Diocèse de Goma: L’unique radio catholique du diocèse totalise 2 ans d’existence avec des résultats jugés positifs

Inaugurée le 17mars 2018, la Radio Maria RDC-Goma, unique radio catholique du diocèse de Goma, a celébré ce mardi 17 mars 2020 le deuxième anniversaire depuis son installation officielle par Mgr Théophile KABOY, actuellement évêque émerite dudit diocèse. En deux ans de fonctionnement,Plusieurs témoignages font état d’un bilan positif des services rendus par cette radio aux fidèles chrétiens et non chretiens de Goma.

La messe d’action de grâce en marge de cette journée, que les chrétiens catholiques de Goma appellent « la fête de la voix mariale »; a été présidée par Monseigneur Willy NGUMBI NGENGELE, évêque du diocèse de Goma, le matin de ce 17mars 2020 à la paroisse de l’Emmanuel Shabaa. C’était en présence des plusieurs fidèles de ladite paroisse ainsi que des personnels,amis et bénévoles de cette chaîne du diocèse de Goma.

Dans son homélie, l’évêque de Goma a d’abord prêché le pardon et la réconciliation des fidèles, se référant à l’Évangile du jour tiré de Mathieu 18 21-35, dans laquelle « Jésus demande à Pierre de pardonner 70 fois sept fois… »; avant de revenir sur  l’importance de cette radio dans l’évangélisation en diocèse de Goma.

l’éveque de Goma institue une journée diocésaine de la Radio Maria

Monseigneur Willy NGUMBI, lisant le décret d’institution de la journée diocésaine de la Radio Maria

L’un des moments forts de cette messe c’est celui de l’institution, par l’évêque de Goma, de « la journée diocésaine de la Radio Maria », qui sera désormais célébrée le 17mars de chaque année

.L’évêque l’a fait lors de son mot de circonstance, à travers la lecture du décret d’institution de la journée diocésaine de la « Radio Maria » qu’il a lui-même signé pour cette occasion.

« Outre l’annonce de l’Évangile et la prière quotidienne, la radio est essentielle pour faire connaître le magistère de l’Eglise, les messages des Évêques au niveau national, provincial et local. » reconnait Mgr Willy Ngumbi.

« Cet apostolat requiert un personnel qualifié et bien formé doctrinalement et techniquement » ajoute-t-il tout en remerciant la générosité des fidèles de Goma, grâce à laquelle cette radio continue à fonctionner jusqu’à présent.

« Je vous invite à vous approprier l’oeuvre de la Radio Maria, la voix de Notre Mère qui frappe à nos portes et vient nous visiter » a conclu le numéro-un du diocèse de Goma.

« A deux ans seulement de son fonctionnement,la Radio Maria Goma est déjà comptée parmi les meilleures en Afrique » abbé Adéodatus Muhigi

Dans son allocution,le révérend abbé Adéodatus Muhigi, directeur de la Radio Maria Goma, est revenu sur les encouragements qu’il reçoit toujours de la part des membres de l’association des radios Maria du monde, structure ayant offert cette radio au diocèse de Goma.

« Toutes les félicitations que je reçois, reviennent à toutes ces personnes qui ne cessent de donner, non seulement,leur argent mais également leur temps et leur prière pour l’avancement de cette radio. » a ajouté  le directeur de Radio Maria RDC-Goma.

 » Grâce à la générosité des fidèles de Goma,à travers leur contribution pour cette radio, l’année passée nous avons occupé la  2ème place en Afrique, parmi les meilleurs sous-stations des radios Maria » a-t-il déclaré.

 Adédatus Muhigi a, par la même occasion, présenté et remercié tous ses collaborateurs qui interviennent d’une manière ou d’une autre pour que puisse fonctionner la radio Maria Goma.

 Retenons que c’est depuis le 24 janvier de l’année 2017 que la radio Maria RDC-Goma a émis pour la toute première fois en ville de Goma sur sa fréquence 107.6Mhz. Elle sera inaugurée officiellement une année plus tard, soit le 17 mars 2018 par Mgr Théophile KABOY, ancien évêque du diocèse de Goma, à qui nous dévons l’implantation de cette radio à Goma suite à ses multiples démarches à l’étranger.

Toute fois quelques défis restent encore à relever notamment l’incapacité de cette radio à couvrir jusqu’à présent l’ensemble du territoire du diocèse de Goma. Les chrétiens des paroisses non encore couvertes attendent toujours la réalisation des promesses des dirigeants de cette radio qui les ont toujours rassurés que les démarches sont en cours et qu’ils écouteront bientôt Radio Maria Goma.

Emmanuel BARHEBWA

Assassinat de NGEZAYO : 12ans après,Goma réclame Justice

13mars2008-13mars2020, cela fait exactement 12ans depuis le décès de l’homme d’affaire congolais Albert Prigogine NGEZAYO, assassiné en pleins jours, non loin de sa résidence en ville de Goma.

Douze ans après sa mort déjà; les circonstances, la raison de son assassinat,ou encore l’idée sur les auteurs de ce crime restent encore flous, le dossier étant toujours entre la main de la Justice.


Cette Situation inquiète déjà les proches de sa famille et toute la population de Goma en générale qui attendent impatiemment, jusqu’à présent,que justice soit rendue.

C’est le cas de Claude BARIZIRA DENYIRAGONGO, un jeune activiste cinéaste et écrivain de la ville de Goma,qui a publié un livre qu’il a consacré à ce dossier qui reste classé sans suite en ce jour commemoratif de l’anniversaire de 12 ans depuis le meurtre farrouche de cet homme qu’on surnommait le  » le lion de Goma » (à cause de sa tenue vestimentaire),

Dans son livre « LA MORT DE SIR LION DE LA JUNGLE » , Claude BARIZIRA DENYIRAGONGO interpelle les autorités congolaises, les magistrats et juges des cours et tribunaux à rendre justice à toutes les familles victimes d’assassinats ciblés.

Inspiré de l’assassinat de NGEZAYO, son livre, « un conte du genre narratif », revient sur les circonstances du meurtre d’Albert Prigogine non loin de sa clôture en pleine journée dans la zone « la plus sécurisée de la ville de Goma »,selon lui.

En union de cœur avec toutes les familles et proches de victimes d’assassinats en République Démocratique du Congo, Claude BARIZIRA DENYIRAGONGO, souhaite que ce 13 Mars 2020 reste une journée de méditation et de prise des conscience.

« Cette journée, est une journée de deuil qui vise à faire une rétrospection et regarder toutes les victimes d’assassinats dans notre pays. Elle sera sanctionnée par des décisions du cœur, des désirs de la justice et de la raison d’une citoyenneté responsable, dévouée à la transformation positive de notre communauté », a-t-il déclaré sur Kivunyota Hebdo.

Celui-ci insiste ainsi, sur son fameux slogan:  » la justice reste le seul combat qui mérite d’être mené », reclamant justice pour toutes les familles victimes d’assassinat en RD Congo ».

« Peu importe le terrain sur lequel nous sommes appelés à être, nous sommes appelés à être le changement que nous voulons voir dans ce monde, et ce changement demande la participation de tous les habitants de Goma avec un cœur patriotique, souligne Claude BARIZIRA DENYIRAGONGO.

Retenons que plusieurs cas de meurtres enregistrés en ville de Goma sont classés sans suite et les faits ne sont jamais établis.

Augustin SADIKI

Les bateaux reprennent enfin leurs activités sur le lac Kivu, après 2 jours de grève

La mesure de suspension des activités des bateaux sur le lac Kivu, n’aura durée que 48 heures avant d’être finalement levée ce mercredi 11mars 2020.

Selon une déclaration de Monsieur Prudent Mpama,secrétaire provincial de l’Association des armateurs du Lac Kivu( ASSALAK en sigle), structure ayant déclenché ce mouvement de grève, les revendications formulées par son association trouveront des réponses favorables dans les jours qui viennent, d’après les promesses des gouvernements provinciaux du Nord et du Sud-Kivu.

« Nous avons décidé de mettre fin à la grève, car les autorités du Nord-Kivu et du Sud-Kivu ensemble avec la fédération des entreprises du Congo au niveau national promettent de nous accompagner dans nos revendications. Nous allons continuer à payer la taxe du permis de sortie de bateau à 50$ en attendant la solution pour sa révision à la baisse », a-t-il déclaré chez nos confrères de 7sur7.cd

Prudent Mpama précise que le premier bateau pour le trafic Bukavu-Goma a quitté le port le même mercredi.

Cette reprise des activités sur lac Kivu satisfait certainement les habitués du transport maritime entre les villes de Goma et Bukavu
qui voyageaient, pendant cette période de grève, par la voie routière en passant par Minova. Un voyage non seulement plus coûteux mais également plus dangereux suite à l’état délabré de la route.

Pour rappel, c’est depuis le lundi 09mars 2020,que les armateurs du lac Kivu, avaient décidé d’arrêter la circulation de tous leurs bateaux sur le lac Kivu, fustigeant la hausse des taxes de permis de sorties qui sont passés de 30 à 50$.

Emmanuel BARHEBWA

L’honorable Patrick Munyomo promet de poursuivre son combat pour l’émergence socioéconomique de la population de Goma

L’honorable Patrick Munyomo devant la population de Goma avant de remettre la clé de la jeep au médecin Directeur de l’Hôpital Provincial

C’est au cours d’un meeting populaire organisé ce samedi 29 février 2020 au stade des Volcans que le député élu de Goma a dressé son bilan depuis qu’il a été élu par la population de Goma. Un mandat qui a été centralisé sur la lutte pour le bien-être social de la population de Goma.

Il a promis de continuer son combat centré sur les plaidoyers auprès des autorités compétentes afin d’attirer leur attention sur les problèmes réels de la population de Goma.

En digne fils de Goma, le député national Patrick Munyomo a offert avec bon coeur un véhicule à l’hôpital provincial de Goma, un acte qui a été salué par le médecin directeur de cet hôpital

Le véhicule remis par le député Patrick Munyomo
Venue en grande masse pour l’écouter, la population de Goma a prouvé encore sa confiance auprès du député national auquel elle a d’ailleurs promis un grand soutien et l’a remercié pour son dynamisme et surtout pour s’être fait accompagné de l’artiste international Werrason qui, pendant plus de trois heures a chanté pour la paix à l’EST de la RDC.
Vue sur l artiste Werrason en plein concert au stade des Volcans

Leïla Zerrougui plaide pour un partenariat fructueux entre la MONUSCO et la police nationale

a Représentante spéciale du Secrétaire général de l’ONU en RDC, Leïla Zerrougui, a plaidé pour un partenariat « toujours fructueux » entre la MONUSCO et la Police nationale congolaise (PNC). Elle a fait ce plaidoyer, jeudi 30 janvier, à l’occasion de l’ouverture des travaux de la retraire de la composante Police de la Mission onusienne (UNPOL) à Kinshasa.

Pour la PNC, l’UNPOL est parmi ses partenaires privilégiés.

« La Composante Police de la MONUSCO, est parmi nos partenaires privilégiés. Ce que nous avons fait avec elle. [Les fruits] de ce partenariat sont palpables, ils sont visibles et concrets », a reconnu le commandant de la PNC, le Général Dieudonné Amuli Bahigwa.

Toutefois, il estime que la PNC a « encore besoin de quelques réalisations à accomplir avec la collaboration de l’UNPOL. »

Pour sa part, le Représentant spécial adjoint chargé des Opérations de maintien de la paix, François Grignon, a fait savoir qu’une nouvelle phase s’ouvre pour la RDC. C’est celle de voir ce pays rétablir les capacités des services de sa police.

« Je pense qu’il est important dans cette retraite que tout le monde se rende compte du rôle stratégique pour une mission comme la MONUSCO de l’investissement dans le rétablissement de l’autorité de l’Etat et de soutien à la Police nationale congolaise, parce qu’on est dans l’objectif stratégique ultime de la consolidation de la paix, qui est celui de tourner la page d’une réponse militarisée au problème sécuritaire », a déclaré François Grignon.

La retraite de l’UNPOL de deux jours a pour objectif d’évaluer son plan d’action 2019. C’est l’un des événements importants du début de l’année pour le partenariat entre la RDC et la MONUSCO ainsi que pour l’application du mandat de la mission onusienne, a-t-il souligné.

APPEL À PROPOSITIONS PROGRAMME ACP-UE CULTURE

APPEL À PROPOSITONS PROGRAMME ACP-UE CULTURE

Date limite  : 20 mars 2020

Contexte

L’Accord de partenariat entre le groupe des États d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP), d’une part, et l’Union européenne (UE), d’autre part, signé à Cotonou le 23 juin 2000 et révisé en 2005 (l’Accord de Cotonou), retient la culture comme un volet à part entière de la stratégie de coopération dans le partenariat entre les pays ACP et l’UE.

Le « Document de stratégie et programme indicatif 2014-2020 » sur la coopération Intra -ACP 11e FED, prévoit la mise en place d’un programme destiné à accroitre les revenus des industries créatives des pays ACP en favorisant la reconnaissance de leurs œuvres, en encourageant leur valorisation et en améliorant leur accessibilité localement et sur la scène internationale.

En 2005, l’adoption de la Convention de l’UNESCO sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles, établissait pour la première fois un pilier culturel dans la gouvernance mondiale.

L’Agenda 2030 pour le développement durable adopte 17 objectifs pour transformer notre monde. La culture est mentionnée de manière explicite dans les objectifs relatifs à l’éducation, à la réduction des inégalités et à la croissance durable.

Centré sur l’Agenda 2030, le nouveau Consensus européen pour le développement (2017), spécifie à l’article 35 , que « La culture est à la fois un facilitateur et une composante importante du développement : elle peut faciliter l’insertion sociale, la liberté d’expression, la construction d’identité, l’autonomisation civile et la prévention des conflits tout en renforçant la croissance économique ».

Par ailleurs, d’après le rapport final de l’évaluation conjointe des programmes intra-ACP de soutien à la culture datant de juillet 2016, les programmes intra ACP ont été particulièrement pertinents au regard des stratégies de coopération EU-ACP et du développement des secteurs culturels des pays ACP.

Lors de la 4ème réunion des ministres organisée à Bruxelles en novembre 2017, les États ACP ont adopté une nouvelle déclaration sur la culture. Les ministres des pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique ont reconnu le rôle essentiel de la culture comme moteur de la croissance économique et de développement humain durable et réaffirmé leur engagement à faire de la culture un secteur prioritaire dans leurs pays en mettant en œuvre des actions et des programmes concrets.

Objectifs du programme et priorités

L’objectif général du présent appel est de favoriser le développement socio économique des pays ACP, par la dynamisation de l’ensemble du secteur culturel et créatif.

Les objectif(s) spécifique(s) du présent appel à propositions sont :
– l’accroissement des recettes économiques du secteur créatif,
– la création d’emplois liés au secteur culturel,
– une meilleure accessibilité, reconnaissance et valorisation des artistes et de leurs œuvres

Pour atteindre ces objectifs, 4 axes seront soutenus :
a) la création/production de biens et services ACP de qualité, à un coût compétitif et en quantité accrue,

b) l’accès aux marchés nationaux, régionaux, internationaux, la circulation/diffusion/promotion de biens et services ACP,

c) l’éducation à l’image,

d) l’amélioration de l’accès au financement via des mécanismes innovants, permettant des cofinancements et visant à réduire la dépendance des opérateurs culturels ACP par rapport aux financements internationaux.
L’ apport du numérique est recommandé dans la mise en œuvre des 4 axes ci-dessus.

Enveloppe financière mise à disposition par l’administration contractante

Le montant indicatif global mis à disposition au titre du présent appel à propositions s’élève à 26.000.000 EUR.
L’administration contractante se réserve le droit de ne pas allouer la totalité des fonds disponibles. De la même manière, il est possible que le montant prévu soit augmenté si d’autres fonds se libèrent.
Lot 1 – Afrique Occidentale : 6 200 000 EUR
Lot 2 – Afrique Orientale : 6 000 000 EUR
Lot 3 – Afrique Centrale : 4 200 000 EUR
Lot 4 – Afrique Australe : 3 800 000 EUR
Lot 5 – Caraïbes : 3 000 000 EUR
Lot 6 – Pacifique : 2 800 000 EUR
Voir Annexe L pour la liste des pays faisant partie des différents lots.
Si l’enveloppe financière prévue pour un lot spécifique ne peut être utilisée faute de propositions reçues en nombre suffisant ou du fait de leur qualité insuffisante, l’administration contractante se réserve le droit de réaffecter les fonds inutilisés à un autre lot/d’autres lots.

Montant des subventions

Toute subvention demandée dans le cadre du présent appel à propositions doit être comprise entre les mêmes montants minimum et maximum par lot que la totalité des fonds disponibles:
Lot 1 – Afrique Occidentale : Montant minimum et montant maximum : 6 200 000 EUR
Lot 2 – Afrique de Orientale : Montant minimum et montant maximum : 6 000 000 EUR
Lot 3 – Afrique Centrale : Montant minimum et montant maximum : 4 200 000 EUR
Lot 4 – Afrique Australe : Montant minimum et montant maximum : 3 800 000 EUR
Lot 5 – Caraïbes : Montant minimum et montant maximum : 3 000 000 EUR
Lot 6 – Pacifique : Montant minimum et montant maximum : 2 800 000 EUR

L’éventuelle différence entre le coût total de l’action et le montant demandé à l’administration contractante doit être financé par des sources autres que le budget de l’Union européenne ou le Fonds européen de développement
La subvention peut exceptionnellement couvrir l’intégralité des coûts éligibles de l’action afin de garantir une visibilité claire de la contribution de l’Union Européenne et du rôle du Secrétariat ACP. Dans ce cas, le demandeur chef de file doit justifier le financement intégral, à la section 2.1 de la partie B du formulaire de demande de subvention. La validité de la justification fournie sera examinée pendant la procédure d’évaluation.

Conformément au point 6.3.10 du PRAG, la subvention ne peut générer de profit ni pour les bénéficiaires (coordinateur/demandeur chef de file et co-bénéficiaires/codemandeurs) ni pour les entités affiliées dans le cadre de l’action. Dans le cadre du présent appel, le profit est défini comme un excédent des recettes par rapport aux coûts éligibles approuvés par l’administration contractante lors de la présentation de la demande de paiement du solde. Les recettes escomptées de l’action peuvent être acceptées à titre de cofinancement. Toutefois, les recettes de l’action supérieures aux coûts totaux seront considérées comme un profit. À ce titre, elles devront être déduites lors du calcul du montant final de la subvention de l’UE.

Les présentes lignes directrices définissent les règles de soumission, de sélection et de mise en œuvre des actions financées dans le cadre du présent appel à propositions, conformément aux dispositions du Guide pratique des procédures contractuelles applicables à l’action extérieure de l’UE (PRAG), qui s’applique au présent appel (disponible sur internet à l’adresse suivante: http://ec.europa.eu/europeaid/prag/document.do?locale=fr)

Source (https://noocultures.info)