bukavu pour une année de stage. Au cours de la même année, il a perdu sa mère. Au terme de cette année, il a été admis à la profession solennelle à Kinshasa qui était précédé  de trois mois de préparation. Après la profession solennelle, il a été admis au diaconat avec ses trois frères Tharcisse, Onesime et Gilbert.

Père Albert avec l’abbé Daniel Silimi

Après son diaconat, il est  nommé dans la paroisse Notre Dame du Mont-Carmel pour son stage diaconal. Cinq mois après son stage, il a été admis à l’ordination presbytérale à Kinshasa le 22 mai 2011. Après son ordination, ses supérieurs l’ont nommé à la paroisse Notre Dame du Mont-Carmel comme vicaire.

Père Albert Tampwo avec le frère Pius

Depuis son ordination jusqu’à nos jours, le Père Albert est dans la même paroisse. Il a assumé tour à tour différentes responsabilités comme vicaire et puis, comme économe de la communauté. Trois ans après, les supérieurs de sa congrégation l’ont nommé curé de la paroisse depuis 2014 jusqu’à nos jours alors qu’il avait seulement trois ans comme prêtre. En même temps, il est nommé tour à tour deuxième et premier conseiller de la congrégation au niveau de notre pays. Il a aussi été depuis plusieurs années aumônier des jeunes, une charge qu’il exerce avec beaucoup de joie et d’amou

RDC : L’ancien vice-président Abdoulaye Yerodia est décédé à Kinshasa

Le sénateur Abdoulaye Yerodia Ndombasi est décédé ce  mardi 19 février, à Kinshasa, selon des sources de sa familiale. L’ancien vice-président de la RDC est mort à l’âge de 86 ans à la suite d’une maladie.

Au terme des accords de Sun City, M. Yerodia fut désigné comme l’un des quatre vice-présidents, fonction qu’il exerça entre 2003 et 2006. Il fut choisi pour le compte du parti de l’ancien président Joseph Kabila, le PPRD.

Les trois autres vice-présidents furent Jean-Pierre Bemba du MLC, Azarias Ruberwa du RCD et Arthur Zahidi Ngoma de l’opposition non armée.