Leïla Zerrougui plaide pour un partenariat fructueux entre la MONUSCO et la police nationale

a Représentante spéciale du Secrétaire général de l’ONU en RDC, Leïla Zerrougui, a plaidé pour un partenariat « toujours fructueux » entre la MONUSCO et la Police nationale congolaise (PNC). Elle a fait ce plaidoyer, jeudi 30 janvier, à l’occasion de l’ouverture des travaux de la retraire de la composante Police de la Mission onusienne (UNPOL) à Kinshasa.

Pour la PNC, l’UNPOL est parmi ses partenaires privilégiés.

« La Composante Police de la MONUSCO, est parmi nos partenaires privilégiés. Ce que nous avons fait avec elle. [Les fruits] de ce partenariat sont palpables, ils sont visibles et concrets », a reconnu le commandant de la PNC, le Général Dieudonné Amuli Bahigwa.

Toutefois, il estime que la PNC a « encore besoin de quelques réalisations à accomplir avec la collaboration de l’UNPOL. »

Pour sa part, le Représentant spécial adjoint chargé des Opérations de maintien de la paix, François Grignon, a fait savoir qu’une nouvelle phase s’ouvre pour la RDC. C’est celle de voir ce pays rétablir les capacités des services de sa police.

« Je pense qu’il est important dans cette retraite que tout le monde se rende compte du rôle stratégique pour une mission comme la MONUSCO de l’investissement dans le rétablissement de l’autorité de l’Etat et de soutien à la Police nationale congolaise, parce qu’on est dans l’objectif stratégique ultime de la consolidation de la paix, qui est celui de tourner la page d’une réponse militarisée au problème sécuritaire », a déclaré François Grignon.

La retraite de l’UNPOL de deux jours a pour objectif d’évaluer son plan d’action 2019. C’est l’un des événements importants du début de l’année pour le partenariat entre la RDC et la MONUSCO ainsi que pour l’application du mandat de la mission onusienne, a-t-il souligné.

APPEL À CANDIDATURES -TEXTES DRAMATIQUES COLLISIONS

APPEL A CANDIDATURES – TEXTES DRAMATIQUES COLLISIONS 2020

Le Comité Collisions a le plaisir de vous annoncer que son appel à texte est ouvert jusqu’au 5 mars 2020 !

Répondant au désir de promouvoir, faire connaître et diffuser les écritures dramatiques contemporaines auprès des professionnel·les et futur·es professionnel·les du spectacle vivant du territoire occitanien le comité organise autour des textes sélectionnés des lectures et des rencontres ainsi qu’une journée de réflexion sur les conditions de travail des écrivain·es. Nous avons également pour projet d’organiser des laboratoires autour des textes qui nous auront chamboulé·es.Enfin, nous constituons une bibliothèque (Centre de Ressources des Écritures Contemporaines – CREDCON) qui, à terme, sera implantée dans divers lieux du territoire.

Comment sont sélectionnés les textes ?

Il n’y a pas de pré-tri des textes. Chaque texte est lu par au moins trois lecteur·ices. Les textes pré-selectionnés sont relus par tous les membres du comité qui débattent ensuite ensemble pour établir une sélection finale.

Conditions d’envoi du texte :

Appel ouvert du 5 janvier au 5 mars (à 23 heures, 59 minutes, 59 secondes). Ne sont pas éligibles les textes déjà publiés ou ayant accès à une trop importante visibilité (Artcena/SACD-Beaumarchais/tournée nationale/etc plus d’infosdans notre charte : https://comitecollisions.wixsite.com/theatre )
Un texte par saison par écrivain·e
Texte écrit en vue de la scène
Traductions et adaptations autorisées
Texte terminé ou traduit après janvier 2015
Envoi numérique uniquement : comitecollisions@gmail.com
Objet du mail : NOM Prénom – Titre du texte
Vous pouvez envoyer anonymement si vous le désirez
Veuillez également remplir ce questionnaire afin de nous aider à définir comment vous soutenir : https://forms.gle/bScbEjcm5AzZJy6m6

Avertissement :

Au vu du petit nombre que nous sommes (16) et de nos temporalités divergentes (bénévolat), nous ne pourrons lire et débattre qu’autour de 100 textes. Donc, à la fermeture de l’appel, nous ferons un tirage au sort par fonction excel des 100 textes que nous lirons. Les auteur·ices dont les textes ne seront pas lus en seront immédiatement informés.

Centre de Ressources des Écritures Dramatiques Contemporaines

Si vous souhaitez envoyer des textes afin qu’ils rejoignent le Centre de Ressources des Écritures Contemporaines (CREDCON) et soient disponible à la consultation libre lors de nos événements ainsi que, à terme, dans un local pérenne, vous pouvez nous les faire parvenir à l’adresse suivante : Comité Collisions, Lot 5, 32 chemin de Boudou, 31200 Toulouse. Vous pouvez également nous les remettre en main propre en nous envoyant un mail car nous avons des membres à Toulouse, Montpellier, Lyon et Montluçon.

Retrouvez-nous du 31 janvier au 3 février dans le cadre d’Ébullitions – Journées des jeunes compagnies au Théâtre Jules-Julien (Toulouse) pour des lectures, des rencontres et un atelier de réflexion sur les conditions de travail des écrivain·es info et inscriptions par mail.

Deadline : 5 mars 2020

APPEL À PROPOSITIONS PROGRAMME ACP-UE CULTURE

APPEL À PROPOSITONS PROGRAMME ACP-UE CULTURE

Date limite  : 20 mars 2020

Contexte

L’Accord de partenariat entre le groupe des États d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP), d’une part, et l’Union européenne (UE), d’autre part, signé à Cotonou le 23 juin 2000 et révisé en 2005 (l’Accord de Cotonou), retient la culture comme un volet à part entière de la stratégie de coopération dans le partenariat entre les pays ACP et l’UE.

Le « Document de stratégie et programme indicatif 2014-2020 » sur la coopération Intra -ACP 11e FED, prévoit la mise en place d’un programme destiné à accroitre les revenus des industries créatives des pays ACP en favorisant la reconnaissance de leurs œuvres, en encourageant leur valorisation et en améliorant leur accessibilité localement et sur la scène internationale.

En 2005, l’adoption de la Convention de l’UNESCO sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles, établissait pour la première fois un pilier culturel dans la gouvernance mondiale.

L’Agenda 2030 pour le développement durable adopte 17 objectifs pour transformer notre monde. La culture est mentionnée de manière explicite dans les objectifs relatifs à l’éducation, à la réduction des inégalités et à la croissance durable.

Centré sur l’Agenda 2030, le nouveau Consensus européen pour le développement (2017), spécifie à l’article 35 , que « La culture est à la fois un facilitateur et une composante importante du développement : elle peut faciliter l’insertion sociale, la liberté d’expression, la construction d’identité, l’autonomisation civile et la prévention des conflits tout en renforçant la croissance économique ».

Par ailleurs, d’après le rapport final de l’évaluation conjointe des programmes intra-ACP de soutien à la culture datant de juillet 2016, les programmes intra ACP ont été particulièrement pertinents au regard des stratégies de coopération EU-ACP et du développement des secteurs culturels des pays ACP.

Lors de la 4ème réunion des ministres organisée à Bruxelles en novembre 2017, les États ACP ont adopté une nouvelle déclaration sur la culture. Les ministres des pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique ont reconnu le rôle essentiel de la culture comme moteur de la croissance économique et de développement humain durable et réaffirmé leur engagement à faire de la culture un secteur prioritaire dans leurs pays en mettant en œuvre des actions et des programmes concrets.

Objectifs du programme et priorités

L’objectif général du présent appel est de favoriser le développement socio économique des pays ACP, par la dynamisation de l’ensemble du secteur culturel et créatif.

Les objectif(s) spécifique(s) du présent appel à propositions sont :
– l’accroissement des recettes économiques du secteur créatif,
– la création d’emplois liés au secteur culturel,
– une meilleure accessibilité, reconnaissance et valorisation des artistes et de leurs œuvres

Pour atteindre ces objectifs, 4 axes seront soutenus :
a) la création/production de biens et services ACP de qualité, à un coût compétitif et en quantité accrue,

b) l’accès aux marchés nationaux, régionaux, internationaux, la circulation/diffusion/promotion de biens et services ACP,

c) l’éducation à l’image,

d) l’amélioration de l’accès au financement via des mécanismes innovants, permettant des cofinancements et visant à réduire la dépendance des opérateurs culturels ACP par rapport aux financements internationaux.
L’ apport du numérique est recommandé dans la mise en œuvre des 4 axes ci-dessus.

Enveloppe financière mise à disposition par l’administration contractante

Le montant indicatif global mis à disposition au titre du présent appel à propositions s’élève à 26.000.000 EUR.
L’administration contractante se réserve le droit de ne pas allouer la totalité des fonds disponibles. De la même manière, il est possible que le montant prévu soit augmenté si d’autres fonds se libèrent.
Lot 1 – Afrique Occidentale : 6 200 000 EUR
Lot 2 – Afrique Orientale : 6 000 000 EUR
Lot 3 – Afrique Centrale : 4 200 000 EUR
Lot 4 – Afrique Australe : 3 800 000 EUR
Lot 5 – Caraïbes : 3 000 000 EUR
Lot 6 – Pacifique : 2 800 000 EUR
Voir Annexe L pour la liste des pays faisant partie des différents lots.
Si l’enveloppe financière prévue pour un lot spécifique ne peut être utilisée faute de propositions reçues en nombre suffisant ou du fait de leur qualité insuffisante, l’administration contractante se réserve le droit de réaffecter les fonds inutilisés à un autre lot/d’autres lots.

Montant des subventions

Toute subvention demandée dans le cadre du présent appel à propositions doit être comprise entre les mêmes montants minimum et maximum par lot que la totalité des fonds disponibles:
Lot 1 – Afrique Occidentale : Montant minimum et montant maximum : 6 200 000 EUR
Lot 2 – Afrique de Orientale : Montant minimum et montant maximum : 6 000 000 EUR
Lot 3 – Afrique Centrale : Montant minimum et montant maximum : 4 200 000 EUR
Lot 4 – Afrique Australe : Montant minimum et montant maximum : 3 800 000 EUR
Lot 5 – Caraïbes : Montant minimum et montant maximum : 3 000 000 EUR
Lot 6 – Pacifique : Montant minimum et montant maximum : 2 800 000 EUR

L’éventuelle différence entre le coût total de l’action et le montant demandé à l’administration contractante doit être financé par des sources autres que le budget de l’Union européenne ou le Fonds européen de développement
La subvention peut exceptionnellement couvrir l’intégralité des coûts éligibles de l’action afin de garantir une visibilité claire de la contribution de l’Union Européenne et du rôle du Secrétariat ACP. Dans ce cas, le demandeur chef de file doit justifier le financement intégral, à la section 2.1 de la partie B du formulaire de demande de subvention. La validité de la justification fournie sera examinée pendant la procédure d’évaluation.

Conformément au point 6.3.10 du PRAG, la subvention ne peut générer de profit ni pour les bénéficiaires (coordinateur/demandeur chef de file et co-bénéficiaires/codemandeurs) ni pour les entités affiliées dans le cadre de l’action. Dans le cadre du présent appel, le profit est défini comme un excédent des recettes par rapport aux coûts éligibles approuvés par l’administration contractante lors de la présentation de la demande de paiement du solde. Les recettes escomptées de l’action peuvent être acceptées à titre de cofinancement. Toutefois, les recettes de l’action supérieures aux coûts totaux seront considérées comme un profit. À ce titre, elles devront être déduites lors du calcul du montant final de la subvention de l’UE.

Les présentes lignes directrices définissent les règles de soumission, de sélection et de mise en œuvre des actions financées dans le cadre du présent appel à propositions, conformément aux dispositions du Guide pratique des procédures contractuelles applicables à l’action extérieure de l’UE (PRAG), qui s’applique au présent appel (disponible sur internet à l’adresse suivante: http://ec.europa.eu/europeaid/prag/document.do?locale=fr)

Source (https://noocultures.info)

La poubelle publique au marché Alanine sera entierement vidée au plus tard le samedi 1er février 2020, rassure la Brigade provinciale de l’environnement en partenariat avec la société Mawe SARL

( Photo: Zodiac médias) La coordination provinciale de l’environnement, en collaboration avec la Brigade provinciale de l’environnement et la société Mawe SARL,  a procédé ce samedi 25 janvier 2020 au lancement du projet « Goma propre », une série d’activités visant à diminuer le taux d’insalubrité dans la ville de Goma et principalement la poubelle du marché Alanine qui devrait être assainie dans moins d’une semaine.

C’est une bonne nouvelle pour les habitants du quartier Himbi et en particulier les commerçants du marché Alanine. La poubelle au marché Alanine est devenue un réceptacle pour toutes les populations environnantes, causant ainsi des risques de maladie. « Les marchands d’Alanine tout comme toute la population qui consomme les produits d’Alanine s’inquiétait déjà de cette poubelle devenue toute une montagne de saleté malgré les différentes taxes payées par la population » s’est confiée à Kivunyota Press une commerçante vendeuse de braises. Pour maman Sifa, « si c’est poubelle doit être vidée dans un délai aussi court, ce sera une première là où beaucoup de société n’ont pas réussi. J’encourage donc ces gens qui se donnent aujourd’hui ce travail d’assainir ce milieu »

Kafumba Muhombo Koko, chargé d’administration et finances de la brigade provinciale d’assainissement a rassuré que tous les moyens sont déjà mis en place pour mieux accomplir cette mission de rendre la ville de Goma totalement propre. Les trois sites principalement ciblés sont le marché Alanine, l’Institut Faraja et la mosquée Birere.

Cet assainissement sera aussi effectif grâce à l’accompagnement de la Société Mawe SARL qui promet de procéder au recyclage de tous  ces déchets qui seront évacués à Kibati en territoire de Nyiragongo, à 14km de la ville , a confié Alain Humanité Kibundila

Goma : Bientôt l’effectivité du dégazage de Kabuno ( Rubens MIKINDO, ministre national des Hydrocarbures)

Le ministre national des Hydrocarbures est arrivé à Goma ce vendredi 24 janvier 2020. Rubens Mikindo vient signer un contrat de degazage sur le site industrielle de Kabuno,  une  activité qui va permettre à notre pays de créer plusieurs emplois en RDC, a-t-il rassuré.  A cette même occasion, dans le cadre de la célébration du premier anniversaire de l’alternance pacifique du pouvoir, Rubens Mikindo a aussi invité le peuple congolais à accompagner la vision du chef de l’Etat

‘’Nous sommes en ville de Goma ce vendredi 24 janvier 2020 pour une mission du gouvernement central sur la signature du contrat sur l’exploitation industrielle du gaz méthane se trouvant à Kabuno à quelques kilomètres du chef-lieu de la province du Nord Kivu pour épargner notre population du risque d’explosion de ce gaz très nocive pour la santé humaine’’ a fait savoir Rubens MIKINDO MUHIMA ministre national des hydrocarbures au cours d’un entretien avec la presse ce vendredi.

‘’Depuis ma nomination en tant que ministre national des hydrocarbures, j’étais parti avec ce projet au 1er conseil des ministres, je l’ai exposé dans notre réunion gouvernementale pour que notre question trouve gain de cause et voilà ce jour les résultats seront visibles. D’ici là nous devons nous battre pour l’avantage du peuple congolais pas seulement de ma ville de Goma mais de toute la RDC’’ pense le ministre MIKINDO.

‘’La vision de notre chef de l’Etat c’est le peuple d’abord, nous travaillons pour le bien en premier lieu de notre population, c’est ce qui fait que nous soyons dépêché ici pour la signature de ce contrat qui sera bénéfique pour notre nation. La non exploitation de cette richesse est un danger car, non seulement son explosion peut tuer beaucoup des personnes en ville de Goma, ses environs, en ville de Bukavu et ses environs mais aussi dans la ville voisine de Gisenyi au Rwanda. C’est pourquoi son exploitation est une des grandes urgences de notre gouvernement central pour préserver la vie de nos compatriotes et éviter une situation similaire au Cameroun qui a fait plus de 1000 personnes comme victimes, nous ne voulons pas que cela puisse arriver aussi chez nous suite à une imprudence du pouvoir en place ce que nous évitons. 

Pour le ministre, ‘’la réserve de ce gaz qui se trouve dans le lac Kivu est très énorme, ce qui va permettre à notre pays de créer plusieurs emplois dû à l’exploitation mais aussi la ville de Goma va bénéficier des avantages comme par exemple le courant électrique…

Dans le cadre de cette coopération, ce samedi 25 janvier 2020 le gouvernement congolais signera le contrat d’exploitation avec une firme française qui permettra de mieux se lancer dans l’effectivité de ce projet. ‘’Après la signature de ce contrat nous allons nous rendre à Kabuno pour des questions techniques mais cette exploitation industrielle sera trop bénéfique pour notre peuple, nous allons gagner de l’argent qui sera déversé dans la caisse de l’Etat pour la réalisation de certains projets de développement, des emplois seront crééspour éviter la dépravation des mœurs chez nos jeunes du au chômage … ce qui contribuera d’une façon ou d’une autre au développement de notre pays que nous attendons tous en tant que fils de cette nation forte au centre de l’Afrique’’.

En ce jour où il est célébré en RDC l’an 1 de l’alternance pacifique, Rubens Mikindo appelle  tous les congolais à accompagner le chef de l’Etat dans sa vision qui veut le bien de tous les congolais, un bilan qui reste du mieux positif. ‘’Les changements sont déjà visibles, la descripation de la scène politique en RDC, la réhabilitation des certains chantiers et infrastructures, l’effectivité de la gratuité de l’enseignement de base au pays et demain la signature du contrat de l’exploitation industrielle du gaz méthane et d’autres qui seront opérationnels.
                                                                                                                       Kivunyota Press, Guellor Risasi

Goma : Réduction du prix de la plaque d’immatriculation pour les motos en province: le ministre PALIA se réjouit

Le ministère provincial des transports et celui des finances ont signés un communiqué commun interdisant tout propriétaire et à tout conducteur privé des motos ou de transport public de moto de mettre en circulation une moto non immatriculée sous peine de subir des sanctions qui s’imposeront dont le prix a été réduit de 15 dollars soit de 40 à 25 dollars.

Dans ce communiqué les deux ministères disent qu’aucune moto n’est autorisée de circuler sur toute l’étendue de la province du Nord Kivu si elle ne porte pas une plaque d’immatriculation couverte par une carte rose délivrée par la DGR NK, toute personne qui acceptera de monter sur une moto sans plaque d’immatriculation sera considérée comme complice du contrevenant et traitée comme telle et un contrôle systématique des motos est annoncé à partir du 10 février 2020 date à laquelle les présentes mesures seront d’application strictes.

Au cours d’un entretien avec la presse ce jeudi 23 janvier 2020, le ministre provincial des transports et voies de communication Rodriguez MBULULI PALIA MUHINDO a justifié la réduction de ce prix par la volonté du gouvernement KASIVITA dont le gouverneur avait signé un arrêté récemment sur la procédure d’immatriculation des motocycles en province et cette réduction est le résultat d’un long travail entre les associations des motocycles et le ministère provincial de tutelle vu qu’avant le prix de la plaque était fixé à 40 mais grâce aux doléances données au ministre par ces associations le gouverneur KASIVITA a pris la décision de réduire de 15 dollars au prix de cette plaque.

Selon lui, cette réduction s’inscrit dans le cadre de la politique de proximité avec le peuple du gouvernement provincial parceque depuis un certain temps le taux du dollars a galopé mais le prix de la course n’a pas augmenté ce qui compliquait le travail des motocycles mais aussi les guerres ont sensiblement abimées les tissus économiques et ce qui a influencé le gouverneur KASIVITA de prendre cette décision qui allégera la tache aux propriétaires des motos et conducteurs des motos privés et du transport public.

Nous devons nous conformer aux réalités de la modernité comme dans d’autres provinces du pays c’est incosevable qu’une moto puisse circuler sur toute l’étendue de la province sans être immatriculer, nous avons toujours clamer que l’autorité de l’Etat soit rétablie cela passe par cette réforme en immatriculant toutes les motos et nous encourageons tous nos compatriotes à se procurer dans le délai établi dans le communiqué renchérit le ministre PALIA.

Pour le ministre PALIA l’insécurité est décriée dans notre province, certains de nos compatriotes sont kidnappés et les motos sont parmi les moyens utilisés par ces bandits, une moto non répertoriée et non immatriculée rend du mal aux services de sécurité à être retrouvée afin de connaitre l’utilisateur ou le propriétaire et le respect de cette mesure réduisant sensiblement le taux du kidnapping au Nord Kivu car le prix de la plaque d’immatriculation est abordable à tout le monde et que cet argent payé permettra au gouverneur KASIVITA de mettre en œuvre sa politique pour la province.

La loi s’appliquera à tout le monde

Nul n’est au-dessus de la loi, cette mesure concerne tous les propriétaires des motos en province il n’y aura pas des catégories privilégiées et exonérées ainsi quedes exceptions pour le paiement de ces plaques d’immatriculation car nous ne voulons pas en province du Nord Kivu une moto sans plaque d’immatriculation c’est pour cela nous avons signés ce communiqué avec David KAMUHA mon collègue des finances.

A lui de conclure qu’en payant ces plaques le contribuable contribue au développement de notre province et qu’ils doivent le faire dans le délai prévu pour ne pas être victime des sanctions prévues

.Guellord RISASI