Le jeune écrivain congolais Patrick BASSHAM BASHONGA vous replonge dans de nouvelles aventures littéraires.

Vous êtes passionnés du livre, ceci vous concerne !

Après « Je voulais devenir prêtre ! » (Edilivre, Paris, 2013), les trois tomes de Trahison, 2014, Le Serment du Prince, 2016, la Punaise du Cœur et d’autres ouvrages publiés à Paris, Kinshasa et Kigali,

Le jeune écrivain congolais Patrick BASSHAM BASHONGA vous replonge dans de nouvelles aventures littéraires.

« Le regard empoisonné » c’est le nouveau roman de ce jeune auteur dont vous avez adoré la plume.

« Le Regard empoisonné »,

  • entre mythe et réalité

  • roman d’amour et passion véritable

  • roman d’action au suspens multiple

  • il dénonce la haine tribale et prône le vivre-ensemble

Quel tournent pour Jay et Jasmina ?

Le Regard empoisonné, un roman qu’il faut lire, à tout prix

Lancement officiel, dimanche 7 octobre 2018, à Mbizza hôtel

A 14 h00

Prix du livre : 10$ mais vous pourrez aussi faire un achat d’honneur pour soutenir le nouveau courant littéraire à l’Est du Congo

Autre programme : spectacle de conte, karaoké, poésie chantée, mot des partenaires, présente et vente de l’ouvrage

Karibu kwa wote, l’entrée est libre et gratuite pour tous les passionnés littéraires

Pour tout contact : +243991365213

Le salongo contribuera-t-il a baissé le taux d’insalubrité dans la ville de Goma ?

Pour résoudre le taux élévé d’insalubrité dans la ville de Goma, chaque habitant est tenu de nettoyer devant sa parcelle ou son lieu de travail. Meme si la ville de Goma a intégrer le Salongo tous les samedis, il existe tout de même certains coins de la ville de Goma non assainies.  

Ce travail communautaire appelé Salongo, (terme lingala qui veut dire « travail ») se fait tous les samedis entre 8h à 10h. Pendant ce temps, Papeteries, magasins, boulangeries, boucheries sont fermés sauf les écoles ou les pharmacies et hopitaux. Malheureusement, ce salongo ne change pas grand-chose : la ville est toujours sale dans plusieurs endroits. D’aucuns se demandent si le Salongo contribuera réellement à diminuer la saleté éparse dans la ville de Goma.

Murula, revendeur  d’unité de communication pense que c’est une activité de spoliation initié par l’Etat pour escroquer de l’argent à la population. « Imaginez-vous, ils nous imposent à travailler chez nous ce qu’on fait mais les espaces publics dont ils devraient s’occuper restent sales. Ils veulent seulement profiter quand on ne l’a pas fait pour qu’ils nous fassent payer des amendes .

Pour Charles, un enseignant d’une école de la place, instaurer le salongo est meilleur mais il faut que l’Etat prenne aussi ses responsabilités.

Le salongo a été instauré en RDC au début des années 70 par Mobutu.  C’était lors de la vague de la zaïrianisation. Il a changé de jour entre vendredi dans certaines villes et samedi dans d’autres.

Patrick BASSHAM BASHONGA