FURAHA MULENGETSI JOYCE et sa marque JOMUF

Styliste, modéliste, entrepreneure et philanthrope congolaise, née à Goma le 28 mars 1994.Elle est la créatrice de la marque JOMUF depuis 2014 et lancée officiellement en 2016 en Chine.

Biographie

Quatrième d’une famille de huit enfants, Joyce MULENGETSI rêve entreprendre dans la mode dès son enfance. Encore petite, elle est très motivée par le style qu’elle refuse même souvent de porter un même habit deux fois qu’on la surnomme Fashion Girl.  Elle développe des AGR (activité génératrice de revenu) à travers de petits commerces des beignets et autres. Pendant ce temps, elle développe un sens philanthropique pour avoir grandi près des orphelins.

Ayant fait ses études primaires à l’E.P SHABA et secondaire à l’ICL, elle poursuit ses études universitaires à l’UNIGOM. Après son grade en économie, Joyce se rend compte qu’elle n’est pas dans son domaine ce qui la pousse à aller étudier le Business management à l’université KAVENDISH de Kampala.

Peu après, Joyce MULENGETSI s’en va en Chine pour sa maitrise. C’est là qu’elle va perfectionner son rêve de faire la mode et le style grâce à multiples formation qu’elle y bénéficiera et multiples collaborations avec d’autres entrepreneurs chinois du domaine.

La marque JOMUF pour le bien-être de la femme

JOMUF est une contraction de Joyce MULENGEZI FURAHA, la fondatrice de l’entreprise qui a utilisé les premières syllabes de ses noms pour nommer sa société : JOMUF

JOMUF vend de nombreux produits grâce à la performance managériale de sa fondatrice et directrice. Ses produits sont essentiellement des t-shirts, cravate, chapeaux et prochainement des pochettes de téléphone, chaussures et autres types de vêtements et équipements pour artistes.

JOMUF sponsorise de nombreuses activités sportives et culturelles à Goma et en Chine. Grace à la marque, beaucoup d’artistes se sont vu être promus pendant le tournage de leurs clips

La marque JOMUF a été créée en 2014 puis lancé officiellement en 2016 en Chine. Elle vise la promotion de la femme. Inspirée de très grande marque comme ADIDAS, CONVERSE, STRADIVARIUS, la marque est une première d’une digne fille de Goma qu’elle cherche à étendre partout au pays en RDC, et ailleurs comme en Tanzanie, Kenya, Burundi, etc.

Philanthropie

Puisque son sens philanthropique ne l’a jamais abandonnée, comme ces grandes marques n’arrivent pas

à atteindre directement les enfants orphelins ou les démunis de la RDC, Joyce

MULENGETSI vient en aide aux plus démunis grâce à la recette de la vente de ses produits.

Par sa marque, Joyce MULENGETSI est révolutionnaire. Elle se dit que la femme ne devrait pas tout attendre de l’homme.

Défis principaux à relever.

En tant que femme, JOYCE MULENGETSI rencontre quelques difficultés. Nombreuses sont celles liées à la promotion de sa marque à savoir l’absence d’un capital important qui constitue un grand défi pour elle. « En Chine, pour  imprimer, il faut une grande quantité parce que plus on imprime plus, plus on paie moins. Au début c’était vraiment très difficile pour moi. Par exemple, avec le peu de quantité que j’imprime, je ne gagne que 0.8$ par t-shirt. Mais si j’avais une grande quantité, je pouvais gagner même jusqu’à 2 à 3$. »  

Pionnière d’une telle marque, célibataire, Joyce MULENGETSI soupçonne certains

hommes de vouloir profiter de son état de femme. Ceci constitue une autre difficulté. Pour y pallier, elle préfère travailler avec des femmes qui partagent ses mêmes visions. Sa directrice managériale, Huguette Kanumbu en constitue une preuve.

Consommation

Beaucoup de star ont porté la marque JOMUF. Comme Sherin, une célèbre danseuse de réputation asiatique qui a dansé devant un grand public habillée en marque JOMUF et acheté plusieurs t-shirts JOMUF. Parmi d’autres stars nous pouvons citer Professor Jay, Madee de Tanzanie, Gaz Mawete. JOMUF raconte : « Quand j’ai vu Professor Jay et Gaz MAWETE porter ma marque, j’ai pleuré dans ma chambre. J’ai dit ‘’merci Seigneur’’

la marque JOMUF

La biographie de Chantal FAIDA MULENGA-BYUMA

« C’est le siècle des femmes. L’impact féminin manque à l’humanité. Impliquons-nous, engageons-nous tant au milieu culturel, social et politique »

Née le 5 septembre 1988 à Kigali, Faida Mulenga-byuma Chantal est une jeune activiste des droits des femmes, philanthrope et bloggeuse. Mariée et mère d’une fille, elle est la quatrième née d’une fratrie de huit. 

Enfance

Au cours de son enfance, Chantal se rappelle qu’elle était une âme très généreuse qui partageait ses collations avec ses amis.

Jeunesse

 Bien tôt, pendant qu’elle poursuivait ses études à l’Université Libre des Grands Lacs où elle a obtenu, en 2011, sa licence en sciences économiques et de gestion, Chantal était arrivée à surmonter son manque de confiance en soi en devenant une femme dynamique, leader des jeunes. Elle devient ainsi porte-parole adjointe des étudiants et coordonna le comité interuniversitaire des étudiants du Nord-Kivu 

Vie politique

 A l’issu de ses études universitaires en 2011, elle décide de poursuivre une carrière en politique et adhère au parti politique ADR Alliance pour le Développement et la République au sein duquel. Grâce à un exercice continuel de perfectionnement et de coaching,  elle a su imposer son leadership et gravir rapidement les échelons. En 2018, elle en est une des candidates députées provinciales pour la ville de Goma. 

Bien que n’ayant pas été élue, Chantal n’a pas courber l’échine et a continué à influencer et représenter  les jeunes et femmes de sa ville de Goma et du pays à diverses instances. En effet, en Août 2016, elle  préside le 1er Congrès Régional des jeunes femmes politiques qui est composé d’un réseau remarquable de plus de deux cents jeunes femmes politiques de la RDC.

Philanthropie

 Détentrice d’un master en leadership, gestion des ressources humaines et prévention des conflits de la Haute École de formation des leaders et certifiée championne en Genre, Chantal est également impliquée dans les mouvements associatifs des jeunes. En 2012, elle crée Uwema UPENDO YA WAKONGOMANI ELEKYA MWANAMKE NA MUTOTO, une asbl qui défend les droits sociaux économiques des femmes et des enfants en difficulté au Nord-Kivu. Plus de 115 bourses offertes aux enfants en abandon scolaire ainsi qu’un accompagnement social et culturel de ces derniers. En sus, près de 30 femmes et hommes chefs de ménages ont bénéficié des sessions de formation sur la santé sexuelle reproductive et sur les notions élémentaires d’éducation financière pour leur autonomisation.

Aussi, grâce à elle, de nombreux jeunes des milieux défavorisés de la ville de Goma accèdent désormais à plus de 3.000 livres de divers domaines de la Bibliothèque PEFPAFIJ (Programme d’Action pour la Formation Intégrale de la Jeunesse) qu’elle a Co-initié avec plusieurs bienfaiteurs locaux et internationaux tels Books for Congo.

 Chantal Faida a été plusieurs fois reconnue non seulement au niveau national mais aussi international comme une jeune femme influente de sa communauté. Nominée militante associative pour la RDC par le GAFA (Gala de la Femme Africaine) en France en 2015,  elle est reconnue 18ème sur 50 femmes influentes en Afrique par le Magazine africain ONEWORLD En 2017. Parmi ses reconnaissances figurent également celle de « Jeune Page d’Espoir » ou encore de « femme influente de la RDC » par le Magazine Kivuzik. 

 Aux jeunes, elle conseille de se lancer sans calculs au service de la communauté. “Si l’échec pointe son nez, c’est que vous êtes sur la voix d’inventer une idée originale. Soyez persévérants et payez pour vous former continuellement.” 

Condition féminine

Chantal Faida est l’une des femmes  ambitieuse qui croient en l’auto-émergence d’autres femmes. Elle  pense que  « la femme est la flamme dont l’humanité a besoin avec acuité pour briller ». Elle constitue la moitié de la population humaine donc l’autre aile de l’oiseau qui  lui permet de voler haut. «En RDC, le potentiel féminin n’est pas encore exploité et c’est la raison de notre misère »

Aux femmes, elle dit “c’est le siècle des femmes. L’impact féminin manque à l’humanité. Impliquons-nous, engageons-nous tant en milieu culturel, social et politique !” 

Vision et rêve

Chantal dit : « Une grande ambition brûle dans ma tête c’est de motiver les milliers de jeunes femmes et hommes à donner le meilleur d’eux-mêmes pour léguer un héritage légendaire à l’humanité. Chaque âme est un don pour l’humanité. Dieu ne gaspille pas en créant l’humain. Il a placé un trésor en chacun d’entre nous. »

Joséphine Kavira Kahongya : Pionnière de l’Autonomisation Féminine

Femme humanitaire, entrepreneure et philanthrope congolaise née le 21/11/1982 dans la bourgade de Nyamilima en territoire de Rutshuru au Nord-Kivu, à l’EST de la RDC.

Née le 21 novembre 1982 dans la paisible bourgade de Nyamilima, située au cœur du territoire de Rutshuru, au Nord-Kivu, à l’EST de la RDC, Joséphine Kavira Kahongya éclaire de son parcours exceptionnel la voie de l’autonomisation, du développement et du changement positif. Femme humanitaire, entrepreneure et philanthrope, elle s’est érigée en symbole d’espoir pour sa communauté et au-delà. Son cheminement illustre une passion inébranlable pour l’amélioration du bien-être de tous, marquant le monde qui l’entoure de sa détermination et de son leadership.

Jeunesse et Enfance :

Dans une époque marquée par des défis sociaux, Joséphine a su dès son plus jeune âge relever le défi de la vie. Issue d’une famille modeste, elle a rapidement compris la valeur du travail acharné. Dès l’âge de onze ans, elle s’immergeait dans des activités génératrices de revenus pour subvenir à ses besoins, fabriquant et vendant des beignets, distribuant des arachides avec zèle. Cette expérience lui a inculqué un sens profond des responsabilités, non seulement au sein de sa famille, mais également envers la société.

Parcours Scolaire et Universitaire :

En 1996, Joséphine obtient son certificat à l’EP Mikeno à Goma. Elle poursuit sa formation secondaire jusqu’en 2003, malgré les secousses de l’éruption volcanique, laissant derrière elle une trace d’engagement, de bravoure et de dynamisme. À côté de ses réalisations académiques, c’est son esprit social qui se démarque. Joséphine entretient le rêve d’étudier la médecine pour soigner gratuitement ses amis, témoignant d’un altruisme et d’une solidarité profonds.

Parcours Professionnel :

La carrière de Joséphine prend son envol en 2007 lorsqu’elle devient chargée des finances à la COOPEC CODEFI/Goma. Sa bravoure la propulse ensuite en tant que chargée des missions au Programme Amani en 2008. Son expertise en questions humanitaires la mène au programme STAREC en 2010, où elle joue un rôle crucial. En 2012, elle gravit les échelons et devient chef de bureau chargée d’administration à la DGRNK au centre opérationnel de recette, une position qu’elle occupe toujours.

L’AMEAD et l’Engagement Social :

En 2018, Joséphine concrétise son rêve d’autonomisation des femmes en fondant l’AMEAD (Association des Mamans Engagées pour l’Auto-prise en charge et le Développement). S’inspirant des femmes courageuses telles Angela Merkel, Rosa Parks et Simone de Beauvoir, elle est déterminée à marquer le monde de son empreinte. L’AMEAD devient un espace où les femmes peuvent surmonter leurs peurs, devenir des actrices du changement et des soutiens pour les plus vulnérables.

Son Engagement au Niveau International :

Son dévouement pour l’autonomisation des femmes l’a également amenée à être le point focal de la MUFFA (Mutuelle Financière des Femmes Africaines) et à initier la MUSOAFDI au Nord-Kivu, témoignant de sa vision progressiste.

Vie Personnelle et Idéal :

Mariée à Monsieur Joseph Kakule depuis 2004, Joséphine a trouvé l’équilibre entre sa vie conjugale et ses aspirations professionnelles. Élevée dans la foi musulmane, elle s’est ensuite tournée vers l’église catholique à 22 ans. Son idéal repose sur l’autonomisation des femmes, les invitant à s’épanouir et à réaliser leur plein potentiel.

Elle croit en la foi, en la persévérance et en l’accompagnement familial comme pierres angulaires de l’épanouissement de la femme.

Condition Féminine et Philanthropie :

Joséphine a une vision particulière de la femme. Elle désire que celle-ci retrouve sa place et qu’elle arrive à se découvrir et valoriser les potentiels recelés au fond d’elle. Elle rêve et se bat pour que la femme soit autonome et respectée. Elle lutte pour que la femme soit réinsérée dans une société où elle est responsable et où elle pourra accéder aux moyens d’existence durable, cela dans tous les domaines, dans le but de subvenir à ses besoins sociaux. Elle veut se créer un chemin ouvert parmi les grands de ce monde en travaillant au compte des autres.

Un Nouveau Chapitre :

En octobre 2022, Kavira ajoute un nouveau chapitre à son récit inspirant en étant élue présidente du Comité des Parents de l’École du Cinquantenaire (PRECOPA). Cette élection est une preuve supplémentaire de son engagement continu envers l’éducation et le bien-être des jeunes générations.

Joséphine Kavira Kahongya se dresse en figure d’inspiration, une pionnière de l’autonomisation et du développement. Son dévouement indomptable, son engagement social et sa philanthropie éclairent la voie vers un avenir meilleur. Son histoire rappelle à chacun la puissance du courage, de la foi et du travail acharné pour réaliser des rêves et impulser un changement durable. En tant qu’icône de l’autonomisation, Joséphine incarne un espoir concret pour les générations actuelles et futures.

Douce Namwezi ou l’étymologie de la femme dynamique

Brave, vertueuse, dévote, intrépide, Douce Namwezi est l’une des femmes influentes de l’EST de la RDC. Son parcours, sa biographie serait sans nul doute un portail d’inspiration pour d’autres femmes qui désirent émerger. A l’occasion de cette semaine de la femme, Kivunyota vous propose de la découvrir. 

DOUCE NAMWEZI N’IBAMBA est une journaliste multimédia et fondatrice de l’organisation sans but lucratif UWEZO AFRIKA INITIATIVE (www.uwezoafrika.org) qui œuvre pour la promotion des femmes et filles à travers le journalisme (NTIC), la formation professionnelle et l’entrepreneuriat social (dont la culture). Douce a commencé à produire des émissions radiophoniques à l’âge de 16 ans à une radio de l’église catholique à Bukavu, avant de rejoindre lorsqu’elle a rejoint l’Association des Femmes des Médias (AFEM) en République démocratique du Congo. A l’époque, le Congo était en guerre. Douce a rapporté des histoires sur d’anciens enfants soldats, des crimes de viol de masse. Après 10 ans au sein de l’organisation, elle a été promue coordinatrice intérimaire et a ainsi contribué à la mise en place de MAMA RADIO, la première radio thématique pour les femmes au Congo entièrement consacrée à la promotion de l’égalité du genre. Depuis fin 2018, elle dirige UWEZO AFRIKA INITIATIVE et est également mentor pour le compte de l’Académie FolkeBernodotte qui œuvre pour la paix incluse en RDC et aussi chargée des programmes au sein de l’organisation suédoise Kvinna Till Kvinna, qui œuvre pour les droits des femmes à travers le monde.


Le travail de Douce a été récompensé par des prix au niveau de la RDC et en dehors du pays parmi lesquels : 100 JEUNES PAGES D’ESPOIR en partenariat avec l’UNESCO ; l’Initiative pour la Région des Grands Lacs ; le Centre d’études sur la non violence et la paix de l’université de Rhodes Island ; l’ONU Femmes ; Center for Nonviolence and PeaceStudies de l’Université du Rhode Island et d’ONU Femmes.

Elle vit actuellement à Bukavu en République démocratique du Congo.

Qui est Mgr Willy Ngumbi?

Nommé le 23 avril 2019 par le Pape François, il est entré officiellement en fonction le dimanche 19 mai 2019. Mgr Willy Ngumbi Ngengele est âgé de 54 ans. Il est de la congrégation des Missionnaires d’Afrique autrement appelés les Pères Blancs. Il a été évêque de Kindu, dans l’Est de la RDC, depuis 2007. Il est né le 13 février 1965 à Ngagara à Bujumbura.  Il a été ordonné prêtre le 1er août 1993 par Mgr Faustin Ngabu à Goma et nommé évêque de Kindu le 22 juillet 2007 par le Pape Benoit XVI. Aujourd’hui, il succède à Mgr Théophile Kaboy Ruboneka âgé de 78 ans dont le pape a accepté la démission pour limite d’âge canonique étant donné qu’à l’âge de 75 ans, les évêques présentent leur démission au pape.

Mgr Willy Ngumbi est actuellement président de la Commission épiscopale de l’apostolat des laïcs à la Conférence épiscopale Nationale du Congo (CENCO). Dans un courrier du 10 mai 2019, la Nonciature Apostolique en République Démocratique du Congo (RDC) a annoncé qu’il a plu au Pape François de nommer Administrateur Apostolique « sede vacante ad natum Santae Sedis » du diocèse de Kindu, Mgr Willy Ngumbi Ngengele.

Biographie de Nelson MANTAMA

Nelson Mantama, un homme à la casquette colorée d’arc en ciel.

Juriste, entrepreneur, Fondateur et Directeur Régional de IDE (Initiative pour le Développement Endogène.)

Nelson MANTAMA, né un certain 17 mai 1993, date de libération en République démocratique du Congo dans la ville de Goma, à l’Est du pays.

Il commence ses études maternelles et primaires à Bukavu, une ville de la province du Sud-Kivu, et après il les poursuive à Goma, sa ville natale où il obtient haut la main son certificat.

En 2006, il commence ses études secondaires au collège Mwanga où il décroche avec brio son diplôme d’état en latin philo en 2012 qui lui ouvre la grande porte de  l’alma mater  de l’Université Libre des Pays des Grands Lacs (ULPGL) et s’inscrit dans la noble  faculté de Droit. Après son premier cycle en droit, Nelson MANTAMA préfère renforcer son expérience sur le terrain par des formations avancées en droits humains et droit humanitaire international certifiées par le Bureau Conjoint des Nations Unies aux Droits de l’Homme (BCNUDH), en Leadership Administration, Orientation , en Management des projetset en entreprenariat.

 De part, son engagement sur le terrain, Nelson MANTAMA a mis en évidence les qualités indispensables pour mener à bien, en synergie avec ses collaborateurs, toute action humanitaire ; à savoir, la diplomatie, la ténacité, l’esprit d’initiative et une grande autonomie.

Nelson MANTAMA, est un homme intègre et intégrateur en quête permanente du bonheur et de l’excellence dans tout ce qu’il entreprend comme projet. Homme honnête profondément engagé dans les valeurs d’abord chrétienne et ensuite républicaines.

Les uns l’ont vu inspirer ses pairs et servir de base modéliste pour plus d’un. Les autres l’ont croisé lutter de sang-froid et à bras le corps pour plus les causes de droit, de santé et de leadership tant cohésif que transformationnel. Peu voient en lui un homme désespérément ancré à lui-même. Beaucoup découvrent en cet homme une incarnation de la sagesse, une inspiration et toute une école d’engagement.

A son actif, nous pouvons égrener toute une kyrielle de réalisations d’ordre volontariste et philanthropique.

En 2012, il lance un centre culturel pour l’encadrement des jeunes qu’il donne le nom de UCA, Union Culturelle Africaine au sein de laquelle il assure sans cocasserie la fonction de coordonnateur. Avec son profond sens de visionnaire, en 2015 il démissionne de son poste de Coordonnateur à UCA et fonde l’asbl IDE, Initiative pour le Développement Endogèneet y  assume jusqu’à cette heure les fonctions de Fondateur et Directeur Régional.Aujourd’hui IDE enregistre à son actif des innombrables réalisations sur un large éventail de projets de conception et de développement. IDE s’est inscrite comme une organisation non gouvernementale, indépendante, apolitique et non discriminatoire qui, depuis 2015travaille en étroite collaboration avec les organisations tant locales, nationales et internationales, les agences et systèmes des Nations unies comme  le HCR, la MONUSCO, l’UNFPA, le Bureau Conjoint des Nations Unies aux Droits de l’Homme (BCNUDH), etc.

L’IDE est d’ores et déjà placée parmi les organisations de référence travaillant pour le bien-être des communautés, dans le programme ‘Paix et Développement’focalisé principalement sur la participation de la jeunesse et l’intégration effective de la femme et de la jeune fille dans les efforts pour la paix et le développement.

Par ailleurs, Nelson MANTAMA s’est particulièrement attaché, en tant que représentant officiel de l’organisation IDE, à négocier directement avec les autorités locales et les partenaires, afin de garantir la pérennité de ses actions sur le terrain. (Site Web : htpp/ www.ide-rdc.org)

Homme de culture et peace building(constructeur de la paix), depuis janvier 2016Nelson MANTAMA développe comme initiateur, un programme de paix pour le rapprochement et l’unité de la jeunesse du Congo et celle du Rwanda. Le Rwanda l’un des pays voisin de la RDC que l’histoire attribue de qualification entre ces derniers « pays ennemis » avec des tendances de civilisations. Nelson MANTAMA oriente sa vision en créant le mouvement culturel RWANCO pour le rapprochement et l’unité de ces 2 pays  et  qualifie ce mouvement comme « la première étape du plus grand rêve de paix et d’unité RWANDA-CONGO » 

 Aujourd’hui le mouvement culturel RWANCO est actif dans plusieurs forum des paix dans la sous-région des grands lacs, et le calendrier de ses activités dans la lutte pour  l’unité et la paix entre Rwanda-Congo, donne davantage des fruits les plus mûrs et délicieux.

Nelson MANTAMA poursuit inexorablement sa lutte acharnée pour la paix et l’unité de l’Afrique en assumant la fonction depuis 2017 jusqu’au aujourd’hui du Directeur de communication du grand forum Régional des jeunes pour la paix. Un forum œcuménique organisé chaque année par le Diocèse de Goma pour réunir les jeunes des pays des grands lacs et parler de différentes thématiques des jeunes et plus particulièrement sur la question  »paix, unité  et développement ».

Nelson MANTAMA est tout de même le Directeur de  communication et le chargé des affaires extérieures de la Maison des jeunes Goma depuis 2017. La Maison des jeunes du Diocèse de Goma qui est une structure d’accueil pour l’infaillible encadrement et l’épanouissement sans conteste de la jeunesse du Nord-Kivu, à l’est du pays, depuis 1986.

Le leader naturel et transformationnel Nelson MANTAMA, ne cesse de développer une attitude à l’écoute et à la communication qui lui permet d’encadrer parfaitement une équipe et d’endosser au besoin un rôle de soutien psychologique en faveur de la société.

En juin 2018, Nelson  MANTAMA est  invité par Nicky HALLEY de l’Ambassade des Etats d’Amérique en République Démocratique du Congo pour participer à la célébration du 242eme Anniversaire de l’indépendance des Etats unis d’Amérique.Céruse sur le gâteau, Il tien part à ce grand rendez-vous historique avec  un marquant discours  (Afrique en Avant, Rendez-vous au sommet)dont il en est Auteur, lui a valu le pseudo de l’Ambassadeur Congolais en Afrique.

Comme pour honorer encore une fois sa présence, le jeudi 27 juin 2019, l’Ambassadeur des Etats Unis d’Amérique en république démocratique du Congo  S.E Mike Hammer et Mme Margret jorgulfsdottir invitent encore une fois  Nelson MANTAMA de leur faire l’honneur de prendre part à une réception pour célébrer le 243eme anniversairedes Etats Unis d’ Amérique. Invitation qu’il honore avec gratitude.

Nelson MANTAMA se laisse prédire par son entourage comme le nouveau Nelson MANDELA. Comparaison qu’il ne conçoit peut être pas  parce que dit-il, Nelson Mandela est un baobab avec une histoire qui dépasse des spécificités  des communs des mortels. Nelson MANTAMA se qualifie d’un petit fils qui s’inspire du génie et de la sagesse du grand père MANDELA.

 « Je suis Nelson Mantama, je suis africain et fier de l’être. Je ne m’en vante pas !

Je suis Nelson MANTAMA, je ne suis peut-être pas un homme de succès. Je ne m’en glorifie pas !

Je suis Nelson MANTAMA,  je crois juste être quelqu’un de valeur comme la plupart. Je ne m’en vante pas !

Je suis Nelson MANTAMA et non pas Nelson MANDELA. » explique Nelson MANTAMA en ces mots.

En tant qu’acteur humanitaire et entrepreneur, sa motivation profonde est de contribuer, par ses connaissances et son expérience, à l’amélioration d’un monde nouveau à travers  différents programmes.  « A tous les jeunes africains, mon message restera le même : il faut nous unir ! Il faut nous unir pour construire l’Afrique et le monde, il faut nous unir pour construire un avenir meilleur, un monde de la science et de progrès, ce qui mènera tous les hommes vers le bonheur.» Souligne Nelson MANTAMA

Enthousiasmé par le sens de mieux faire ce qu’il fait bien, Nelson MANTAMA poursuit des mouvements entrepreneurial, diplomatique et humanitaire qui sont les 3 termes qui définissent son être et son avoir. Il perfectionne constamment son métier dans l’apprentissage de nouvelles méthodes et tendances.

 Que vive l’homme!