Biographie de Nelson MANTAMA

Nelson Mantama, un homme à la casquette colorée d’arc en ciel.

Juriste, entrepreneur, Fondateur et Directeur Régional de IDE (Initiative pour le Développement Endogène.)

Nelson MANTAMA, né un certain 17 mai 1993, date de libération en République démocratique du Congo dans la ville de Goma, à l’Est du pays.

Il commence ses études maternelles et primaires à Bukavu, une ville de la province du Sud-Kivu, et après il les poursuive à Goma, sa ville natale où il obtient haut la main son certificat.

En 2006, il commence ses études secondaires au collège Mwanga où il décroche avec brio son diplôme d’état en latin philo en 2012 qui lui ouvre la grande porte de  l’alma mater  de l’Université Libre des Pays des Grands Lacs (ULPGL) et s’inscrit dans la noble  faculté de Droit. Après son premier cycle en droit, Nelson MANTAMA préfère renforcer son expérience sur le terrain par des formations avancées en droits humains et droit humanitaire international certifiées par le Bureau Conjoint des Nations Unies aux Droits de l’Homme (BCNUDH), en Leadership Administration, Orientation , en Management des projetset en entreprenariat.

 De part, son engagement sur le terrain, Nelson MANTAMA a mis en évidence les qualités indispensables pour mener à bien, en synergie avec ses collaborateurs, toute action humanitaire ; à savoir, la diplomatie, la ténacité, l’esprit d’initiative et une grande autonomie.

Nelson MANTAMA, est un homme intègre et intégrateur en quête permanente du bonheur et de l’excellence dans tout ce qu’il entreprend comme projet. Homme honnête profondément engagé dans les valeurs d’abord chrétienne et ensuite républicaines.

Les uns l’ont vu inspirer ses pairs et servir de base modéliste pour plus d’un. Les autres l’ont croisé lutter de sang-froid et à bras le corps pour plus les causes de droit, de santé et de leadership tant cohésif que transformationnel. Peu voient en lui un homme désespérément ancré à lui-même. Beaucoup découvrent en cet homme une incarnation de la sagesse, une inspiration et toute une école d’engagement.

A son actif, nous pouvons égrener toute une kyrielle de réalisations d’ordre volontariste et philanthropique.

En 2012, il lance un centre culturel pour l’encadrement des jeunes qu’il donne le nom de UCA, Union Culturelle Africaine au sein de laquelle il assure sans cocasserie la fonction de coordonnateur. Avec son profond sens de visionnaire, en 2015 il démissionne de son poste de Coordonnateur à UCA et fonde l’asbl IDE, Initiative pour le Développement Endogèneet y  assume jusqu’à cette heure les fonctions de Fondateur et Directeur Régional.Aujourd’hui IDE enregistre à son actif des innombrables réalisations sur un large éventail de projets de conception et de développement. IDE s’est inscrite comme une organisation non gouvernementale, indépendante, apolitique et non discriminatoire qui, depuis 2015travaille en étroite collaboration avec les organisations tant locales, nationales et internationales, les agences et systèmes des Nations unies comme  le HCR, la MONUSCO, l’UNFPA, le Bureau Conjoint des Nations Unies aux Droits de l’Homme (BCNUDH), etc.

L’IDE est d’ores et déjà placée parmi les organisations de référence travaillant pour le bien-être des communautés, dans le programme ‘Paix et Développement’focalisé principalement sur la participation de la jeunesse et l’intégration effective de la femme et de la jeune fille dans les efforts pour la paix et le développement.

Par ailleurs, Nelson MANTAMA s’est particulièrement attaché, en tant que représentant officiel de l’organisation IDE, à négocier directement avec les autorités locales et les partenaires, afin de garantir la pérennité de ses actions sur le terrain. (Site Web : htpp/ www.ide-rdc.org)

Homme de culture et peace building(constructeur de la paix), depuis janvier 2016Nelson MANTAMA développe comme initiateur, un programme de paix pour le rapprochement et l’unité de la jeunesse du Congo et celle du Rwanda. Le Rwanda l’un des pays voisin de la RDC que l’histoire attribue de qualification entre ces derniers « pays ennemis » avec des tendances de civilisations. Nelson MANTAMA oriente sa vision en créant le mouvement culturel RWANCO pour le rapprochement et l’unité de ces 2 pays  et  qualifie ce mouvement comme « la première étape du plus grand rêve de paix et d’unité RWANDA-CONGO » 

 Aujourd’hui le mouvement culturel RWANCO est actif dans plusieurs forum des paix dans la sous-région des grands lacs, et le calendrier de ses activités dans la lutte pour  l’unité et la paix entre Rwanda-Congo, donne davantage des fruits les plus mûrs et délicieux.

Nelson MANTAMA poursuit inexorablement sa lutte acharnée pour la paix et l’unité de l’Afrique en assumant la fonction depuis 2017 jusqu’au aujourd’hui du Directeur de communication du grand forum Régional des jeunes pour la paix. Un forum œcuménique organisé chaque année par le Diocèse de Goma pour réunir les jeunes des pays des grands lacs et parler de différentes thématiques des jeunes et plus particulièrement sur la question  »paix, unité  et développement ».

Nelson MANTAMA est tout de même le Directeur de  communication et le chargé des affaires extérieures de la Maison des jeunes Goma depuis 2017. La Maison des jeunes du Diocèse de Goma qui est une structure d’accueil pour l’infaillible encadrement et l’épanouissement sans conteste de la jeunesse du Nord-Kivu, à l’est du pays, depuis 1986.

Le leader naturel et transformationnel Nelson MANTAMA, ne cesse de développer une attitude à l’écoute et à la communication qui lui permet d’encadrer parfaitement une équipe et d’endosser au besoin un rôle de soutien psychologique en faveur de la société.

En juin 2018, Nelson  MANTAMA est  invité par Nicky HALLEY de l’Ambassade des Etats d’Amérique en République Démocratique du Congo pour participer à la célébration du 242eme Anniversaire de l’indépendance des Etats unis d’Amérique.Céruse sur le gâteau, Il tien part à ce grand rendez-vous historique avec  un marquant discours  (Afrique en Avant, Rendez-vous au sommet)dont il en est Auteur, lui a valu le pseudo de l’Ambassadeur Congolais en Afrique.

Comme pour honorer encore une fois sa présence, le jeudi 27 juin 2019, l’Ambassadeur des Etats Unis d’Amérique en république démocratique du Congo  S.E Mike Hammer et Mme Margret jorgulfsdottir invitent encore une fois  Nelson MANTAMA de leur faire l’honneur de prendre part à une réception pour célébrer le 243eme anniversairedes Etats Unis d’ Amérique. Invitation qu’il honore avec gratitude.

Nelson MANTAMA se laisse prédire par son entourage comme le nouveau Nelson MANDELA. Comparaison qu’il ne conçoit peut être pas  parce que dit-il, Nelson Mandela est un baobab avec une histoire qui dépasse des spécificités  des communs des mortels. Nelson MANTAMA se qualifie d’un petit fils qui s’inspire du génie et de la sagesse du grand père MANDELA.

 « Je suis Nelson Mantama, je suis africain et fier de l’être. Je ne m’en vante pas !

Je suis Nelson MANTAMA, je ne suis peut-être pas un homme de succès. Je ne m’en glorifie pas !

Je suis Nelson MANTAMA,  je crois juste être quelqu’un de valeur comme la plupart. Je ne m’en vante pas !

Je suis Nelson MANTAMA et non pas Nelson MANDELA. » explique Nelson MANTAMA en ces mots.

En tant qu’acteur humanitaire et entrepreneur, sa motivation profonde est de contribuer, par ses connaissances et son expérience, à l’amélioration d’un monde nouveau à travers  différents programmes.  « A tous les jeunes africains, mon message restera le même : il faut nous unir ! Il faut nous unir pour construire l’Afrique et le monde, il faut nous unir pour construire un avenir meilleur, un monde de la science et de progrès, ce qui mènera tous les hommes vers le bonheur.» Souligne Nelson MANTAMA

Enthousiasmé par le sens de mieux faire ce qu’il fait bien, Nelson MANTAMA poursuit des mouvements entrepreneurial, diplomatique et humanitaire qui sont les 3 termes qui définissent son être et son avoir. Il perfectionne constamment son métier dans l’apprentissage de nouvelles méthodes et tendances.

 Que vive l’homme!

La biographie du Père Albert Tampwo, curé de la paroisse Notre Dame du Mont-Carmel

Le portrait qui a paru dans KivuNyota Magazine le mois de janvier 2019 est celui du Révérend Père Albert Tampwo, prêtre catholique de l’Ordre des Carmes Déchaux né à Bandundu le 18 octobre 1976. Curé de la paroisse Notre Dame du Mont-Carmel où il joue aussi le rôle d’aumônier paroissial des jeunes, il est réputé pour sa bienveillance, sa sagesse et son caractère altruiste. Le révérend Père Albert est toujours à l’écoute des chrétiens et des jeunes, toujours prêt  à leur confier conseil et réconfort. Après avoir fini d’édifier un somptueux bâtiment à l’européen qui abrite l’école des Carmes, le Complexe Scolaire Notre Dame du Mont-Carmel, situé juste en face de l’enclos de la paroisse, il a entrepris un nouveau projet de reconstruction de l’église, Notre Dame du Mont-Carmel.

Fils de TAMPWO Adolphe et de Mbobe Lucie, tous deux décédés, Albert Tampwo est issu d’une famille de huit enfants dont 7 garçons et une fille.  Albert est le cinquième de la famille. Après six ans d’études primaires à l’école primaire Lukombe à Misay ,il se rend à Bandundu-Ville pour ses études secondaires au Collège Saint-Paul en section littéraire, option latin-Philosophie. Après l’obtention de son diplôme d’étude humanitaire, il se rend à Kinshasa où il va frapper à la porte des Pères Carmes Déchaux pour aspirer à la vie religieuse. Après une année en tant qu’aspirant, il est admis au propédeutique des Pères Carmes à Kananga de 1999 à 2000. De 2000 à 2001, il est admis en philosophie à Lubumbashi. Après une année de philosophie à Lubumbashi, les supérieurs de la congrégation vont décident que les philosophes rejoignent la communauté  Saint-Jean de la Croix de Bukavu parce que, à cause de la guerre, il était difficile que les candidats de l’ouest arrivent à l’Est du Pays. Le Frère Albert et ses confrères étaient obligés de passer par la Zambie via la Tanzanie pour arriver à Bukavu. Un voyage qui leur a connu beaucoup de souffrances et qui garde en même temps plus de souvenirs. Arrivé à Bukavu, le frère Albert  finit ses études philosophiques et est admis pour le Noviciat à Lubumbashi en 2005. Une année après, il a été admis pour poursuivre ses études théologiques à Kinshasa de 2006 à 2010.

Après ses 4 ans passés à Kinshasa, il a été envoyé à Bukavu pour une année de stage. Au cours de la même année, il a perdu sa mère. Au terme de cette année, il a été admis à la profession solennelle à Kinshasa qui était précédé  de trois mois de préparation. Après la profession solennelle, il a été admis au diaconat avec ses trois frères Tharcisse, Onesime et Gilbert.

Père Albert avec l’abbé Daniel Silimi

Après son diaconat, il est  nommé dans la paroisse Notre Dame du Mont-Carmel pour son stage diaconal. Cinq mois après son stage, il a été admis à l’ordination presbytérale à Kinshasa le 22 mai 2011. Après son ordination, ses supérieurs l’ont nommé à la paroisse Notre Dame du Mont-Carmel comme vicaire.

Père Albert Tampwo avec le frère Pius

Depuis son ordination jusqu’à nos jours, le Père Albert est dans la même paroisse. Il a assumé tour à tour différentes responsabilités comme vicaire et puis, comme économe de la communauté. Trois ans après, les supérieurs de sa congrégation l’ont nommé curé de la paroisse depuis 2014 jusqu’à nos jours alors qu’il avait seulement trois ans comme prêtre. En même temps, il est nommé tour à tour deuxième et premier conseiller de la congrégation au niveau de notre pays. Il a aussi été depuis plusieurs années aumônier des jeunes, une charge qu’il exerce avec beaucoup de joie et d’amou

Biographie de Déo Silimi

  • SILIMI KELEKUMBA DEOGRATIAS dit Déo Silimi est un ingénieur en génie mécanique et philanthrope congolais né à Goma le 31 mai 1965. Fils de SILIMI Jean et de DAPHROSE, Déo SILIMI est marié à madame innocente Amani avec qui il a eu huit enfants. Il a beaucoup intervenu dans la promotion de la jeunesse et de la culture. il est aujourd’hui conseiller diocesain des jeunes, dans le diocèse de Goma

Parcours scolaire, académique et autre formation

Enfant brave et courageux, Déo Silimi obtient son certificat d’études primaires en 1977 à l’Ecole Primaire de l’institut de Goma (EPIGO). En 1984, Déo SILIMI débute ses études secondaires à l’institut Technique Industriel de Goma DON BOSCO où il obtiendra son Diplôme d’Etat en 1983 en Electricité Industrielle, un diplôme qui lui permet d’aller à Kinshasa et obtenir en 1987 son diplôme de Graduat en Pédagogie et technique appliquées/ISPT KINSHASA, option « électromécanique A1 ». En 2010, Déo SILIMI obtient son diplôme de Licence en Pédagogie et Technique Appliquées/ISPT KINSHASA, option : MECANIQUE DE PRODUCTION.

Pour murir sa formation, Déo SILIMI entreprend au cours de son parcours une série de stage et de formation notamment un stage pédagogique à l’IOG/KINSHASA GOMBE en 1980, un stage technique chez PLASTICA KINSHASA  en 1987, une visite professionnelle à la BRALIMA KINSHASA en 1987 et à la BRALIRWA RWANDA en 2012.  Déo SILIMI  a visité également la Station Flottante pour la transformation du gaz méthane en électricité à Gisenyi/Rwanda en 2008

Activité professionnelle

En 1987, Déo SILIMI travaille pour le Bureau d’études CHANIMETAL KINSHASA mais peu après décide de se lancer dans le commerce. De 1987 en 1991, Déo Simili est dépositaire des produits locaux dans la ville de Kinshasa, activité grâce à laquelle il mettra en place un centre de santé sur la rue AKETI dans la commune de LINGWALA. En 1991, Déo SILIMI quitte Kinshasa pour le Rwanda où il est promu responsable, chef de section à l’école technique de GIKONDO à Kigali jusqu’en avril 1994 au début de la guerre. Pendant ce temps passé à Kigali, Déo SILIMI interviendra comme coordinateur des ateliers, formateur pédagogique des professeurs, enseignant à l’Ecole technique de GIKONDO et puis membre du jury à la Coopération RWANDO-ALLEMANDE (GTZ à Kigali/RWANDA).

En 1994, à cause de la guerre qui éclatait au Rwanda, Déo SILIMI rentre à Goma où il ne tardera pas à être sollicité pour être enseignant à l’Institut Supérieur des techniques appliquées de Goma. Jusqu’en 1995, il dirigera des travaux de fin de cycle, des applications techniques. Il sera en même temps responsable technique/maintenance des engins techniques chez MSF/France pendant la période des refugies. Il sera aussi responsable technique de la salle d’opération pour le compte de la CROIX-ROUGE du Congo à Goma.

Depuis 1995, Déo SILIMI est directeur technique à l’Atelier Mécanique et Métallurgique du Kivu à Goma en sigle « ATELMEKI », une entreprise spécialisée dans la réparation, le tournage des pièces, ajustage, construction des ponts, charpentes et montage des antennes, etc.

Il est aussi enseignant à l’Institut Supérieur la SAPIENTIA (ISSA/GOMA) du Diocèse de Goma.

Activités para académique et professionnelle

De 1986-1987, Déo SILIMI est responsable du groupe de prière Estudiantin à l’ISAM à Kinshasa. De 2014-2017, il est président et vice-président National des anciens élèves de DON BOSCO. Il sera en même temps, au cours de cette même période membre du Lions Clubs International, puis deuxième vice-président du Lions Clubs GOMA-GISENGI District 409. Déo SILIMI a participé aux différentes conventions internationales du Lions Clubs notamment à Kigali au Rwanda, à FUKUOKA, au Japon en 2016, à Kinshasa en RDC et à Chicago aux Etats Unis d’Amérique en 2017. Déo SILIMI a visité des pays comme le Congo BRAZZAVILLE, la Zambie, le Zimbabwe, le Rwanda, l’Uganda, le Kenya, le Malawi, la Tanzanie, Dubaï, la Cote d’Ivoire, le Brésil, l’Israël, le Japon, les Etats Unis d’Amérique.

Déo SILIMI est un chrétien catholique. Proche de la jeunesse, il a été nommé en 2018  conseiller diocésains des jeunes par l’évêque du diocèse de Goma, Mgr Théophile Kaboy.

Déo SILIMI parle bien le Français, le Swahili, le Lingala et l’anglais.